vendredi 4 septembre 2020 - par olivier cabanel

Pas sur les yeux !

C’est l’un des nombreux messages anxiogènes que la clique des communicants de l’Elysée diffuse sur les ondes nationales, mais caramba, encore raté, car le message tombe à plat.

Il s’agit, dans ce message radiophonique, de mettre en scène des joueurs de boules, l’un d’entre eux déclarant, après avoir fait mouche, « le masque, c’est sur le nez qu’il faut le mettre, pas sur les yeux  ».

Grossière erreur, car le coronavirus peut pénétrer par les yeux, et pas seulement par le nez ou la bouche...lien

Au-delà de ces dérives médiatiques erronées, des questions se posent : faudra-t-il demain imposer à toute une population, déjà au bout du rouleau, une protection pour les yeux ?

Et comment faire ? Décider l’obligation de mettre un masque de plongée à tous ?

La panique distillée par le gouvernement pourrait donc bientôt provoquer de nouvelles décisions...

À ce propos, il n’est pas inintéressant de découvrir la dernière décision de Castex : les masques ne seront pas obligatoires lors des épidémies de grippe... lien

Encore une incohérence... car ce serait oublier que le virus de la grippe se propage de la même façon que le coronavirus...lien

Dès lors pourquoi imposer le masque pour le coronavirus, et pas pour le virus de la grippe ?

C’est le moment d’écouter le Pr Christian Perronne qui, s’exprimant sur RMC, le 31 août 2020, s’étonne de la décision de tester 1 million de Français par semaine, lesquels pour la plupart, ne présentent pas tous de symptômes, et il dénonce « un délire instrumenté ».

Il affirme que la sagesse serait de ne tester que des zones bien ciblées, et de ne tester que sur prescription médicale.

Fatalement, on trouve des « cas positifs », (3000 faux malades en moyenne) mais qui, comme dit le professeur, sont 3% de « faux positifs » et le gouvernement de se réjouir de ce chiffre, ce qui lui permet d’affirmer que l’épidémie n’est pas finie.

Pourtant affirme le Professeur, c’est une fausse épidémie, basée sur des faux résultats, et c’est idiot de se faire tester si on n’a pas de symptômes, à moins d’avoir été en contact avec des malades réels.

De plus il constate que le virus a perdu de sa virulence...ce que confirment plusieurs scientifiques.

Nicolas Lewis ne dit pas autre chose, constatant que le taux de mortalité est aujourd’hui bien inférieur à 0,1%. Lien

Pour Christian Perronne, l’affaire est entendue, et il dénonce Big Pharma, qui a investi des millions pour un hypothétique vaccin, espérant un retour sur investissement... car l’on sait que les industriels de la pharmacie veulent nous vendre un vaccin. lien

Ils ont donc une logique en déclarant, l’épidémie est toujours là, et ils veulent nous faire peur, afin de vendre leur vaccin, qui pourrait leur rapporter des centaines de milliards de bénéfice, alors qu’il y a moins de 10 morts par jour dans un pays de 67 millions d’habitants.

Cerise sur le gâteau, le Professeur défend la chloroquine, assurant que « l’étude (anti chloroquine) qui est sortie récemment, soi-disant méta analyse, est basée sur le choix de seulement 29 ... sur 800 études publiées, éliminant donc toutes les études qui ne les arrangeaient pas.

Une de ces études est le fait d’un étudiant, interne de médecine, élève d’un interne de Bichat, qui travaille actuellement à l’impérial collège, lequel collège est financé par Bill Gates, et cet étudiant affirme que la pandémie est catastrophique, et qu’il y allait avoir 500 000 morts en Grande Bretagne  ».

Christian Perronne dénonce donc un évident conflit d’intérêt.

Tout ça ne va pas empêcher la multiplication des manifestations, destinées à dénoncer la privation manifeste de liberté, comme celle qui va se tenir le 6 septembre contre le corona-gate, à Chambéry, à 14h, devant le palais de justice. lien

On pourrait aussi s’étonner de la décision de l’Union Européenne  : elle se propose d’indemniser les laboratoires qui tentent de mettre au point le vaccin anti-coronavirus, en cas de « problèmes » (C.A.D : des effets secondaires inattendus) surgissant après la vaccination. lien

Ajoutons qu’au milieu de la quasi-unanimité médiatique qui, à grand coup d’annonces anxiogène, il existe quelques ilots de résistance, à l’image de David Pujadas, qui en quelques secondes, et au mois de mai dernier, résumait l’escroquerie de la fameuse « 2ème vague ».

Il dénonçait une ignoble manipulation : alors que les autorités affirmaient qu’il y aurait 21 départements en alerte, aucun département n’était en danger... mais il remarquait que les critères utilisés avaient changé : cette carte des 21 départements en alerte rouge utilisait comme indicateur uniquement « le nombre de contaminations »... alors que les critères précédents étaient « 1) le nombre d’entrées à l’hôpital, 2) le nombre d’entrées en réanimation, et 3) la capacité de tests ». lien

Heureusement donc qu’il reste quelques journalistes qui n’ont pas « un masque sur les yeux, et comme dit mon vieil ami africain : « le doigt qui ne tient pas en place va se planter dans la bouse  ».

Le dessin illustrant l’article est d’Adrien René

Merci aux internautes pour leur aide précieuse.

Olivier Cabanel

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