jeudi 19 août 2010 - par Lisa SION 2

Nouveau débat... l’âge en public

Je trouve que faire entrer ce débat au jt de 20 heures sur ce sujet spécifique, devant les enfants de tous ages qui sont d’une réelle curiosité quitte à mettre en pratique tout ce qu’ils appréhendent, et que les médias leur développent avec maints détails, est complètement irresponsable de la part des autorités qui surveillent ces médias. Ce que je vais écrire l’est tout autant, et pourtant, c’est tout à fait vrai. S’introduire par intraveineuse n’importe quel alcool fort en vente libre, n’importe quel produit chimique odorant en vente libre dans n’importe quelle grande surface, n’importe quel cocktail de médoc 500 ou 1000, peut provoquer l’irrémédiable et faire basculer quiconque dans la drogue immédiate. Et pourtant, je n’ai jamais pratiqué cela m’étant toujours contenté avec ce que la nature me propose gratuitement. Évidemment, je n’encourage personne à faire cette expérience pour la bonne raison qu’on n’en revient jamais indemne. La drogue n’est pas un produit, mais une dose.

Je m’explique : S’injecter un concentré de poison dans les veines, cette substance inconnue au bataillon, qui va arriver à peine diluée cinq secondes plus tard au cerveau, c’est déclencher la plus formidable alarme interne de défense contre l’intrus. Ce que j’appelle cette « claque totale » correspond à un passage, de 5 %, ce qui est l’état de veille habituel en position admise pour tous les gestes rituels quotidiens, à 95 voire 100 % d’éveil total subi en quelques secondes. C’est à dire passer d’un état de marche au ralenti de routine à bloquer le compteur sans préavis. 100 à l’heure en 5 secondes, c’est digne des meilleures sportives. Cet état, raconté par ceux qui pratiquent ce mode d’injections, c’est la lumière intérieure universelle immédiate, mais dont on ne sait pas encore que pour la rallumer il n’y a pas d’autres moyens que recommencer, ou alors, se livrer à des exploits sportifs en cherchant les limites, et les risques qui vont avec. Se droguer n’est pas utiliser le produit, mais l’acte de recommencer.

Ce geste, qui permet de déclencher les mêmes salves d’adrénaline et autre molécules jouissives que le cerveau produit naturellement après un exploit, mais de façon bien plus concentrée et artificielle, détruit des milliards de connexions en un seul instant. Son origine est aisée à situer géolocalement puisque ne dit on pas en termes vulgaire, « shoot et flash », la mode nous vient évidemment des US. D’ailleurs, l’urgentiste Patrick Pelloux, très médiatique et bien mieux renseigné que quiconque sur les dégâts des nouvelles drogues le dit clairement : «  la montée en puissance de la cocaïne. Tant qu’on envisage cette lutte comme une méthode répressive, et non pas comme une véritable guerre économique, on aura perdu. Les États-Unis, c’est Val-d’Isère. Ils ont le nez dans la neige  ! Les trafiquants envahissent l’Europe ... »

Il est un débat sur le même sujet qui est régulièrement mis sur la table des discussions et des plateaux télés, qui pourrait autant constituer un remède aux usages de drogues dures injectées par intraveineuse, et qui ets bien plus efficace que la proposition de notre ministre de la médecine, tout en en réglant d’autres périphériques. Certes, ne plus exposer les fourrés des parcs publics, les quais des villes et bords de rivières, les terrains vagues, et tous ces endroits où vont trainer les enfants, c’est leur épargner les risques de contamination vers le sida. Réduire à un espace professionnel d’où ne sortent pas ces dangers publics qui soit dit en passant ne devraient jamais sortir du milieu médical, serait salutaire. Mais, sortir de cette prohibition qui génère un trafic issu des banlieues dont on parle tant, alors que tout le mal et la matière vient de là, serait encore plus salutaire. Contre les mauvaises drogues desquelles certains utilisateurs pourraient se détourner, contre les trafics qui pourrissent notre jeunesse déjà touchée par le chômage de masse, pour vider nos prisons d’innocents cultivateurs comme en Hollande, ce serait salutaire d’enfin légaliser cette plante naturelle que dieu nous fit.

Ce débat qui arrive comme un intrus qui s’infiltre dans une file d’attente, alors qu’un autre largement discuté depuis des années au point qu’il dégage un certain consensus, y compris par un député et des professionnels de l’urgence, s’impose parce que la coupe déborde, mais aussi parce que les gouvernants se trompent encore de lièvre et tendent le tapis aux mafias mondiales. Celles ci s’enrichissent sur les failles de nos décisions législatives vaines et obsolètes. Le premier remède à proposer pour les cinq millions de concernés est la légalisation bien avant le coût des 300,000,000 d’euros de salles d’injections, et la légalisation rapportera quinze milliards de dollars par an à la Californie, pour trente sept millions d’habitants.

Le député Daniel Vaillant veut légaliser

Médecin urgentiste pour la légalisation

Quid de l’usage des dispensaire associatif ?

Bien sûr chez nous, mais pendant ce temps là partout autour du monde ailleurs... ?

La Californie réforme sa constitution

Fin de la prohibition pour taxes

Comparatif drogues légales et autres



22 réactions


  • Clojea CLOJEA 19 août 2010 12:34

    Bonjour Lisa : Je vois que c’est un sujet qui te tiens à coeur. Je pense sincèrement que pénalisation et dépénalisation ne sont pas des solutions. Ce n’est pas en dépénalisant les drogues que la conso va diminuer. Autant je suis pour la répression des dealers, autant, c’est vrai que tant que les drogues représenteront un marché économique parallèle énorme, ce ne sera pas facile. D’autant plus, que les paysans d’Amérique du Sud, et du Moyen Orient, tirent leur subsistance des cultures de la Coca et du Pavot. On est pas sorti de l’auberge.
    Reste pour enrayer la conso, l’éducation, campagnes de prévention, et surtout extirper le mal être des gens qui se droguent. Car, pourquoi se drogue-t-on ? Pour oublier un mal être et pour résoudre un problème. Enlève le poblême, et la personne n’a plus envie de se droguer. C’est pareil pour l’alcoolisme d’ailleurs.
    Merci pour l’article


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 13:25

      Bonjoue CLO,
      j’ai plussé ton article en modo qui était à -2. Bien sûr que faut se battre pour douler les débats stériles et bouter les solutions bidon et foireuses face au mal bien pire qui vient. Je te remercie pour ton passage.


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 13:02

    Bonjour à tous,

    je me suis fait attraper l’index de la main gauche par le rott weller de mon voisin. Je vais surement être nettement moins expansif. Doigtenmoins, enfin je veux dire, néanmoins, je vais tâcher de faire de mon mieux. Puis je permettre de vous faire une demande. J’aimerais que chacun d’entre vous précise dans son commentaire s’il a déjà -goûté- ou -non- par deux sigles -O- pour les premier, -N- pour les seconds. Le but de cet démarche permettra de distinguer les avis au su de l’expérience, et également de pouvoir déterminer le taux de chaque ou la tendance en fin de fil. Merci à tous. L.S.


  • ELCHETORIX 19 août 2010 13:34

    bonjour lisa
    pour la santé , le minimum de produits chimiques , car l’alimentation et les médicaments en sont composés, alors s’injecter de LA DROGUE à des prix prohibitifs , non jamais  : N , de tout temps ( jeune et moins jeune ) .
    J’espère que ce chien n’a pas la rage  !
    RA .


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 13:47

      Merci RA,
      Ce débat n’est là que pour occuper l’espace et voiler le reste des affaires d’État. Quitte à intervenir, autant poser les bonnes question, celles qui résolvent d’un coup tous les problèmes périphériques.
      Merci à toi.


    • ELCHETORIX 19 août 2010 14:38

      IL Y a une P...TE qui moïnsse quelque soit le commentaire que l’on écrive et ce lâche passe sans poser son acquièssement ou non !
      J’arriverai bien à le confondre , cette lopette !
      de toutes façons , + OU - , quelle importance surtout si ce n’est pas étayé !
      RA .


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 15:58

      Ouais, mais avant elle venait piétiner mes plates bandes, maintenant elle clique et se casse, on s’en tape. Tant que le chien aboie on s’en fout, c’est quand il mord que ça craint. A+


    • eugène wermelinger eugène wermelinger 19 août 2010 20:14

      Bonjour Lisa.
      Rage du chien : on oublie trop souvent que le tétanos se trouve dans la salive des chiens.
      Le frère d’une amie infirmière en est succombé. 
      Pense au chlorure de Magnésium, Nigari en maison diététique, et bois-en un litre par jour à une cuillère à café par bouteille. Au pire une bonne purge. 

      Je pense que tu me connais assez pour prendre mon avertissement au sérieux.
      Cordialement.

  • jako jako 19 août 2010 15:34

    Bonjour Lisa, cette photo du portail ouvert avec des marches usées par tant de souliers de gens que l’on ne voit plus , est ce volontaire ?
    Pour moi c’est N (juste 1x) je préfère les petits jaunes... avec olives
    Par contre pour mes fils c’est OOO et là je pense que cela ne les a pas aidé surtout le côté pénal, il y a deux aspects, médical (que ej connais pas vraiment) et pénal qui lui peux détruire ta vie bien concrètement et rapidement.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 16:05

      Bonjour Jako, oui la photo est volontaire. Je l’ai prise à Ygrandes dans L’Allier et je pense qu’elle illustre bien l’idée qu’il est temps d’ouvrir cette porte. Médicalement, c’est juste l’abus qui est nuisible et pénalement faut légaliser et on n’en parle plus. Point.


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 16:36

    Malgré l’effort soutenu de l’organe médical, ces chiffres sont alarmants et déclarent bien l’incapacité des pouvoirs publics à ne faire autrement que droguer des millions de personnes :

    " On estime le nombre d’usagers de médicaments psychotropes en France métropolitaine parmi les 12 - 75 ans à 8,9 millions en occasionnels et à 3,8 millions de réguliers. " L’on a donc tous un proche, familial ou amical, déclaré depuis quelques années « bipolaire », et contraint à ces traitements lourds en effets secondaires visibles et qui pour les réguliers coûtent ¢ 500 euros par mois."


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 août 2010 05:26

      Bonjour onc’

      " Je comprends mal comment on peut à la fois déplorer la surconsommation de psychotropes et vouloir encourager la consommation d’un produit qui génère les mêmes effets ...«  Bien justement, comme le dit cet article http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-etrangler-son-patron-en-5-79983 l’usage d’un dérivatif, d’un moyen de diversion pour se calmer et se détourner de ses pulsions de violences, s’il est issu de ton balcon te responsabilise sur son emploi, et évite à cette industrie de la santé de s’enrichir sur ton dos avec les pouvoirs dangereux que ça lui donne ( h1n1 ).

        » En une seule prise tu peux devenir accro " La première fois que j’ai plané, c’est à l’infirmerie de mon école après la prise d’un médoc, à douze ans. Qu’est ce qui me dit d’ailleurs que dans ce médoc il n’y avait pas tout simplement du cannabis ?

    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 août 2010 10:41

      Bonjour Archi,

      « Si les salades en général te filent la tourista, le résultat sera le même » Il ne s’agit pas de tourista, mais de diversion mentale qu’apporte un produit qui fait rire face à certaines adversités de journées compliquées et pénibles, exactement comme le Champagne ou autres boissons dont notre pays est un riche producteur. Dans tous les cas, choisir de produire soi même quelque soit le produit responsabilise tout acteur et garantit de la qualité souvent nettement meilleure...

      Je fabrique aussi mes confitures de mûres et là, c’est la satisfaction de mes clients qui me réjouit le plus. Merci d’être venu apporter tes questions en souhaitant y avoir répondu. L.S.


  • Cogno2 19 août 2010 17:15

    Il y a beaucoup d’idées fausses sur le sujet, et le terme « drogues » est très vague.

    On peut prendre de l’héroïne sans se l’injecter, et un cousin à moi qui a pratiqué à l’époque de l’émergence des rave et de la techno me disait clairement trois choses :
    -D’abord, ce n’est pas de la merde comme on le dit souvent, au contraire, et c’est la le danger, c’est trop bon !
    -Ensuite, il y a beaucoup de similitude entre un alcoolique et un toxico à l’héro, l’alcool peut vous emmener aussi loin dans la défonce, jusqu’aux hallucinations, mais une est légale, et l’autre non.
    - Enfin, les drogues les plus puissante sont en pharmacie, et dans les hopitaux psychiatriques, on fabrique des défoncés de première.

    Autre idée fausse, l’escalade des drogues, les contre exemples sont légions, et les exemples peuvent facilement s’expliquer autrement que par une escalade.

    La représsion est un échec et comme vous dites, l’arrêt total du trafic entrainerai une catastrophe économique.
    Aux USA, la représsion contre la coke est l’illustration d’un leurre, les prix baissent, la qualité s’améliore, et la conso augmente, pourquoi ? Parce que pas mal de gens touchent une part du gâteau, à tous les niveaux, la CIA est coutumière de ce mode de financement depuis pas mal de temps, et ce n’est pas la seule.

    En ce qui me concerne, j’ai pas mal testé la fumette étant étudiant, deux fois les champignons qu’on trouve sur les bouses de vaches (avec une extrême méfiance, gare au bad trip avec ça), et c’est tout, notez que je ne prends pas non plus de drogues légales telles que alcool ou médicament, ces deux dernières sont si bien vu dans notre pays, quand quand je dis que je ne bois pas, on me regarde parfois bizarement.

    A quand un test pour détecter les antidépresseurs au volant ?

    Après dépénaliser est une chose, mais je ne le ferai pas pour tout.
    Par contre, cela aurait pour effet de réduire de trafic, cela augmenterai la qualité, et l’état pourrait prendre sa part (dans le cas d’une légalisation).
    Autre effet, fini l’attirance vers l’interdit.

    Pour conclure je dirais qu’en ce qui concerne la fumette, on joue l’autruche dans ce pays, je vois plein de gens qui fument, de tous âges, de tous milieux, de toutes professions, je pense que c’est un problème culturel, avant on faisait boire du pinard au mômes sans que personne n’y trouve à redire.


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 17:52

      Merci pour ce développement. personnellement, ça fait des années que je me débrouille pour faire pousser un beau plant dans mon jardin. Je me régale tellement avec tous les samedi soir ou fêtes et pour zéro balle que je me pose la question pourquoi tout n’est pas simple.
      Je m’en tape des économies assises sur ce trafic. Qu’ils aillent voir ailleurs si l’herbe est plus verte et ne nous imposent pas des lois liberticides et contreproductives.


  • Halman Halman 19 août 2010 17:27

    N

    Je ne comprend pas le raport entre le titre et le sujet de l’article malgré le jeux de mots.

     

     


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 18:03

      Un débat sur un sujet professionnel ne se livre pas sur les jt à 20 h. Celui ci d’autant moins que les enfants sont à table avec l’envie naturelle de tout essayer pour voir. Je trouve cette attitude irresponsable et dangereuse, elle peut être le catalyseur de futurs problèmes à venir encore plus lourds qu’une simple légalisation suffirait à faire disparaitre.
      C’est comme tous ces problèmes liés au pétrole avec ces guerres que ça engendre autour des substance concernées, alors que des énergies alternatives commencent à naitre sans aucun soutien étatique.


  • Salsabil 19 août 2010 20:44

    Bonsoir Lisa,

    -O- et -N-...

    C’est hyper délicat la question à laquelle tu t’attaches là !

    J’aurais tendance à être pour la légalisation du cannabis, dans le sens où cela tuerait d’office bon nombre de petits trafics qui pourrissent tout un tas de lieux pas destinés à ça à la base et éviterait de fumer des machins coupés avec on ne sait trop quoi... Sachant qu’un nombre très élevé de gens, jeunes et moins jeunes, en fument.
    De plus, ça n’est pas plus dangereux que l’alcool, qui lui, est légal, alors...

    Pour les drogues dites « dures », c’est largement plus complexe ! C’est une véritable saloperie, les substances nouvelles, de plus en plus chimiques font des ravages, qu’il s’agisse du crack, des ecstasy ou autres...
    Je crois qu’on ne peut pas faire autrement qu’interdire et lutter sans hésitation contre. Le problème est qu’il faudrait aussi que cela se passe au plus haut niveau. Et...., c’est pas le cas ! smiley

    Que veux-tu faire ?


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 19 août 2010 23:02

      Slu Salsa,

      « Le problème est qu’il faudrait aussi que cela se passe au plus haut niveau » justement, au plus haut niveau il se payent une armée qui va faire une guerre à l’autre bout du monde pour se ramener ce qui se fait de mieux en matière de produits extatiques. mais ce sont le mêmes qui survolent ma propriété pour repérer mon plant d’herbe parce que pour moi, c’est interdit ! 

      « Pour les drogues dites »dures« , c’est largement plus complexe » Les drogues dures sont le plus souvent extraites de laboratoires médico pharmaceutiques et diffusées par les seringues, ces outils à vocation purement professionnels que l’on retrouve disséminés partout par odieuse négligence. Le fait de ne pas voir ces produits pulluler et rester bien confinés en milieux autorisés résoudrait déjà une bonne part du problème posé, plutôt que ces centres.

      L’État français doit rembourser dix milliards d’euros de dette sous peine de déclassement d’agence de notation et pour cela ferait mieux d’adopter les solutions efficaces qui rapportent que nulles qui coûtent.

      L’enquête h1n1 commence à démontrer qu’en haut lieu ça patauge grave dans la semoule et toute les décisions actuelles en matière de médecine ne profitent qu’aux lobbys du métier. Et encore, si tu as ouvert les liens, tu peux constater que les dispensaires sont partis en Afrique et que là bas, c’est le bordel monstre en matière de seringues qui trainent...

      Merci d’être passée et Eugène aussi.


    • Salsabil 20 août 2010 00:06

      Peut-être qu’en confinant dans des lieux spécifiques la consommation de drogues dures tu verrais une certaine amélioration, mais étant donné la formidable ingéniosité des trafficants à imaginer de nouvelles saletés, comment imaginer qu’il n’y ait pas un marché parallèle ?

      La concurrence pouvant jouer sur le prix, certes, auquel cas, la mise à disposition contrôlée l’emporte, mais aussi sur les effets de substances sans cesse modifiées, et là, t’as intérêt à suivre de près si tu ne veux pas être largué !

      Tu vois ce que je veux dire ? smiley


    • Lisa SION 2 Lisa SION 2 20 août 2010 05:19

      Tiens, je te propose ce lien qui mène vers un témoignage vécu : http://www.ozap.com/actu/sylvain-augier-drogue-karl-zero-morphine/162760 de Sylvain Augier qui déclare comment c’est le corps médical qui l’a entrainé dans cette ornière profonde, s’agissant de morphine de synthèse.

      Dans mon texte, j’explique en détail le mécanisme qui fait irrémédiablement basculer l’intéressé sur la pente glissante de la demande croissante en produit d’abord puisque l’effet est décroissant et en dose ensuite pour atteindre le même degré de bien être.

      J’ajoute que la technique voulue par les lobbys est de faire interdire une substance naturelle pour en imposer une artificielle bien plus rentable. En matière naturelle, tu ne peux pas tromper ton client, alors qu’avec la poudre blanche, tout est possible et surtout n’importe quoi...

      Et curieusement, par ignorance crasse, toute la chaine étatique se met au service des filières pour apporter sur un plateau d’argent des solutions bidon et coûteuses alors qu’ils ont le pouvoir de couper le robinet légalisatoirement...

      C’est un problème légal...Lisa Sion !

      Tu vois ce que je veux dire


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 20 août 2010 22:54

    Je tombe sur un article du jour qui décrit un peu la situation que j’aborde, mais en entreprise. Extrait :
    « Pendant que le journal Le Monde titre l’un de ses articles Drogue au travail : »Je fume des joints pour ne pas étranger mon patron« , le premier volet de la série  »La vie privée au travail" signé par Judith Duportail en date du 16 août 2010 14h55 où il est question de salariés qui se racontent dans leur descente aux enfers partagés entre anxiolytiques, cannabis et les autres. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-etrangler-son-patron-en-5-79983

    Par expérience, je puis affirmer que pour supporter toutes les brutes mentales, un bon joint et t’en a plus rien à cirer des autres qui te harcèlent...Subitement, tu n’as qu’une envie /rire et te moquer des stressés par leur flux tendux et leurs croissssssssssssssance avec les dents...


Réagir