La première des insécurités, Monsieur le Président, ça reste le chômage !

8 réactions

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  finael 9 août 2010 11:48

  Conséquence annexe : les énormes destructions d’emploi du secteur « concurrentiel » augmentent proportionnellement le pourcentage de « fonctionnaires et assimilés » dans la population salariée.

  Destruction d’emplois en secteur privé => « trop de fonctionnaires »

  Pratique non ?

  Quelques liens pour appuyer votre propos :

  http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/07/885613-Emploi-la-grande-casse-de-2009.html

  http://www.lexpress.fr/actualite/economie/record-de-destruction-d-emplois-en-2009_910901.html

  http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/social/20100805.OBS8146/256-100-emplois-ont-ete-detruits-en-2009.html
  

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  Alain-Goethe 9 août 2010 15:34

  Article qui résume bien !

  Ce WE, je relisais le fait que les 1ers effets des subprimes sont apparus en févr 2007.
  NS a fait adopter bouclier fiscal en été 2007.
  En France, je crois pas que la majorité des gens avaient pleine conscience de ce qui allait se passer...

  ex : défiscalisation des heures supp
  Dans certaines sociétés, on a incité des salariés à faire des heures supp et donc on a évité des embauches

  Comme la crise est loin d’être finie, c’est l’attentisme
  Donc le chomage monte et c’est (hélas) pas fini

  Et pourtant, bcp de sexagénaires (ceux nés en 1947 à 1949) ont pris leur retraite

  en effet CHOMAGE = 1ère insécurité

  ça me rappelle un livre sorti en 1998 = L’Horreur économique de Viviane FORRESTER

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  millesime 10 août 2010 11:06

  président d’une association d’insertion par l’activité économique, je suis étonné par l’indifférence des municipalités notamment, qui ne font rien pour faciliter la tâche d’une association.

  (J’ai voulu faire signer une lettre d’introduction auprès des entreprises et des commerçants pour le bon accueil d’un commercial, par les maires, sans succès et pourtant cela ne les engageait à rien. !)

  http://millesime.over-blog.com

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  JL 10 août 2010 11:34

  Il y a une chose qui me sidère : récemment, on a déploré la perte en un an de 250 000 emplois, essentiellement dans le domaine de l’industrie dit-on, et dans le même temps, on continue de supprimer des emplois dans la fonction publique !
  
  Est-ce qu’un emploi dans la FP n’est pas un emploi comme un autre ?! Allez dire à un commerçant qui, par ailleurs « casse du fonctionnaire » aussi souvent que possible, qu’en toute logique il devrait refuser cette clientèle !
  
  Je suis scandalisé par cette imbécillité qui relève de la novlangue et qui consiste à se lamenter des pertes d’emplois d’un coté, à se réjouir des réductions de fonctionnaires de l’autre.
  
  Parler novlangue c’est comme assister à un diner de con.

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    titi 15 août 2010 00:53

    « projet de destruction de l’axe franco-allemand, stabilisateur et moteur initial d’une Europe autonome. De ce côté, la France ne compte plus du tout pour les décideurs anglo-américains qui visaient cela depuis longtemps »
    
    il y a bientot 30 ans, Margareth Tatcher affirmait « le couple franco-allemand divorcera le jour ou la mariée allemande refusera d’engager sa dot pour payer les frasques du marié francais ».
    Bah voilà on y est.
    Dire que c’est la faute à Sarko quand on voit les réformes d’austérité entreprises depuis 10 ans en Allemagne, et le néant de ce coté du Rhin c’est un peu fort de café.
    

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  Waldgänger 10 août 2010 11:55

  C’est ce qu’on appelle la maladie de la conspirationnite, en reliant des faits contigents entre eux et en leur donnant une cohérence et une intentionnalité qu’ils n’ont pas. La référence à Orwell est fausse pour moi, je n’ai pas souvenir d’une conjuration cachée dans ce livre, tous les rouages du pouvoir y sont apparents.

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  J. SCIPILLITI 15 août 2010 18:25

  Bien évidemment on ne peut que comprendre l’angoisse, voire le désespoir de ceux qui sont durablement privés d’emploi. Mais votre article pêche par deux points.
  
  D’une part vous semblez encore croire que l’emploi dépend de la seule volonté d’un gouvernement, ou d’une politique donnée. Depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, qui, grâce à la « rupture avec le capitalisme » devait balayer le chômage (« La France ne comptera pas deux millions de chômeurs, je m’y engage » avait dit - imprudemment- Mitterrand à Giscard dans le débat télévisé d’entre-deux tours) on sait que le pouvoir d’un gouvernement sur le chômage comme sur l’économie en général, est limité. C’est sous la gauche que le chômage a connu une explosion historique, dépassant les trois millions. Croyez-vous vraiment que s’il y avait une solution, elle ne serait pas appliquée ? Il n’y a hélas pas de baguette magique. Le seul remède au chômage c’est la croissance, mais elle aussi dépend de facteurs qui échappent en grande partie au pouvoir d’un gouvernement, lequel ne peut que favoriser comme il le peut cette croissance (fiscalité, aide aux entreprises...) et indemniser comme il le peut les chômeurs. Il faut cesser une fois pour toutes de croire aux promesses électorales dans ce domaine. Tous nous prennent pour des gogos.
  
  D’autre part vous employez l’argument traditionnel d’une certaine gauche : on parle de l’insécurité pour ne pas parler des vrais problèmes, le chômage notamment. C’est une ficelle tellement grosse et ancienne, que je me demande comment on peut encore l’utiliser. En quoi la lutte contre l’insécurité empêche t-elle qu’on s’occuppe aussi des autres problèmes ? Auriez-vous voulu que l’on passe sous silence ce qui s’est passé à Grenoble, ou ailleurs précédemment ? N’oubliez pas que la première percée du Front National en 1983 venait du fait que la gauche niait l’insécurité, parlant de « sentiment d’insécurité ». Et il en fut de même en 2002, où électoralement parlant le FN était le premier parti ouvrier de France. Ce sont les humbles qui sont les premières victimes de l’insécurité, ceux qui s’étant mis un crédit sur le dos pour s’acheter une voiture nécessaire à leur travail, la trouvent carbonisée sur leur parking. Le chômage crée une insécurité économique. Mais la délinquance crée l’insécurité physique. Nier la deuxième ne fera pas disparaître la première.

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  vinvin 16 août 2010 03:08

  NON ! La première des insécurités c’ est L’ ISLAMISATION SAUVAGE, ( sauvage dans les deux sens du terme,) de la France.

  (Bien sur je ne renie pas pour autant que le chômage reste un problème important...).

  J’ ai eu l’ occasion de lire un peu partout que le nouveau projet de loi de SARKOZY concernant la DESTITUTION de la nationalité était soit disant « Anticonstitutionnel ».....

  Oui, mais que les VRAIS Français ne plus en sécurité nulle part, et qu’ il existe en France des tas de « Zones de non-droit », vous trouvez ça constitutionnel, vous ?

  Je pense que dans la situation actuelle de la France, la priorité c’ est avant tout d’ établir l’ état d’ urgence, ou la loi Martiale, et de faire intervenir toutes le forces de l’ ordre disponible, ( y compris l’ armée s’ il le faut,) et s’ ils doivent tirés a balles réelles, afin de récupérer et reprendre toutes les « Zones de non droit » se trouvant sur le territoire Français, ( que ce soit dans le 93, a Grenoble, ou ailleurs....).

  Si SARKOZY ne fait rien, pour moi en 2012 je m’ en souviendrais, et mon vote sera pour MARINE !

  Pensez-en ce que vous voulez !.......

  Cordialement.

  VINVIN.

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