jeudi 18 mars 2010 - par Georges Yang

La parité et l’argent du beurre

Le désir actuel de traitement égal entre hommes et femmes tant dans le milieu du travail que dans les rapports sociaux fait penser à l’attitude les Alsaciens et des Lorrains, encore très attachés au droit « Alsace-Moselle » mais très content de profiter de la législation et réglementation française rétablie en 1919 après le départ des occupants allemands. On se souviendra de la récente levée de bouclier déclenchée par la possibilité de donner des points de retraite aux hommes ayant eu des enfants au même titre que les mères de familles ayant travaillé, mais en les répartissant équitablement entre les deux parents. Les avantages acquis passant avant la parité en ce cas précis, la proposition a été très mal accueillie par les mères de familles.

La plupart des femmes qui revendiquent de nouveaux droits et plus d’égalité dans le traitement des rapports sociaux et dans le milieu du travail, veulent mordicus garder les avantages acquis en tant que femmes. Or, si l’on est farouchement pour une parité totale, on ne peut défendre décemment des droits spécifiques aux femmes sans les assortir d’une compensation masculine. En allant plus loin, galanterie, politesse et courtoisie n’ont plus raison d’être et il vaut mieux aider un petit gringalet à hisser sa valise dans un train qu’une grosse matrone de 90 kilos avec des muscles de catcheur, sous prétexte qu’il s’agit d’une femme. Et dans l’absolu, une petite femme fluette n’aurait plus aucune raison de ne pas décharger un camion de ciment dans une entreprise de BTP. La parité absolue, c’est aussi compter le nombre de femmes qui embarqueraient dans les canots de sauvetage d’un nouveau Titanic, plutôt que de les laisser monter avant les hommes.

En allant plus loin avec le CV anonyme, il faudrait modifier la langue française et la débarrasser de toute référence au féminin et au masculin, donc supprimer les accords de genre et harmoniser l’intitulé des professions pour qu’on ne puisse identifier le sexe des postulants à la lecture des documents. Et en prolongeant à l’extrême le raisonnement, on peut même imaginer des vêtements et des prénoms unisexes pour tout le monde et la suppression des toilettes séparées, la parité obligeant à pisser ensemble. Retour au costume Mao dans un pays où tout le monde devrait s’appeler Claude, Dominique ou Camille ! Voilà une proposition féministe qui devrait faire son chemin en poussant le raisonnement sur la parité à son paroxysme. Certaines pensent déjà que la mode, le maquillage, les parfums sont des marques d’asservissement de la femme et que celle-ci devrait se libérer de ces emprises qui font d’elle un objet sexuel assujetti au machisme et à la domination masculine. Le retour au slip en coton équitable et aux aisselles non rasées est-il une étape sur la voie d’une libération de la femme ? Quand Jane Fonda enlevait son soutien-gorge dans les années 60, elle exhibait tout de même de petits seins fort avenants et ne renonçait pas à sa différence physique avec les hommes
 
En 1871, l’Alsace et la Moselle sont annexées par l’Empire allemand après la défaite de la France et la chute du Second Empire. Le nouvel occupant germanise le nom des villes et des rues, impose l’allemand à l’école et développe une nouvelle législation. Jusqu’à 1919, les résidents des trois départements subissent la loi allemande. Retournés dans le giron de la République Française, les habitants reviennent au droit français, mais comme ils ont été occupés contre leur gré, ils ne se sentent pas responsables de cet état de fait et veulent garder dans le droit allemand tout ce qui leur est favorable par rapport au droit français. Ils ne reconnaissent donc pas la loi de 1905, sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, continuent à rémunérer les prêtres, rabbins et les pasteurs. Il existe encore de nos jours des lois et règlements uniquement applicables en Alsace et en Moselle concernant les associations (à la place de la loi de 1901), sur les droits de chasse, les successions et d’autres spécificités comme les bouilleurs de cru.
 
Pour la parité, il en est de même, le droit du travail protégeant les femmes contre les excès de fatigue, le travail de nuit, les activités pénibles ou permettant l’allaitement et les congés de maternité persiste. Ce n’est aucunement un scandale mais des droits qui vont de soi. Par contre, si l’on veut vraiment appliquer la parité, il faut alors trouver des compensations pour les travailleurs masculins. On en arriverait alors à une parité totale, de type robespierriste à la fois surréaliste, inapplicable et totalement paralysante de l’économie nationale.
A travail égal, salaire égal, cela sent l’évidence. Ne pas l’appliquer est donc une injustice criante. Mais on peut aussi dire à temps de travail égal salaire égal. Si l’on tient compte des congés de maternité, des absences pour s’occuper de l’enfant malade, de garde quand qu’il n’y a pas de transport, de grève de l’éducation nationale, de sortie scolaire, on en arrive à la conclusion que ce postulat ne peut s’appliquer qu’à des femmes ménopausées ayant de grands enfants ou à des femmes sans enfants. Et puis, comme on n’a pas le droit de demander un certificat de stérilité à l’embauche, ni de donner une prime annuelle de non reproduction, on peut concevoir que des chefs d’entreprise considèrent qu’ils peuvent moins rémunérer leurs employées pour des raisons de rendement et d’absentéisme. C’est à l’Etat, s’il veut une politique nataliste de compenser le manque à gagner des entreprises et non au patronat de prendre en charge ce surcout pour des raisons de rentabilité. Car recruter uniquement des femmes stériles serait considéré comme une discrimination vis-à-vis celles qui ne le sont pas.
Mais tout cela n’est que détail ou anecdote, et qu’on le veuille ou non, débouche tout de même sur la notion de proportion, de pourcentage, donc de quota. Cela dépasse la parité hommes/femmes, c’est la porte ouverte aux quotas d’Arabes, de Noirs et pourquoi pas de Juifs à l’université, dans l’entreprise et dans la fonction publique. Avec tous les casse-tête que cela sous-entend au détriment des qualités intrinsèques des individus. Cela débouche inéluctablement sur des calculs, des répartitions, des sélections drastiques et complexes. Il faudrait donc masculiniser les professions d’infirmière, de coiffeuse, de baby-sitter, de femme de ménage, de caissière de supermarché entre autres où il existe un excédent de femmes. Et en comptant les sous-catégories, il faudrait aussi créer des grilles de sélections pour atteindre les quotas. A un blanc, handicapé, il faudrait trouver une femme noire valide en compensation, à un arabe senior, un transsexuel antillais ! A un niveau plus terre à terre faut-il vraiment des femmes dans les sous-marins et les unités de paras-commandos ? Faut-il 50% de veilleuses de nuit et de maitresse-chien dans les sociétés de gardiennage ? On peut en douter.
 
Femme PDG, femme milliardaire, femme chef d’état, cela existe déjà et c’est tout à fait normal, le pouvoir ne devrait être une question de sexe mais de qualification. Et il vaut mieux avoir Angela Merkel à la tête du pays qu’un irresponsable du genre de Sarkozy ! Mais Ségolène Royal possède-t-elle plus de légitimité à gouverner que Dupont-Aignan parce qu’elle porte une jupe ? La femme médiocre, inconséquente, ridicule existe au même titre que l’homme stupide. Un homme ne sera jamais une femme et réciproquement, avant tout pour des raisons physiologiques mais aussi culturelles. On pourra probablement implanter un jour un placenta sur le péritoine d’un homme désirant une grossesse en le chargeant d’hormones comme un cycliste professionnel. Sera-ce un progrès pour la science, l’humanité et la parité ? On peut en douter fortement. Mais déjà certaines féministes, heureusement encore minoritaires veulent gommer toute différence entre hommes et femmes au non d’un égalitarisme qui fait fi de la physiologie, de la culture, de l’éducation au-delà du bon sens.
 


98 réactions


  • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 10:30

    OUais bravo Mister Georges !

    Je suis assez d’accord avec vos propos mais à mon avis cela risque de ne pas plaire....

    Moi je suis justement pour une presuqe parité. C’est à dire une parité ou il resterai encore un peu de galanterie et d’aides aux femmes dans certains cas. En revanche qu’on reconnaisse aux hommes les efforts qui sont fourni, et surtout que l’on nous supprime aussi certains désavantage lié à la masculinité (retrait automatique et systematique de la garde des gosses etc....)

    Bref un peu plus d’égalité, mais je crois que l’égalité absolue n’existera pas dans ce domaine, car nous sommes plus complémentaires que similaires.

    Sinon sur le principe vous avez totalement raison, y en marre de se faire niquer la gueule. Depuis 75 on nous demande de faire des efforts que nous avons fourni. Mais le comportement des femmes lui s’est dégradé totalement, si bien qu’au final il y a des femmes qui se comportent comme des hommes d’avant 1975, et que des vrais macho dur et ferme, ben il y en a de moins en moins. La mode est plus à la semi fiotte épilée et métrosexuel (type Cristiano Ronaldo). Heureusement que toutes les femmes ne s’y trompe et que nous conservons notre valeur aux yeux de certaines.... Néanmoins je suis presque sur que bientot les vrais mecs (qui se dégonflent pas et prennent leur responsabilités) seront bien plus côté sur le marché que des mecs qui passent leur vie à se regarder dans une glace.


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 18 mars 2010 10:53

    C’est pas simple, surtout dans ce que révèle ces cas :

    http://www.lexpress.fr/actualite/monde/quand-les-femmes-prennent-le-pouvoir-dans-la-mafia_780037.html

    La femme serait-elle l’avenir du crime ?

    http://levif.rnews.be/actualite/monde/72-58-37943/mafia—quand-les-femmes-prennent-le-pouvoir.html#

    La championne dans le sujet s’appelait : Choupetta, ce qui veut dire « sucette »


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 11:09

      Nous on a eu Florence Rey dnas le genre. je crois qu’elle était pas mal dans son style ; Je coris meme qu’elle a fini de purger sa peine....


  • Annie 18 mars 2010 11:46

    « Si l’on tient compte des congés de maternité, des absences pour s’occuper de l’enfant malade, de garde quand qu’il n’y a pas de transport, de grève de l’éducation nationale, de sortie scolaire, on en arrive à la conclusion que ce postulat ne peut s’appliquer qu’à des femmes ménopausées ayant de grands enfants ou à des femmes sans enfants ».

    A part les congés maternité, le reste peut aussi bien s’appliquer aux hommes qui partagent l’éducation de leurs enfants. 


    • Georges Yang 18 mars 2010 14:15

      Oui mais la réalité est toute autre, il y a plus en plus de femmes seules avec des enfants
      Ce qui est acceptable pour une multinationale est très pénalisant pour une petite entreprise, quand la femme s’absente pour de bonnes raisons qui n’ont rien à voir avec l’entreprise


    • Fergus Fergus 18 mars 2010 15:54

      Bonjour, Annie et Georges.

      D’accord avec Annie sur cette observation d’autant plus pertinente qu’un nombre d’hommes croissant éduquent désormais leurs enfants tandis que leurs épouses vont travailler.

      @ Georges.
      Globalement d’accord avec le fond de l’article. Pour l’illustrer, je citerai le cas de deux sports : l’athlétisme et le tennis.

      Dans le premier, les femmes et les hommes font à peu près les mêmes épreuves dans les mêmes conditions, y compris le marathon. A quelques rares exceptions près : heptathlon contre décathlon, hauteur de haies, poids des engins dans les lancers.

      Dans le second, les femmes perçoivent les mêmes prix dans les tournois majeurs alors que les hommes jounet en 5 sets contre 3 seulement (souvent plus expéditifs) aux femmes.

      A chercher l’égalité à toute force, on a créé là une injustice d’autant plus criante qu’il est infiniment plus difficile d’atteindre le haut niveau chez les hommes eu égard à un nombre de licenciés nettement plus élevé. Quant à l’argument de la résistance pour épargner les 5 sets aux femmes, le marathon en athlétisme ou les triathlons féminins montrent qu’il est infondé.

      Bonne journée.


  • Julien Julien 18 mars 2010 13:18

    Les CV anonymes, OK. Cela va dans le sens d’accorder le maximum de chances à tout le monde. J’emploie le mot « maximum », car lors d’un entretien, à moins de porter une cagoule, l’employeur verra bien s’il a affaire à un noir ou à une femme. Et comme dit Zemmour, il aura le droit de ne pas sélectionner ce candidat, en invoquant une autre raison (un autre candidat était meilleur). En revanche, il n’a pas le droit en invoquant une question de couleur ou de sexe ! Mais cela n’empêche pas de le faire !


    La parité, les quotas, NON ! Cela revient à faire de la discrimination, donc cela va dans le sens contraire des CV anonymes !

    Quand j’entends à la radio des journalistes parler de parité, puis de CV anonymes quelques minutes plus tard, je me dis qu’il y a vraiment un problème dans leur manière de raisonner.

  • sleeping-zombie 18 mars 2010 13:22

    Hello,

    J’aime bien tes articles en général, mais celui-là fleure un peu trop la vieille france (sans majuscule)...

    A travail égal, salaire égal, cela sent l’évidence. Ne pas l’appliquer est donc une injustice criante. Mais on peut aussi dire à temps de travail égal salaire égal. Si l’on tient compte des congés de maternité, des absences pour s’occuper de l’enfant malade, de garde quand qu’il n’y a pas de transport, de grève de l’éducation nationale, de sortie scolaire, on en arrive à la conclusion que ce postulat ne peut s’appliquer qu’à des femmes ménopausées ayant de grands enfants ou à des femmes sans enfants.

    A part le congé maternité, toutes les contraintes dont tu parles peuvent très bien être assumées par le père non ?

    Et à l’exception des métiers à forte contraintes physiques, les femmes (en général) sont a même de faire autant que les hommes (en général), alors pourquoi est-ce que ce sont elles qui se coltinent la plupart des temps-partiel imposés, des « petits boulots » mal payés etc... ?

    Et pour finir :
    Mais déjà certaines féministes, heureusement encore minoritaires veulent gommer toute différence entre hommes et femmes au non d’un égalitarisme qui fait fi de la physiologie, de la culture, de l’éducation au-delà du bon sens
    Et ben figure-toi que c’est sans doute au nom de tout ça (le bon sens surtout) que les femmes n’avaient pas le droit de vote jusqu’en 1948...


  • vivien françoise 18 mars 2010 13:26

    Faut-il qu’ils aient peur de nous, pour blabater autant sur nous. Maintenant, ce sont les hommes qui réclament la parité, ils veulent avoir tous nos droits mais bien sûr sans les devoirs qui vont avec. Ils se sentent si fragiles qu’ils faut leur ouvrir la porte, leur laisser la place dans le métro et que surtout nous payons l’addition au restaurant.
    Mais où sont les hommes ? yen a marre de ces timides et si doux machos qui sentent bon l’eau de parfum.
    De quoi vous plaignez vous donc tant ? le chef du gouvernement est encore un homme, tout comme le premier ministre, tout comme la plupart des postes très importants.
    De la poudre aux yeux, rien que de la poudre aux yeux.
    Vous ne vous rendez pas service à étaler votre fragilité.
    Bon, j’me casse comme dirai Marcel.
     Salut les mecs ! et gentes dames
    Sissy


    • L'enfoiré L’enfoiré 21 mars 2010 11:47

      Salut Vivien,
       Je l’ai toujours dit, puisqu’on meurt avant les femmes qui deviennent des veuves joyeuses, il faudrait que ce soit nous qui portions les manteaux de fourrures.
       Peur de vous ?
      Oui, bien sûr ça existe.
      Il y en a de plus en plus d’ailleurs.
      C’est pas le genre de l’enfoiré. Lui il accorde à sa moitié les prérogatives à celui qui en a les meilleurs dons pour les assumer.
      Les devoirs sont partagés. Madame est restée à la maison, pendant que Monsieur allait travailler.
      Alors la cuisine et l’entretien des lieux, c’est vrai qu’ils étaient plus en relation avec celle qui en était le plus près.
      Où sont les hommes, les machistes ?
      Bonne question. Les femmes à barbe, j’en ai connu.
      Comme le disait l’article, la galanterie et l’amour courtois, faudra peut-être oublier.  


    • L'enfoiré L’enfoiré 21 mars 2010 12:49

      sissy,
       Je complète parce que figurez-vous j’ai été cherché le pain.
       La parité et l’égalité des sexes, cela n’existe pas.
       Alors, il faut jouer à la complémentarité.
       Deux coqs sur le même fumier, cela ne marche pas.
       Pourquoi croyez-vous que les avocats ont énormément de travail avec le nombre de divorces ?
       Parce qu’il n’y a plus cette complémentarité.


    • vivien françoise 21 mars 2010 16:44

      Bonjour Guy,
      Si tous les hommes ou alors la plupart pour faire réalistes, étaient comme vous, il y aurait eu plus de femmes heureuses. Oubliez ce concept ridicule, de veuves joyeuses. Je le suis, veuve depuis 7 ans. J e peux vous dire, qu’il n’y a rien de joyeux dans le fait de perdre son mari, car il faut continuer seule pour poursuivre la route.
       Je n’ai pas de manteau de fourrure, d’ une, car sous 33° la fourrure n’est nullement indispensable, et de deux, ce sont les animaux qui ont besoin de leur fourrure. 
      Bon dimanche
      Sissy 


    • L'enfoiré L’enfoiré 21 mars 2010 17:45

      Bonjour Sissy,

       Merci de dévoiler un peu de votre vie. Merci pour l’appréciation que vous faites de la mienne. smiley Nous n’en sommes pas maître. Le destin est parfois très cruel. Je peux dire que ma moitié est très précautionneuse de ma « petite santé ».
       Quant à la fourrure, c’était le côté amusant de mon message. On en fait de synthétique qui réchauffe tout autant.
       Je vous préviens que demain, j’aurai même un article qui pourrait paraitre sexiste à certains moments. Je n’y suis pour rien, je préviens. La source n’est pas venue de mon propre cru.

       Bonne soirée et à demain peut-être smiley


  • Emile Red Emile Red 18 mars 2010 13:48

    Yang il est du genre à filer un coup de bite, se tirer pendant neuf mois et revenir quand le boulot est fait.

    Il est du genre à baver devant sa TV, charentaises au pied, bière à la main quand Bobonne fait la vaisselle et torche les gosses.

    C’est le type qui te bouscule dans le métro, garde sa place devant une mammy perclue de rhumatismes et insulte la contrôleuse parce qu’elle n’a rien à foutre dans ce boulot de mec.

    Yang c’est le mâle, le vrai, celui qui ronfle, qui pue de la gueule qui se gratte les couilles et renifle en public.

    Yang c’est Bidochon 1er...


    • Georges Yang 18 mars 2010 14:00

      Emil Red ne comprends jamais rien à ma prose, je ne suis donc pas étonné de ses éructations habituelles


    • Emile Red Emile Red 18 mars 2010 14:32

      Ce n’est pourtant pas votre bière....

      Je ne comprends pas ou je comprends trop bien, difficile de s’admettre n’est-il pas ?


  • globulos nilasse 18 mars 2010 13:55

    depuis que je suis môme,je n’ai jamais compris pourquoi les femmes n’allaient pas faire la guerre par exemple. je serais pour une égalité totale,les mêmes taches dangereuses ou pénibles,tant pour les hommes que pour les femmes,mais aussi les mêmes salaires et la même reconnaissance. le problème,c’est que la situation ne tourne pas dans cette direction. mon propre vécu me l’a montré,j’ai vécu pendant 6 ans avec une nana qui considérait que l’égalité était le fait que je travaille,fasse la bouffe et toutes les corvées ménagères,pendant que madame ne faisait rien. si c’est ça l’egalité vue par les feministes,non merci.


    • vivien françoise 18 mars 2010 13:58

      Et vous avez mis 6 ans pour vous rendre compte que la parité ce n’était pas ça ?


    • globulos nilasse 18 mars 2010 14:02

      quand on aime,on ne compte pas cher madame ! mais peut etre ignorez vous ce qu’aimer signifie..................


    • vivien françoise 18 mars 2010 14:12

      Aimer ? vous avez décrit si bien votre amour que j’ai réagi en conséquence. Ne m’en veuillez pas. C’est bien vous qui décrivez votre quotidien avec votre amour, vous bossiez elle ne fichait rien. Si ça c’est pas de l’amour !
      Ce n’est pas de cette façon que je le conçois, un couple partage tout, même les corvées.
      Vous me demandez si j’ai aimé, bien sûr que j’ai aimé. Mon mari finissait ses cours pour être chirurgien-dentiste pendant que je travaillais. Mais il lui est arrivé d’emmener son fils aux cours lorsqu’il y avait un pb de crèche, il s’occupait de lui, faisait les courses. Le partage, vous dis-je ! 
      Et nous en avons eu encore deux autres ensuite, qui ont bien bien réussi. Tout n’est que partage dans un couple.
      VF


    • globulos nilasse 18 mars 2010 14:17

      votre vie n’est pas forcement le reflet de la réalité quotidienne de nombres de vos concitoyens cher madame. les situations de couples sont variées. apres il est facile de lancer des phrases incantatoires sur ce qui est bon ou pas. mais les choses sont souvent bien plus compliqué que cela.


    • Emile Red Emile Red 18 mars 2010 14:40

      Allez, Nilasse, la vaisselle, une fois entrainé, ça ne prend que dix minutes, et si tu te lances à faire les courses, tu tomberas bien sur le nouveau lave-vaisselle à réaction turbo nucléaire.

      Le partage des tâches c’est tout un savoir vivre, simple à mettre en oeuvre une fois compris que ce n’est ni dégradant ni dévirilisant, de plus on y trouve quelques satisfactions. 


    • @distance @distance 18 mars 2010 14:51

      depuis que je suis môme,je n’ai jamais compris pourquoi les femmes n’allaient pas faire la guerre par exemple Par nilasse 

      ignorance peut-être ?


      Pendant la 1ère guerre mondiale : La plupart des hommes en âge de travailler avaient été mobilisés en 1914. Au fur et à mesure que s’envola l’espoir d’une guerre courte, il fallut ramener dans les usines les ouvriers les plus qualifiés, et aussi faire appel à la main d’oeuvre féminine.
       
      Un certain nombre de femmes travaillaient déjà avant la guerre, mais elles étaient le plus souvent cantonnées dans des tâches considérées comme secondaires. Ce qui était nouveau et frappa les esprits, ce fut leur embauche d’ouvrières dans les usines d’armement.

      la contribution des femmes à l’effort de guerre a revêtu des formes multiples :
       - courage des femmes d’agriculteurs qui, dans une France encore à dominante rurale et agricole, ont dû assumer à partir de l’été 1914 les durs travaux des champs ;
       - dévouement des infirmières qui ont soigné les soldats blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence ;
       - compassion des « marraines de guerre » qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux ;
       - courage aussi des femmes des villes qui ont dû pallier le manque de main d’oeuvre dans de nombreux secteurs d’activités, distribuant le courrier, conduisant les tramways, travaillant plus de 10 heures par jour dans les usines d’armement.


      La journaliste Marcelle CAPY, féministe et libertaire, travaille quelques semaines incognito dans une usine de guerre. Son témoignage paraît dans La Voix des femmes entre novembre 1917 et janvier 1918 :


      « L’ouvrière, toujours debout, saisit l’obus, le porte sur l’appareil dont elle soulève la partie supérieure. L’engin en place, elle abaisse cette partie, vérifie les dimensions ( c’est le but de l’opération), relève la cloche, prend l’obus et le dépose à gauche.
       Chaque obus pèse sept kilos. En temps de production normale, 2 500 obus passent en 11 heures entre ses mains. Comme elle doit soulever deux fois chaque engin, elle soupèse en un jour 35 000 kg.
       Au bout de 3/4 d’heure, je me suis avouée vaincue.
       J’ai vu ma compagne toute frêle, toute jeune, toute gentille dans son grand tablier noir, poursuivre sa besogne. Elle est à la cloche depuis un an. 900 000 obus sont passés entre ses doigts. Elle a donc soulevé un fardeau de 7 millions de kilos.
       Arrivée fraîche et forte à l’usine, elle a perdu ses belles couleurs et n’est plus qu’une mince fillette épuisée.
       Je la regarde avec stupeur et ces mots résonnent dans ma tête :
      35 000 kg ».


    • globulos nilasse 18 mars 2010 14:56

      aucune femmes n’allaient sur le front,elles travaillaient dans les usines d’armements,commentaire a coté de la plaque.


    • @distance @distance 18 mars 2010 14:57


      La guerre est constituée de la somme d’innombrables expériences individuelles.
       Rarement montrées dans les films d’actualité, les femmes ont pourtant apporté une contribution inestimable dans la victoire des Alliés.

       En temps de paix, les mêmes qualités de courage, d’endurance et d’esprit d’initiative seront mises au service du combat pour l’amélioration de la condition féminine.


    • vivien françoise 18 mars 2010 15:02

      mais la votre oui ! apparemment. Vous bossez elle fiche rien et vous osez critiquer ma vie !!
      Vous voudriez avoir le dernier mot ? je vous le laisse.
      VF


    • vivien françoise 18 mars 2010 15:05

      c’est normal elles n’avaient même pas le droit de vote !


    • globulos nilasse 18 mars 2010 15:09

      mais ou est le rapport entre le droit de vote et aller sur le front ?????????

      pendant la guerre d’algerie,elles l’avaient le droit de vote. si c’est pour faire ce genre de commentaires,allez faire une sieste,ça vous fera du bien.

      ps : je ne peux pas critiquer votre vie pour 2 raisons,je ne vous connais pas et j’en ai rien a cirer.


    • @distance @distance 18 mars 2010 15:10


      Bien que le colonel Rol-Tanguy ait déclaré dès la Libération que « sans elles, la moitié de notre travail eût été impossible », qu’elles aient obtenu en 1944 le droit de vote, reconnu depuis longtemps aux femmes d’autres pays démocratiques, les résistantes restent les grandes oubliées de l’historiographie des années 1940-1944. Pourtant, par leur origine et leur statut dans la société française de l’époque, leur engagement et les missions qui leur étaient confiées ne comportaient pas moins de risques que ceux de leurs compagnons de lutte.

      Cette occultation persistante tient essentiellement à deux facteurs :

      1) la dévalorisation de leur rôle jugé secondaire, complémentaire par rapport au service armé des hommes.

      2) la nationalisation à posteriori de la Résistance, conduisant à passer sous silence l’importante contribution à la libération de la France des étrangers, des étrangères ou des personnes d’origine étrangère.

      L’oubli des femmes dans l’historiographie de la Résistance
      http://clio.revues.org/index513.html


    • vivien françoise 18 mars 2010 15:12

      dis donc voir M. Nilasse
      Faudrait pas abuser non plus


    • globulos nilasse 18 mars 2010 15:15

      mais de quoi parlez vous ?? vous melangez tout pour vous confortez dans votre contradiction maladive,je vous parle d’aller sur le front pendant une guerre,pas d’autre chose cher madame.


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 15:47

      Ouais enfin si c’est envoyer les femmes au front, mais que les soldats survivants de la bataille n’aient plus le repos du guerrier, je ne voit pas l’interet de se battre.

      ALors pour repondre à la question de Nilasse, il faut déjà prendre en compte que l’instinct dominateur par la brutalité est bien souvent chez les humains le fruit d’une reflexion masculine. La domination féminine ne se mettra pas en place par la violence, mais plutot par la subtilité.

      Par définition la guerre est donc un truc d’homme puisque c’est la mise en application jusquauboutiste de la connerie Masculine. Dans le sens ou si le monde avait été dominé par les femmes, les guerres ne se seraient absolument pas déroulée comme cela, il n’y aurait pas eu de front etc.... la force phisyque etant finalement une qualité qui a peu de valeur pour la gente feminine. Reconnaitre que le vainqueur est le plus fort a la bataille n’est pas dans la logique féminine.

      Alors pourquoi vas t on faire faire nos conneries d’hommes aux femmes alors qu’elles n’ont pas ce besoin si betement masculin d’aller foutre sur la gueule du mec en face, et qu’en plus il est clair qu’elle sont moins compétente dans ce domaine (la baston bete et mechante).

      On a pas envoyé les gosses à la guerre non plus, pourtant les gosses de 15 ans sont parfois plus forts que ceux de 35....


  • curieux curieux 18 mars 2010 13:57

    Je me répète mais la parité est antidémocratique et hommes ou femmes peuvent prétendre à de nombreuses places dans la politique ou le travail. Moi, je n’ai pas constaté de salaires inférieurs à travail égal. Naturellement, des travaux moins valorisants donnent des salaires inférieurs. Je ne pense pas qu’un infirmier-homme soit plus payé qu’une infirmière-femme. C’est plus le fait qu’il y ait un fort chômage qui mène à des salaires minables.


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 14:37

      Il faut aussi dire que l’on recrute et fixe le salaire en fonction de l’experience professionelle.
      Un homme qui aura exercé differentes proffesions depuis plus de 15 nas, sans interuption se verra certainement proposer un poste égal mais un salaire supérieur à celui du’un femme qui au cours des 15 dernières années, n’en a travaillè que 13, pour cause de maternité donc 3 à mi temps....

      Le parcours est aussi determinant dans les grilles de salaires....


    • Annie 18 mars 2010 15:21

      Un homme infirmier sera rémunéré comme une infirmière, mais comme il y a une non-reconnaissance des compétences dans les métiers féminisés, qui font appel au rôle présumé « naturel » de mère, ceci se traduit par une dévalorisation de ces métiers et par des écarts de salaire importants. Donc la question n’est plus celle de l’égalité de salaire, mais de valorisation des métiers


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 15:38

      POur el coup Annie, je suis quand meme plutot d’accord avec vous.

      C’est vrai que les metiers qui se sont féminisés tel infirmiere ou instituteurs ont été dévalorisé. Je crois que seule la magistrature garde sa superbe.... Mais sinon c’est vrai que c’est un peu déguelasse....


  • peace06 18 mars 2010 13:57

    l’égalité !! cela me fais sourire !!
    Un quotas de femmes dans les conseils d’administration, dans la politique ... mais nous, les femmes, on ne veut pas toujours l’egalité !!! pour etre l’agale de ces bons à rien d’hommes politiques ? de ces voleurs du cac 40 ? non merci !!!
    moi, je ne veux surtout pas de cettte égalité de poste qui m’obligerait a devenir comme eux !! les yeux rivés sur les indices boursiers où autres !! Moi je suis femme... heureuse d’avoir un poste sans ambition, heureuse de pouvoir m’occuper de mes enfants (au lieu de les mettre à la creche, garderie, centre aéré de 7h à 20h... je ne veux surtout pas l’egalité avec ces gros ambitieux qui nous devorent !!!


    • ChatquiChouine ChatquiChouine 18 mars 2010 21:51

      Voilà une réaction interessante ! d’ une femme qui a bien compris que cette revendication d’égalité ne concernait que les couches sociales supèrieures...et en aucun cas celle de pouvoir faire de la plomberie ou de la maçonnerie (métiers dont l’ accès leur est parfaitement ouverts pourtant...).
       Dans l’usine ou je travaille, il y a des filles qui font de la tôlerie, de la découpe et de la pose d’ adhésifs, du montage et elles font du bon boulot...au même salaire que les mecs.
       Le service BE est quasi exclusivement masculin...faute d’avoir des postulantes mais par contre, le service commercial est très largement féminin, tout comme le service compta alors, que conclure ?
      Ben rien justement, si ce n’est que ce « problème » ne concerne essentiellement que les accessits aux postes de directions qui n’ont, pour seul critères de selections que la compétence et l’investissement personnel.
      Cet investissement est tel qu’il empiète très largement sur sa vie privée, et ce sacrifice la, beaucoup de femmes ne veulent pas, et à juste titre à mon avis, s’y résoudre.

      Quant a vous, peace06, je ne sais si votre avatar fait référence à une quelquonque paix dans les Alpes Maritimes mais si tel était le cas, je comprend d’autant mieux votre souhait de pouvoir profiter de la Méditérannée et du Parc du Mercantour.


  • @distance @distance 18 mars 2010 14:13

    Néanmoins je suis presque sur que bientot les vrais mecs (qui se dégonflent pas et prennent leur responsabilités) seront bien plus côté sur le marché que des mecs qui passent leur vie à se regarder dans une glace. Par King Al Batar



    ouais the king, t’as raison man,

    créons la Foire aux bovins gras
     ! foire-concours en direct sur Agoravox : 19-20 mars
    à signaler deux beaux specimens
    Yang Bidochon 1er... et son pote King Al Batar1er


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 14:45

      Et pourquoi donc me qualifier de beauf ????

      Parce que j’ai habité chez les pauvres toute ma vie.... ? Effectivement, je n’ai jamais connu la grande classe, sauf quand je draguais de la bourgeoise (non la je m’égarre)....

      Donc vous qui avez tellement de classe et d’élègance, quel modèle d’homme voulez vous montrer à vos enfants ? En quoi votre vie est elle tellement admirable, au point que j’en soit réduits à etre un bovin gras, bete de foire..... ?


    • @distance @distance 18 mars 2010 15:00

      Néanmoins je suis presque sur que bientot les vrais mecs (qui se dégonflent pas et prennent leur responsabilités) seront bien plus côté sur le marché que des mecs qui passent leur vie à se regarder dans une glace. Par King Al Batar


      c’est pas vous, King Al Batar, qui avez écrit ça ? il faut assumer

      côté sur le marché me fait penser à la Foire aux bestiaux !


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 15:08

      Sisi c’est moi qui ait écrit cela, mais ce n’est absolument pas beauf.... Je suis sur que des personnes de differents niveaux sociaux pensent comme moi et cela n’a rien a voir avec la beaufitude ou la bogossitude....

      Je considère que les semi fiottes qui font des UV, de la muscu, qui se regardent dans glace 25 fois par jour, et qui constitue aujourd’hui le fantasme des gamines de 20 ans n’a strictement rien de viril. JE consièdre que si, pour nous les hommes, la féminité est importante alors, pour elle, la virilité doit l’être également.
      Croyez vous que je sois jaloux ???? Pas du tout (comme dirai Dutronc). Parce que des femmes reconnaissent ma valeur, et que la plupart ont d’abord gouté à cet esthete moderne bande-mou pour ensuite se retourner vers un homme un peu plus masculin.

      Mais toi, qui donne des lecons et qui juge surtout, tu es comment avec ta femme ? plutot oui ma cherie, d’accord ma chérie, je ne le referrai plus ma chérie... Et c’est parce que tu es frustré de fermer ta gueule à la maison que tu l’ouvre sur ton clavier ? Ou tes baloches commencent elle à pousser ?


    • @distance @distance 18 mars 2010 15:44

      Mais toi, qui donne des lecons et qui juge surtout, tu es comment avec ta femme ? plutot oui ma cherie, d’accord ma chérie, je ne le referrai plus ma chérie... Et c’est parce que tu es frustré de fermer ta gueule à la maison que tu l’ouvre sur ton clavier ? Ou tes baloches commencent elle à pousser ? KING AL BATAR


      alors ! toujours dans la foire aux bestiaux : c’est moi kiki a les plus grosses baloches 
       smiley


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 15:52

      Je ne sais pas qui a les plus grosses balloches,

      Mais c’est toi qui insulte devnat ton clavier sans avoir a payer les conséquences de tes insultes. Certainement un grande preuve de courage. Un peu comme le petit roquet qui fait des doigts à tout le monde dans sa petite voiture, protégé dans sa boite en métal....

      Donc je vois que plutot que de repondre à ma question à savoir comment tu te comporte avec ta femme, tu préfère jouer à faire l’insultant.

      Si je suis un bovin, alors toi tu serai un petit canich peureux qui aboie mais qui ne mords pas..... Par contre qu’est ce que tu fais comme boucant.

      Sache deux choses distance, tu m’aurait eu en face de toi tu n’aurai jamais osé tenir ces propos, peureux comme tu es..... Et deuxièmement le fait qu ne reponde pas à ma question me conforte dans l’idé que tu dois certainement rentrer dans la typologie des semi fiottes que j’ai ecrit précedement.

      T’inkiète pas, un jour tu sera un homme mon fils, en attendant..... Vas faire la vaisselles canard !!!!


  • sisyphe sisyphe 18 mars 2010 14:27

    Finalement, l’élection du petit Ubu à l’Elysée, et, avec lui, l’avènement de  ; la droite décomplexée, la fin de la « bien-pensance », du « politiquement correct », de la « pensée unique », a permis à tous les beaufs et tous les ringards de pouvoir lâcher la bonde aux clichés les plus vulgaires et rétrogrades ... et ramené, du coup, le débat d’idées au... ca-niveau...

    Bah ; faut bien que ça s’défoule...

    Je sais, Yang ; ce que je dis, c’est des éructations...
     smiley


    • Georges Yang 18 mars 2010 14:36

      Non Sysiphe, ce n’est hélas pas seulement une éructation, mais une pensée passe-partout tellement consensuelle qu’elle pas à côté de la réalité
      On peut encore se révolter dans ce pays à l’unique condition de choisir sa révolte parmi les thèmes qui sont autorisés sur le catalogue médiatique

      Si je défendais la fourrure, la chasse ou le corrida dont je me fous éperdument cela serait uniquement pour exciter des gens comme vous


    • Emile Red Emile Red 18 mars 2010 14:48

      Ouaouhh !

      La grande âme qui s’inquiète du niveau de révolte de ses congénères.

      Dis moi qui tu es, je te déterminerai mes alibis...

      « Yang, un prophète », bientôt à la Mostra di Venezia


    • sisyphe sisyphe 18 mars 2010 15:34

      pensée passe-partout tellement consensuelle

      A rajouter à « la penséunik », la « bienpensance », le « politkmenkorrekt » !
       smiley

      Il ne nous en épargnera aucune, le père Yang !
       smiley


    • Georges Yang 18 mars 2010 15:45

      Vous n’éructuez plus désormais, vous bèlez avec le troupeau


    • Emile Red Emile Red 18 mars 2010 16:11

      Prétendriez-vous être hors du troupeau ?

      Quelle fatuité doublée de naïveté puérile.
      Je vous rappelle que l’homme est un animal grégaire et qu’il est pathologique de s’écarter du groupe telle la bête aux abois.

      Et la laine tient chaud...


    • sisyphe sisyphe 18 mars 2010 23:58

      A tout prendre, je préfère, effectivement, la chaleur du troupeau que les vapeurs avinées de pochtrons des beaufs du Café des sports et du commerce réunis...

      Surtout ceux qui veulent jouer les cadors, en faisant de la provoc pour rouler les mécaniques  : Yang, c’est pas Bidochon, c’est SuperDupont !
       smiley  smiley)


    • Georges Yang 19 mars 2010 09:50

      Sysiphe et Red
      Vous êtes des gallinacés grégaires, restez dans votre basse-cour
      ET pour parodier Paul Fort , je dirai que je vole trop haut pour vous et ce qui vous arrive, à votre bas niveau, ce sont mes fientes.


    • sisyphe sisyphe 19 mars 2010 20:22

      Fais gaffe de pas voler trop haut ; il y a des nuages : parce que le poème auquel tu fais allusion n’est pas de Paul Fort, mais de Jean Richepin ! smiley

      Où quand Superdupont veut se mêler de culture....
       smiley smiley


  • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 14:34

    Je vais vous parler de ma propre experience.

    Je suis issu d’uune communauté ou le machisme existe, ne le cachons pas, bien plus culturellement que dans d’autres communauté que forment mes compatriotes. iI est clair que la femme juive, même fortement diplomée, est quand même plutot élevè dans un schema ou elle arretra de travailler (si les moyens financiers de Mr lui permette) pour se consacrer à l’éducation de ses enfants. Meme si je n’ai pas eté elevé comme cela (pas de père) on m’a quand même bien transmis le message.... que bien evidement je n’ai pas appliqué.

    Ma femme est Guadeloupéene. Avant de vivre avec elle, je n’avais absolument pas connaissance de la culture Antillaise. Je n’imaginait pas qu’il puisse exister une culture ou finalement la femme avait autant d’importance que cela dans la vie. Dans sa culture (peut etre est ce propre à sa famille) les hommes sont la mais ne font pas grand choses et les femmes assument tout toute seule. Par conséquent les Doudous sont un peu les chefs de leur foyer, et les hommes n’ont pas grand chose à dire. Je ne vous cache pas qu’au début ca a été très dur pour moi de débarasser mon assiette, mettre la table, ramasser des chaussettes et ne pas avoir de femme soumise à la maison.

    Mais finalement on s’y fait tout a fait, et c’est quand même bien plus appréciable d’avoir une emmerdeuse à la maison qu’une femme qui dit oui tout le temps et qui est obéissante ! D’ailleurs j’ai toujours penser qu’un femme intelligente est forcément casse couille !

    Elle même, qui n’a pas jamùais vécu dans un environnement macho de sa vie, et qui était autant dépaysé que moi par le mode de vie de l’autre, me concede aujourd’hui qu’elle préfére de loin un homme un peu macho, viril mais serieux et aimant, qu’un mec egoiste, narcissique, volage et absent....

    Bien evidement il existe des hommes qui se situent entre les deux extremes que je vient de citer, mais je reste persuadé qu’aujourd’hui il est possible de distinguer une forme de machisme qui ne soit pas reducteur pour la femme et une autre qu’il faut condamner. je m’explique, on peut tout a fait admettre qu’une femme, du fait de ses différence, ait plus ou moins d’apétance dans certains domaines que les hommes, et qu’elle sont plus faites pour exercer certaines activités que d’autres (par exemple je pense qu’un femme dans bien des cas est bien plus doué pour donner de l’amour à un enfant qu’un homme, meme si un homme peut le faire aussi. De la même manière un homme est quand même plus apte à deboucher des chiottes, à changer un siphon ou foutre du parquais flottant qu’une femme, même si certaines femmes pourraient le faire aussi bien). Reconnaitre cela n’est pas négatif pour les femmes, dans la mesure ou elle peuvent faire ce qu’elles veulent.

    Bon de toute façon on a une femme de ménage donc le problème ne se pose pas. Mais eu dela des principes, il faut bien prendre en compte aussi le culturel. Chacun construit son couple comme il a été élevé ou plutot en fonction de comment il a été elevé (s’inspirer des erreurs commise pour ne pas les repeter et reproduire ce que l’on considère positif). Ce qui permet d’avoir un modèle et de l’améliorer à sa sauce. Le machisme se reproduira donc eternellement en meme temps que les couples se forment, car malgrès toutes les critiques qu’on a pu relever c’est une formule qui fonctionne. En revanche, les couples modernes avec une femme qui travaille et qui sacrifie soit son travail soit sa vie famillale au profit de l’un ou de l’autre, avec un homme moderne, qui finalement ne sait plus rien faire à part travailler (pas de bricolage, pas d’epaules, pas de severité si l’enfant déconne etc...) et la vaisselle, finissent par generer quand meme beaucoup de divorces. Aujourd’hui il est un peu tot pour le mesurer, mais est ce que ces divorces auront une influence sur les futures générations ? Y aura il une tendance vers le retour au source du couple qui dure toute la vie, avec une veritable entreprise familliale, ou au contraire va t on assister à une veritable destruction programmé de la famille ?

    En gros la présence des machos n’est elle pas nécéssaire pour la sauvegarde du modèle familiale traditionnel ?


    • sleeping-zombie 18 mars 2010 20:37

      Bien evidement il existe des hommes qui se situent entre les deux extremes que je vient de citer, mais je reste persuadé qu’aujourd’hui il est possible de distinguer une forme de machisme qui ne soit pas reducteur pour la femme et une autre qu’il faut condamner.

      Là je te suis pas... Le machisme c’est « l’homme est supérieur à la femme ». point. C’est idiot et condamnable, tout comme l’est le racisme.

      Confondrais-tu machisme avec masculinité ou virilité ?


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 22:45

      C’est vrai que c’est un peu surprenant. Premièrement je ne pense pas que l’homme soit supérieur à la femme.

      Voici la définition de Wikipedia :
      "

      Le machisme, avec ses dérivés « machiste » et « macho », désigne la tendance de certains hommes à mettre en avant de manière exacerbée et exclusive leur virilité et de penser que les femmes leur seraient inférieures dans tous les domaines ou dans les domaines prestigieux, pensant ainsi qu’il est logique qu’elles soient cantonnées aux tâches subalternes.

      Le machisme implique souvent la phallocratie (seuls les hommes décident ou ont le pouvoir de décider dans les domaines les plus importants) et implique de la misogynie."

      Effectivement si on lit àa. Je ne suis pas macho et je ne suis pas d’accord avec cela.

      Toutefois, je pense que les hommes et les femmes sont différents et complémentaires, et qu’il y a des domaines ou l’homme est plus capable de se distinguer, et les femmes également.

      Je pense qu’il est préférable,et absolument pas réducteur ni pour l’un ni pour l’autre qu’il puisse s’épanouir dans des domaines qui lui sont propres. Et ce n’est pas réduire la femme que de dire cela. Disons que si j’ai l’oseille pour permettre à ma femme de ne pas travailler ou de travailler à mi temps et se consacrer à l’éducation des enfants je préfèrerai. Après je dis je préfèrerai car dans un couple on est deux.



    • Monsieur le Bâtard,

       

      Veuillez m’excuser de m’immiscer ainsi dans cette discussion entre gentilshommes, mais je ne puis vous laisser proférer de telles insanités ! En effet, vous écrivez : « …je ne pense pas que l’homme soit supérieur à la femme. », et en cela vous vous détournez de la juste voie tracée pour nous par l’Eternel, qui dans son ineffable sagesse a destiné la Femme à la propagation de la vie, ainsi qu’à l’excellence dans les arts domestiques : ce qui donc place naturellement l’homme au-dessus et la femme en dessous.

       

      Bien que cela soit certes triste, si ce n’est affligeant, c’est le propre de la femme de n’entendre rien aux affaires de la Raison, et d’avoir un dégoût certain pour les questions touchant à l’Homme, à l’Amour, la société ou bien encore le sens de la vie ; cela est triste, j’en conviens car nous devons subir leur compagnie si nous formons l’espoir d’avoir quelque descendance, mais ne nous en prenons point à Dieu et à la Nature, qui dans leur ineffable sagesse les ont non seulement doté de tendres appâts mais aussi nous ont offert l’échappatoire suivant : à savoir que la femme qui certes a peu d’esprit, a néanmoins le naturel instinct de savoir le sacrifier par amour pour son époux qui lui est naturellement supérieur autant en nature qu’en esprit, et ainsi poussée par la grandeur et superbe de son compagnon se voit dotée d’un second esprit, qui ainsi corrige sa déficiente nature.


      ainsi pour illustrer mon propos, j’évoquerai ma tendre et fidèle moitié, ma chère Eugénie, qui si elle excelle dans la confection de madeleines, n’entend rien à celles du cosmopolite Proust...

       

      Et sachez que si c’est l’amour qui vous a fait proférer de telles insanités, et prétendre à l’égalité des genres, bien souvent une paire de binocles bien montées suffit à affranchir le malheureux homme succombant aux élans de la passion de tel manquement à la Raison et au respect de l’Ordre naturel.


      Ainsi donc Monsieur le Bâtard, concevez bien qu’un machiste ne fait dés lors que témoigner d’un respect certain pour les grandioses desseins de Dieu et pour l’Ordre naturel, mais rappelez-vous cependant qu’en vengeance comme en amour, la Femme est définitivement plus barbare que l’Homme...


    • King Al Batar King Al Batar 19 mars 2010 16:15

      Monsieur vos propos sont troip catégorque pour que je les partage.

      Mias votre plume est vraiment très élégante. Vous avez un putain de style ! Je suis impressioné. Vous donnez des cours ?

      Non parce que j’ai des idées, mais je parle un peu comme un mec qui habité 20 ans en cités, alors forcément ça les rends moins comprehensibles et tout de suite plus chocante.... Si j’avais votre plume on leur accorderait certainement plus d’interet.

      Cordialement,

      Albatar



    • Monsieur le Bâtard,

       

      Autant me désole-je que vous ne partagiez point mes vues, autant me réjouis-je que vous ayez su goûter ma prose. D’autant plus que vous sachant issu de la roture et qu’ainsi donc votre nature et condition vous inclinent naturellement à un langage ordurier dont semble-t-il vous tirez quelque fierté parfois, ici-même.

       

      Sur votre question qui fut de savoir si j’exercerais la profession de précepteur, je ne puis que vous répondre par la négative, ma nature et condition me condamnant à l’oisiveté et aux arts supérieurs.


      Ce qui traduit dans ce langage ordurier qui vous est si familier donnerait ceci : « wesh tarba ! t’es foncedé ou quoi ? vas-y lâche le spliff ! je suis pas ta reum pour t’apprendre à parler…va t’acheter un dico, bouffon ! si tu captes pas ce que l’autre fils de tepu avec sa face à la Burt Reynolds y bave ! allez zyva passe le oinjjj… »  

       

      Cependant, je puis vous fournir quelques conseils, ainsi donc reprenons votre dernier paragraphe : « Non parce que j’ai des idées, mais je parle un peu comme un mec qui habité 20 ans en cités, alors forcément ça les rends moins comprehensibles et tout de suite plus chocante.... Si j’avais votre plume on leur accorderait certainement plus d’interet. »

       

      vous auriez du écrire ainsi : « Bien qu’étant de nature roturière et donc peu à même d’un langage civilisé, j’ai quelque entendement, et parfois m’arrive-t-il de concevoir quelque projet ou raisonner ; cependant ma nature et condition m’interdisent bien souvent d’arriver à les formuler en un langage civilisé ou bien encore de savoir les énoncer d’une façon autant claire que concise, et cela dans le respect des convenances : respect des bonnes manières qui est le propre de tout gentilhomme digne de son nom. A ma décharge, je me dois de vous instruire que c’est parmi les métèques et les nègres des faubourgs malfamés que mon éducation se fit ou plutôt se défit ; et qu’ainsi ma naturelle inclination au langage ordurier ne fut que trop favorisée. Ainsi donc Monsieur, je ne puis que constater à quel point ma condition me condamne à n’être qu’une voix dans le désert. »

       

      Sur ce, Monsieur le Bâtard, sachez que je n’apprécie que trop peu la fréquentation de la roture, encore plus quand celle-ci semble tirer grande fierté de sa fréquentation passée ou présente des métèques ou nègres, et ainsi contrevient sciemment au respect de la hiérarchie naturelle entre les races…mais il me semble que vous êtes vous-même issu de la gente cosmopolite. Ceci expliquant cela alors…

       

      kiltran, refrè…le Monsieur y déconne…déchire trop sa race cette beuh…


       smiley  

       

       

       

       





    • friedrich 19 mars 2010 20:23

      MDR !!! Y me fait tro kiffé se keumé !  smiley


    • King Al Batar King Al Batar 20 mars 2010 14:59

      Mais ouais franchement t’arret pas t’es trop fort mec !

      Et je tiens a vous remercier vivement de l’aide que vous m’avez fourni, pour traduire ma phrase si mal enoncée, en un langage des plus érudits....

      Putain j’ai beau essayé ca colle pas !

      Ca doit être le marron qui me ratatine le crane....


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 mars 2010 14:45

    Moi si je rencontre une femme plombière-zingueuse en bleu de travail , si elle a l’ oeil allumé je serais capable de lui demander d’ essayer ma tuyauterie ....


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 mars 2010 14:52

    En contrepartie je lui ferais un graissage complet ........ smiley


  • PtitLudo PtitLudo 18 mars 2010 14:54

    Toutes ces histoires de parité, de discrimination positive, etc.. de la même façon que l’écologie commence un peu à me sortir par les yeux.

    Non que l’idée de départ soit mauvaise, bien au contraire, cependant on voit que dans l’application, ces beaux concepts sont fait pour « entuber » la grande majorité des gens.

    Ecologie -> taxe carbone (mais pas pour les industriels, les transporteurs, tout ça, faudrai pas perturber l’économie hein tout de même).

    Discrimination positive -> les augmentations dans les sociétés vont aux femmes (parité), handicapés, seniors, etc ... Pour les autres, tintin, tout l’argent a déjà été distribué, on est désolé. (eh oui c’est comme ça que ça se passe dans les boîtes aujourd’hui).

    Bref, la masse est bonne à se faire entuber de tous les côtés (pas d’augmentations, et bon à payer toutes les taxes possibles et inimaginables).


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 mars 2010 15:16

    Moi j’ mé multiplié et je régne quand-même .


  • casp casp 18 mars 2010 16:06

    Le problème du féministe.. c’est que les féministes intelligentes on ne les entend pas...

    Par contre les grosse gourde, frustré par je ne sais quoi, avec un niveau philosophique proche du sarkosysme, celle la prenne un malin plaisir à s’exprimer partout...

    A voir le débat sur la liberté de choquer avec Dieudo... avec la féministe n’arrêtant pas de rabacher son sujet.. et les femmes alors ! et les femmes.. La où c’était complètement hors sujet. Une sorte de névrose obscessionel apparement. L’empêchant de faire le moindre raisonnement en rapport à la discution.

    Ou encore le débat sur FR3 avec Saez... Avec ce moment mythique ou la féministe, revendique sa stupidité intellectuel qui l’empêche de comprendre le message d’une image....

    Je n’ai jamais compris les féministe ni les raciste, puisceque j’ai toujours considéré tout le monde comme égal de façon naturel puisceque j’ai été educqué comme cela.

    Lorsqu’un acte raciste ou machiste à lieue devant vous il est normal de réagir comme devant tout acte inacceptable. Par contre rabacher ces thêmes à longueur de journée comme un prêche religieux est contreproductif et au contraire stigmatise des situations.

    Quand j’étais petit il n’y avais aucune question.. Homme et femme on était pareil ; juste on avais parfois pas les même jeux. Depuis j’ai grandi et j’ai decouvert des différences, mais tout en conservant ma notion d’égalité, et puis un jour j’ai découvert les féministes.. au début je les ignorait mais à force de les entendre j’ai finis par me demander, si les grands artistes machiste n’avais pas de bonne raisons de l’être...


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 16:47

      Fais comme moi prend un lave vaisselle.... Il faut toujours le remplir et le vider, mais au moins on ne met pas les mains dans le camboui !

      Sinon ca va toi ?


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 16:56

      Au fait

      Quic’est qui sera au Stade de France Samedi ?????

      C’est tonton.

      J’espere que je verrais un beau match et que je serai à la hauteur de l’évènement (minimum 3 g/l) !!!!!!


    • curieux curieux 19 mars 2010 06:53

      @ Batar
      un lave-vaisselle ou une femme avec des petits pieds ?


    • King Al Batar King Al Batar 21 mars 2010 00:39

      Putain j’ai pas pu aller au stade, on m’a demande de commenter Lens Sochaux.... Ultra glamour le match de merde...... smiley


    • Annie 18 mars 2010 18:04

      Plutôt d’accord avec cela ; malheureusement ce sera dans tous les cas une journée de commisération nationale dans notre famille, et la seule occasion où il sera impossible de réconcilier les allégiances franco-britannique et de vivre une journée « d’entente cordiale » . 


    • Annie 18 mars 2010 18:05

      Aïe. Allégeances.


  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 18 mars 2010 18:43

    « Femme PDG, femme milliardaire, femme chef d’état, cela existe déjà et c’est tout à fait normal, le pouvoir ne devrait être une question de sexe mais de qualification. »

    Mais aussi femme Reine, femme princesse, femme chef de gouvernement, femme ministre, femme cosmonaute, femme SDF, femme escalve, femme tiranique, femme objet pornographique, femme image publicitaire, femme oubliée, femme révoltée, femme soldat, femme policier, femme pompier et tout le reste....

    Tout cela existe en Europe et dans le monde seulement il faut bien le préciser la France jacasse et les autres pays appliquent : Elle est devancée par tous les pays européens et même par les pays sous-developpés dans ce qu’elle chante comme parité !

    Le Français a rabaissé la condition de la femme française, si on montrait toutes les lacunes on assisterait à nouveau au siège de la Bastille !

    Le mieux en France comme partout ailleurs, c’est tout simplement de considérer la femme et l’homme comme des êtres complémentaires et ne pas les traiter par une arithmétique aux bizarres égalités ! A chacun ses aptitudes, à chacun les responsabilités qu’il peut véritablement honorer. En clair, à chacun ses devoirs et à chacun ses droits au sein de la famille et au sein de la société !

    PS : Ceux qui ont l’intention de me répondre en montrant les « femmes islamiques » mal traitées peuvent aller se payer un thé au café maure d’à côté ! Les femmes dans de nombreux pays « arabes » n’ont vraiment rien à envier aux femme occidentales perdues quant à elles dans un monde d’une insolite égalité ! Libérez vos femme messieurs les malades...


    Mohammed MADJOUR.


    • King Al Batar King Al Batar 18 mars 2010 20:14

      Bonsoir Mohammed,

      Est ce que le fait que la femme francaise, d’après vos dires que je pense vrais, bénéficie de moins d’égalité que les autres femmes Européennes ne serait pas à mettre en corellation avec la statistique qui dit que la France ait le deuxième taux de natalité le plus élevé d’Europe en 2009 ?

      Je veux dire que dans la mesure ou il y a plus d’enfants, il y a plus de femmes qui sont en congés maternité, et qui ne travaillent pas et d’autres qui reprennent une activitée, ainsi que toutes les autres à qui c’est déjà arrivé. Il semblerait qu’on ait démontré qu’un des facteurs importants dans les inégalités professionnelles soit justement l’absence lièe à la maternité...

      Qu’en pensez vous ?


  • docdory docdory 18 mars 2010 19:50

    @ Georges Yang

    Plusieurs remarques 
    1°) Le retour aux aisselles non rasées ( et au pubis non rasé ) pour les femmes , je suis pour. La pilosité axillaire concentrait les phéromones et renforçait l’odeur axillaire des femmes, qui, de nos jours , ont tendance à n’avoir plus aucune odeur. Par ailleurs , la pilosité axillaire avait un charme certain. Dans les années 60/70 , la plupart des femmes n’étaient pas du tout rasé à ce niveau, elles étaient pourtant très attirantes !
    2°) La disparition des toilettes séparées est en train de devenir une règle ,au moins dans les bistrots et restaurants, je pense qu’elles seront tombées en désuétude d’ici 20 ou 30 ans . Avez-vous remarqué que, dans les toilettes des stations-service autoroutières où il y a systématiquement une file d’attente côté femmes, nombre de femmes court-circuitent cette file d’attente en allant côté hommes ?
    3°) La persistance du statut concordataire d’Alsace-Moselle est un des plus grands scandales de la République, et est parfaitement anticonstitutionnelle ( article 1 de la constitution : La France est une république laïque ) . Par ailleurs , elle s’oppose au principe de la loi qui doit être la même pour tous ! A notre époque ou la France est quasiment en faillite , il est scandaleux que l’état débourse le moindre centime pour financer le clergé !


  • Monsieur Yang,

     

    Je ne puis que partager vos vues sur cette ignominie grotesque et absurde que l’on nomme parité ; encore une de ces nouveautés qui sous couvert d’un soi-disant progressisme ne fait que nous éloigner plus encore de la juste voie que la Divine Providence nous a destiné et que notre Sainte Mère l’Eglise a de plus en plus de peine à faire entendre à des masses dont le faible esprit se voit manipulé par les suppôts du Malin, ainsi que par la corruption de ces élites germanopratines pédérastes et pornocrates, dont l’inspiration ne saurait être que maçonnique et judéo-bolchévique, et donc diabolique, s’opposant ainsi aux grandioses desseins du Seigneur Notre Dieu.

     

    L’Eternel  dans son ineffable sagesse  a destiné la Femme, à la propagation de la vie, et à l’excellence dans les arts domestiques ainsi que dans les affaires de la Maison ; ainsi non seulement il est conforme à la nature et à la Raison de s’opposer à cette infamie nommée parité mais aussi à cette autre infamie qu’est le droit de vote des femmes : celles-ci connaissent la place que Dieu et la Nature leur ont accordé. Et même si nous ne contestons pas que nos fidèles moitiés aient quelque intelligence, la force de leur intelligence n’apparaît que lorsque par amour pour son époux et son esprit, la femme abandonne le sien propre, et ainsi poussée par la force de l’esprit de son homme sur un terrain qui jusque là lui était naturellement étranger, lui naît un second esprit.


  • cmoy patou 18 mars 2010 20:14

    On entend souvent dire que, pour certain(e)s personnes il faut plus de droits que d’autres. Arguant de l’injustice et, le plus souvent, de l’inégalité dont elles sont la victime à raison de leur sexe, de leur « race », de leur lieu d’habitat, de leur statut social…, il en est donc appelé en leur faveur à une… « discrimination positive », autrement dit à des droits spécifiques, dérogatoires au Droit (Lois et règlements) applicable aux autres justiciables ou bien à un « surplus de droit », à savoir à l’application du Droit qui n’est pas/plus appliqué aux autres justiciables pour cause de « désuétude », de jurisprudence, de « mode juridictionnelle », d’air du temps…

     Il est donc illusoire de s’imaginer que telle pratique, individuelle ou collective, discriminatoire sera abolie « par décret »Imaginer le contraire relève de la croyance. C’est ainsi que certains révolutionnaires ont cru pouvoir supprimer la misère en… l’interdisant !

    Prenons l’exemple du racisme :

    Si la Loi peut « punir » telle ou telle acte raciste, elle ne peut aucunement interdire aux gens d’être raciste et ne peut donc pas éradiquer le racisme. Pire peut-être encore, l’interdiction de pratiques qualifiées de racistes, entraîne invariablement des contre-pratiques d’évitement qui sont difficilement qualifiables de racistes devant les tribunaux ; la bête immonde se tapit, se masque, apprend à ruser… mais ne disparaît pas et devient alors plus difficile à « chasser ». Mais la bête se nourrit aussi des revendications de « discrimination positive » et, a fortiori, des mesures discriminatoires prises en faveur de la catégorie d’individus qu’elle frappe de sa haine, en s’arc-boutant tout simplement sur les principes mêmes de la démocratie et, notamment, celui de l’égalité !

    Il est ainsi paradoxal que les victimes d’une injustice et leurs avocats en appellent à une… discrimination « positive » alors même que leur victimisation résulte justement d’une… discrimination ! Il n’y a de Justice qu’unique, universelle. La Justice qui se décline différemment à raison de l’individualité des gens, parce qu’elle cesse d’être unique, universelle, n’est qu’injustices et, si elle prend « force » de Loi, elle n’est jamais que le bras (légalement) armé de… la tyrannie.

    Donc in fine pour ces personnes le problème n’est pas d’avoir plus de droits – sous-entendu, qui plus est, des droits « particuliers » – mais bien les mêmes droits que les autres, de jouir de tous leurs droits sans aucune exception, de ne plus être exclues de tel ou tel droit à raison de leur individualité, de leur identité particulière.


    • Annie 18 mars 2010 21:45

      Imaginons un bâtiment avec des marches, qu’il s’agisse d’un musée, d’une perception ou bien d’un lieu d’emploi potentiel qui serait inaccessible à des handicapés. Installer des rampes représenterait donc une discrimination positive et devrait être condamné à ce titre, alors qu’au bout du compte, ces rampes ne permettent que l’accès, rien de moins et rien de plus, c’est-à-dire que l’on ne vous donnera pas un emploi parce que vous êtes handicapé, que vous ne payerez pas moins d’impôts ou n’apprécierez pas plus un tableau pour la même raison. Les Anglais ont une expression plutôt imagée pour décrire cela : a level playing field, à savoir un terrain de jeu qui est le même pour tout le monde.
      Je ne vois aucune tyrannie là-dedans.


  • armand armand 19 mars 2010 09:26

    La vie étant faite de choix, surtout quand on dispose d’un minimum d’aisance, on ne peut à la fois vouloir être maman, à fond, de plusieurs enfants, et exercer une carrière qui requiert la totalité de ses disponibilités. Ou alors disposer d’un mari « au foyer » (il y en a). J’ai l’impression, pour abonder dans le sens de l’auteur, que beaucoup de femmes modernes considèrent l’investissement dans leur métier et la maternité comme des droits inaliénables, alors qu’il faut soit alterner, soit choisir. Bien enendu, le même raisonnement peut être opposé aux cumulards de la politique ou des Conseils d’administration. Malheureusement le féminisme subit comme tout courant les effets de mode - hier c’était la carrière à tou prix et la dévalorisation de la maternité, à l’heure actuelle la maternité devient un « must » (voir ce qu’E. Badinter a dit là-dessus) tout en vantant le surinvestissement dans la carrière. Je trouve profondément hypocrite et dommageable de vouloir faire « des bébés » puis de ne rien rogner sur sa « carrière » pour confier lesdits petits, à longueur de journée, à des nounous analphabètes.
    On ne peut être au four et au moulin.


    • Annie 19 mars 2010 09:42

      @Armand,
      deux choses remarques à propos de votre commentaire. D’abord il n’est pas impossible d’élever un enfant ou plusieurs à deux. Cela voudrait bien sûr que les deux parents devront sacrifier jusqu’à un certain point leur parcours professionnel. En général si le salaire de la mère est inférieure, c’est elle qui fera le sacrifice et s’occupera des enfants.
      Ensuite, pour avoir fait le choix d’élever mes enfants sans travailler, je peux vous assurer que l’on tire le diable par la queue, avec un seul salaire. En plus à l’époque en Angleterre, il n’y avait ni allocations familiales, ni parts d’impôts déductibles pour les enfants à charge. Travailler et avoir des enfants n’est pas toujours un choix, malheureusement.


    • brieli67 19 mars 2010 10:24

      à complèter par :

      _ malheureusement souvent des seconds salaires du foyer, ces femmes-cadres. Avec une tolérance inouie des collaborateurs pour les bobos de l’âme (école, nourrice etc..) . Alors que ce salaire permettrait à un pater familias de nourrir correctement toute une famille

      _ ces femmes - « quotas » (oui ! en politique et dans les pyramides des hiérachies) sont les devenus mals ( faux_bourdons) nécessaires pour élaguer pour contourner pour bloquer : ludions à leur corps défendant d’un système de sélection.

      _ une nouvelle race de managères apparaît : le/la castrée ménopausée qui se remet en selle à 45 ans après l’éducation de la progéniture, innovante, pragmatique, coriace, vindicative ... sans démon de midi, ni de minuit .. alors que la faune des mâles dits dominants font du lard aux bords des piscines, bombant leur torse ou étalant leurs boudins Michelin
      A 4o ans, l’avenir masculin est tout tracé. Plus de miracles...
      La société deviendra matriarchale !  


    • Georges Yang 19 mars 2010 11:32

      @brieli
      Et oui, à force de parité, il s’installe des hommes faux bourdons, comme cela avait commencé au Québec dans les années 80


  • Rough 19 mars 2010 09:45

    On ne peut être au four et au moulin....Voila, tout est parfaitement résumé....Les femmes portent les enfants et une grossesse, même radieuse et sans aucun problème, est bien souvent incompatible avec une carrière d’executive woman....
    Dans la world company pour laquelle je travaille notre activité c’est l’export et uniquement l’export..Tous les cadres sont des hommes car ils partent très souvent en mission (d’une semaine à plusieurs mois) dans des pays africains de merde....Nous n’avons jamais même imaginé embaucher de femmes car depuis des lustres les rares candidates calent devant la job description « mini 150 jours/an an Afrique... »....Résultat des courses les femmes occuppent , dans notre entreprise, des poste de secrétaire, d’assistance administrative, beaucoup à la RH....Après si l’on fait la moyenne des salaires H/F l’on constate evidement que le type qui a un poste de responsable de zone et fait ses 180 jours de mission par an gagne 4/5 fois ce que gagne la secrétaire qui ne voyage que sur la ligne 9 dui métro parisien....
    Les fémlinistes en conclueront que notre discrime les femmes en disant que leur salaire moyen est x fois inférieur à celui des H...
    Quelle tartufferie le féminisme !


  • armand armand 19 mars 2010 12:01

    Qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit (je me méfie, les discours à l’heure actuelle sont d’abord ressentis comme des parades guerrières hérissées de mots clefs qui font bondir pour ou contre... Gérard Longuet en sait quelque chose) : si TOUS LES DEUX sont d’accord pour accorder à leurs enfants le temps et l’attention qu’ile méritent, au détriment de leur carrière, alors bravo. Mais ce type de partenariat - fort rare - doit aussi pouvoir résister au divorce, et celui-ci, trois fois sur quatre, est demandé par la femme...

    Annie a raison de pointer aussi le coût de la vie.
    D’accord avec Rough - il est des missions qu’il est déconseillé de confier aux femmes, à moins d’engager des Lara Croft.
    Mais pour revenir à la parité - on parle peu de la surreprésentation féminine dans les métiers de l’éducation. Or qui pourrait prétendre que l’impact d’une ensegnante sur ses élèves ne vaut pas largement celui d’un cadre sur ses employés. ? Bien au contraire....


  • franc 19 mars 2010 20:58

    Qu’on arrête avec la parité et les discriminations positives ou négatives ,et d’ailleurs il n’existe pas de discrimination positive ,toutes les discriminations sont négatives et ce qu’on appelle discrimination « positive » est en fait une discrimination doublement voire triplement négative ,d’abord c’est une discrimination en tant que telle et donc négative en tant que telle ,d’autre part c’est une discrimination envers les personnes compétentes et là c’est doublement négatif ,d’autre part le fait de mettre une personne incompétente à un poste peut conduire à des conséquences extrèmement graves , --------------------------------------imaginez de mettre un pilote d’avion (Concorde ou Airbus) , incompétent sous prétexte de discrimination positive ou des ingénieurs incompétents pour construire des fusées ou des centrales nucléaires -----------------------------ou encore des hommes ou des femmes incompétentes qui produisent des actions ou des lois qui risquent d’entraver gravement le bonheur et la vie même des individus ou des peuples .


    Et si l’on respecte rigoureusement le principe de compétence il ne peut y avoir de discrimination positive ou négative

    Le principe de compétence et d’excellence est incontournable ,--------------------------et bafouer ce principe conduit inéluctablement à la dégénérescence et à la décadence ,bref au déclin .

    C’est pourquoi dans la Déclaration de l’homme et du citoyen de 1789 ,il est stipulé explicitement cette exception à la discrimination qu’est la compétence et l’excellence .


  • Annie 20 mars 2010 22:45

    Bref la conclusion George, est que les hommes peuvent s’éclater dans leur boulot mais pas les femmes, parce qu’il y a les enfants, les corvées ménagères et que l’on ne peut pas tout faire. Un tel ramassis de poncifs est triste mais je suis rassurée par les hommes que je connais, qui partagent tant bien que mal les soucis, les responsabilités, mais aussi les plaisirs et les satisfactions que leur donne leur vie familiale et professionnelle, et qui ne se sentent pas émasculés pour autant.


  • cmoy patou 21 mars 2010 11:20

    @ Annie,
    Ce ne peut être une conclusion pour tout le monde , pour répondre tardivement et je m’en excuse à votre commentaire plus haut qui nie qu’une discrimination ne saurait être une tyrannie comment appelleriez vous une maman en fauteuil roulant qui serait devant les marches d’un palais de justice incapable d’assister au procès du meurtrier de son fils sans l’aide de son avocat et de son mari , la société que nous avons construite qui laisse beaucoup de nos concitoyens sur le bord de la route n’est-ce pas une tyrannie ?

    Allez voir dans les articles consacrés aux personnes handicapées le nombre d’intervenants même ici sur avox dans un site qui se veut citoyen !


  • L'enfoiré L’enfoiré 21 mars 2010 13:53

    Georges,

    "Femme PDG, femme milliardaire, femme chef d’état, cela existe déjà et c’est tout à fait normal, le pouvoir ne devrait être une question de sexe mais de qualification.« 

    Si vous allez lire mon »Femme avenir de l’homme", vous aurez une version complète de ce que je pense et parfois avec humour.
    J’ai attiré beaucoup de commentaires de femmes et pas des citoyennes lambda.
    Les carriéristes existent évidemment.
    Maintenant, il ne faut pas se leurrer.
    Ce n’est qu’au cinéma que cela arrive.   smiley


  • anty 21 mars 2010 15:23

    On peut légitiment se poser la question :

    si la femme est l’avenir de l’homme

     qui est l’avenir de la femme ?

    Est-ce qu’une femme normale peut répondre a cette question ?

    Moi je dirais par soucis de parité je dirais que c’est l’homme...

    Mais une femme a le même sens de parité ???


  • franc 21 mars 2010 18:10

    la femme est l’avenir de l’homme à condition que l’homme soit l’avenir de la femme .

    «  la femme est l’avenir de l’homme »n’est qu’une vérité partielle ou semi-vérité

    la vérité pleine et entière est d’ajouter l’autre semi-vérité « l’homme est l’avenir de la femme »


  • Georges Yang 21 mars 2010 19:19

    No future
    Personne n’est l’avenir de quiconque, meilleur moyen d’éviter la déception, celui qui n’espère rien s’expose à de bonnes surprises


  • srobyl srobyl 21 mars 2010 19:33


    @ l’auteur
    Par rapport à l’exemple « Alsace-Lorraine » auquel vous faites référence : je suis bien d’accord avec vous il faudrait un peu plus d’harmonisation « nationale », la France ayant souvant toléré des exceptions un peu bizarres : corridas dans le sud, autrefois exonération de la vignette pour la Corse (et je ne parle que des tolérances reconnues, glissons sur le laxisme face à de pauvres « opprimés » qui n’ont plus que la destruction de biens publics pour se faire entendre !)

    Mais dans le cas des lois partculières concernant le clergé en Alsace, par exemple, ce n’est pas le « modèle » allemand qui a été conservé, mais les lois datant de Napoléon, me semble-t-il.... Ce qui n’empêche qu’un retour à une vraie laïcité serait souhaitable.


    • Georges Yang 22 mars 2010 12:04

      Bien que Lorrain et attaché au particularisme régional, je suis cependant contre le fait de vouloir le beurre et l’argent du beurre
      La parité ressort hélas de cet état d’esprit


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