jeudi 18 décembre 2008 - par Bernard Dugué

Pourrons-nous sortir de ce Moyen Age technologique et faire advenir un 21ème siècle lumineux ?

Après avoir fait le bilan des années 2000 dans une chronique facétieuse, après l’émission de Taddeï (15 décembre) qui lui aussi, a eu l’idée d’établir un bilan, mais esthétique, de ces années là, il paraît intéressant d’aller vers de plus profondes perspectives et d’imaginer une éventuelle transformation de nos sociétés qui pour l’instant, ressemblent à une sorte de Moyen Age hyper technologique

Prélude métaphysique et philosophique.

Notre époque se prête à bien des analyses ou alors, des rêveries philosophiques, un tiers ésotériques, un tiers mystiques, un tiers raisonnées. A ce jeu là, Heidegger est passé maître dans l’art de la spéculation sur des choses cachées en devenir. Pourtant, notre monde paraît si lisible, même s’il est parsemé de crises et conflits. Les pouvoirs politiques s’opposent quand les Etats sont constitués, sinon, terrorisme, incivilités, mafias et guerres tribales se déroulent. Mais tout ce beau monde, « civilisé ou pas », se trouve inséré dans l’univers de la technique, la marchandises et les technologies. La technique, dans sa conception instrumentale, est un moyen utilisé pour des fins, elle est orientée vers des fins spirituelles, pensaient les bien pensants du premier 20ème siècle. Mais Heidegger, flairant l’évidence facile, fit une supposition. Et si la technique n’était pas qu’un simple moyen, quelles chances aurions-nous de nous en rendre maître ? (La question de la technique, p. 11, in : Essais et conférences, Gallimard)

Un peu plus loin dans le texte… Selon Heidegger, tant que considérons la technique comme un instrument, cherchant à nous en rendre maître par la volonté de la maîtriser, nous passons à côté de l’essence de la technique (p. 44) Par ailleurs, le danger de la technique ne vient pas tant des dégâts qu’elle peut occasionner que d’une menace de modifier l’homme dans son être ; une menace d’occulter à l’homme la promesse d’un dévoilement plus originel, l’entendement d’une vérité plus initiale (p. 37).

La Modernité eut lieu lorsque l’homme se mit en tête de vouloir, maîtriser et dominer la nature. Et maintenant, en 2008, doit-on prendre au sérieux l’oracle d’Heidegger et convenir que la technique nous place dans un monde infini, certes, mais un monde fermé par des œillères, privé d’un sens plus originel, ou du moins, un sens plus haut en contenu (esthétique, éthique, philosophique) ?

Centre du triptyque. Portrait de notre Moyen Age technologique en l’an 2000

Alors, quelles conclusions ou enseignements ou opinion tirer de ce constat d’un 21ème siècle qui n’apporte plus d’innovation ? La crise économique ne serait-elle pas le symptôme des sociétés qui ne savent plus s’inventer et qui du reste, n’ont jamais cherché à soutenir l’innovation. Qui sait, les élites pourraient se retrouver en concurrence avec le peuple imaginatif, avec la cohorte des créatifs culturels ou disons en complémentarité. Un créatif qui concurrence les élites risque d’aliéner son talent qu’il solde dans l’opportunisme des compromissions de carrière. Le réel se plante dans la face du système, tel un pieu aveuglant ce cyclope hémiplégique d’un monde où seule, la rationalité économique occupe le champ de vision de dirigeants qui ont le nez sur le guidon et s’agissant de l’industrie automobile, ont mal préparé la décroissance de la conduite. En fait, les politiques, les financiers, les industriels se renvoient la balle mais le système n’a pas été préparé pour se transformer. Et cette recension des non-œuvres dans une non-décennie 2000 laisse imaginer l’étendue du non-progrès effectué au super-galop par les sociétés avancées oeuvrant pour bâtir une non-civilisation ! 

La décennie 2000 n’existe pas. Elle se confond avec la précédente ; (bien que les gens qui en vivent la présentent comme une synthèse) Contrairement aux décennies du 20ème siècle qui ont toutes affiché une spécificité. Un fin observateur né en 1850 aurait pu en dire autant pour le 19ème siècle, notamment le tournant de la Belle Epoque, vertige du Temps. Un autre observateur plus ancien, appelons-le Baudelaire, avait décrit avec force poésie la réaction de l’esprit face au changement, notamment l’éclairage au gaz. Mais actuellement, nous vivons dans un monde installé, figé, mais extrêmement mobile. Les années 2000, c’est le monde clos du Moyen Age où barbotent et s’agitent une infinité de poissons et de signaux. Un grand aquarium. Plein de formes exotiques, mais aussi de bancs de poissons uniformisés, regardez à la sortie des collèges. Un aquarium qu’on voit sur les écrans. Mais dans la vie ordinaire, rien de bien extraordinaire. Des gens moroses, plus ou moins bien sapés, avec des projets et des goûts, des gens blasés, fuyant l’ennui avec les technologies. Le quotidien va bon train mais les gens attentifs captent des petits détails faisant la joie de l’ordinaire.

Qu’est-ce qui marche ? Les romans généralistes, de Werber à Picouly, la télé réalité, la star ac’, les séries généralistes, les magazines people, les livres des peoples, les livres sur les scandales, les livres des vedettes politiques, les dicos pour les nuls, les livres sur les affaires, le porno, les spectacles grand public, d’insipides pop opéras de chez Plamondon, la BD pour ados attardés, la science vulgaire des Bogdanov et des éditeurs, la daube musicale ; bref, les masses faciles se divertissent en lisant, voient, écoutent, et les élites contrôlent en pratiquant un hédonisme feutré. Rien de bien nouveau. Le système sociologique mis en place par les nazis a fini par s’imposer lentement et spontanément mais sans les défauts de fabrication des premiers essais. Nous sommes dans des Etats de droit, même si nous sommes dans la merde. Mais Alors démerdons-nous ! Quelle est la situation et quelles sont les clés ?

Libérer la matière, les volontés, les corps, sortie de l’ensorcellement religieux pour bâtir un monde moderne, c’était il y a sept siècles. Serions-nous dans un Moyen Age technologique et scientifique ? Certainement si l’on se réfère à quelques livres dont le méconnu Cité des morts de Jan Marejko, œuvre étrange où le mal sort de la machine et le salut s’en remet au Logos. Le technocosme s’allie avec la mort. Le technocosme sait aussi être l’instrument de cette fausse existence faite de signaux et d’agitations, de postures et de mises en scène des individus épris de salut dans le théâtre des ego et du paraître. La cité des singes rationnels parlant, se mirant dans les normes du spectacle mondial. Et se perdant dans la jouissance triste des consommations futiles et inutiles. Ainsi se décline notre Moyen Age, avec ses prélats se prélassant dans les médias, repus, gavés de fric et de notoriété, livrés à la dévotion des masses déculturées pour plus de pognon. Et ces politiciens armés d’une fausse conscience, prêts à céder sur quelques points d’honneur et se perdre en casuistiques pour ne pas perdre le pouvoir. Le gars qui se lève tôt, eh bien… et j’en passe et des pires… sarkonnades… Ainsi se joue la comédie humaine de notre Moyen Age à l’ère technologique.

Un étrange Moyen Age du reste, qui semble se refléter dans une espérance post-moderniste du passé, celle des années 1970 et un peu plus tardives. New Age, sans doute. Un New Age résonnant comme un âge d’or promis puis gâché par la frénésie frivole de l’essor technologique des années 1990, alors que les réactions conservatrices donnaient la tonalité à une politique rigoureuse. Technologie et politiques, deux instances entre les mains des castes dominatrices qui ont gagné la partie. Les masses ont bien quelques moyens mais aussi des leurres et des gadgets ; de plus en plus, les peuples se partagent les miettes et les élites les dividendes. Vision caricaturale mais avérée. Et ces moyens, ont s’en contrefout quand on pense les fins et qu’on se moque de panser les faims artificielles. La civilisation est plus une affaire d’esprit que de moyens matériels et financiers. Pourtant, le monde (des élites) a décrété que sans la compétition pour les moyens, il n’y a pas d’horizon ni de salut pour les sociétés avancées. L’économie de la connaissance n’est pourtant qu’un leurre lancé à Lisbonne un jour de réunion des eurocrates. Car l’économie de la connaissance n’est que le signe du Moyen Age contemporain dont il va falloir se libérer. Economie d’un monde infini mais clos car horizontal. Nouveau Moyen Age, faire le chemin à l’envers, bâtir une culture de l’Esprit pour sortir de ce technocosme qui ne finira que dans la dégradation entropique, noyé dans les désirs déçus et les espérances avortées. Nouveau Moyen Age, culture de l’efficace et du savoir-faire pour des leurres extincteurs du spirituel et promoteurs de l’émotionnel, mais des avantages pour les acteurs de ce système. Nouveau Moyen Age, Ensorcellement de la marchandise et des gadgets. Culte de l’efficacité et de la gestion. Rationalité des moyens comptables appliqués à l’humain.

Etrange idée que de faire le chemin à l’envers. Allégorie en forme de boutade. Il fut un temps des cathédrales et du monde clos ! Hiérarchie des essences, des êtres, des valeurs, des planètes, des anges, Dieu au-dessus. Et puis la science bouleversant cet ordre et maintenant, frénésie technologique, ivresse relativiste, tout se vaut, d’une activité à une autre, d’un objet à un gadget, d’un affect à une émotion, d’une image à une icône, d’un tableau à une photo. Mais pour les comptables, seul l’argent compte. Sortir de cet ensorcellement médiéval d’un monde clos mais infini, ce serait faire un chemin en arrière, vers la sobriété contemplative. Mais le temps étant irréversible, le Moyen Age scolastique n’est plus, remplacé par la technologie faisant de nous des aliénés enfermés dans l’infini des affects et marchandises. Alors, au lieu d’entrer dans la matérialité et la technique, essayons d’entrer dans une spiritualité nouvelle redonnant aux choses leurs valeurs. Délaissons les marchandises et les leurres tous plus vulgaire les uns que les autres. Vivre et contempler en hiérarchisant les choses, voilà un dessein alternatif. Une manière d’entrer dans le 21ème siècle. 

Postlude métaphysique et philosophique. Les miroirs de la technique 

Retrouvons Heidegger pour qui notre époque est celle de la fin de la technique, une fin qui n’est pas prête de finir. Ces propos furent formulés vers 1950, mais ils semblent encore plus valables pour 2010. Qu’entendre par fin ? Il ne s’agit pas de la technique qui prendrait fin mais de la technique qui devient fin, se finalise, s’auto-finalise, se développant en jouant d’une ruse, d’une complicité de l’homme. Mais n’il y a-t-il pas quelque chose d’une servitude, même pas volontaire, de l’humain face à la technique. En se servant de la technique, l’homme sert la technique. Et se faisant, il se modifie.

Par quel mécanisme de transformation la technique pourrait-elle modifier l’humain. Et si nous avions affaire aux neurones et mécanismes miroirs. Le faire devient un savoir-faire, une habitude, et un savoir consigné dans les circuits moteurs, notamment les neurones miroirs qui, hyper développés, à force de voir la technique dans le monde et se voir à travers la technique, semblent inhiber d’autres possibilité de développement cognitif. Ainsi, l’homme est entré dans la Modernité en créant des savoirs techniques, reposant sur les neurones miroirs, comblant un vide, un manque, quant aux fins terrestres. Et maintenant, pour sortir de cet excès, ce trop plein de savoir technique, cet insensé des solutions non finales, il lui faut ou bien détruire ses habitudes, ou bien développer une cognition qui le propulse plus loin que le miroir de la technique. Bref, il faut casser le miroir ou à défaut, le rendre inopérant, transparent, pour une autre manière de voir. 



33 réactions


  • faxtronic faxtronic 18 décembre 2008 12:17

    Je crois que te trompe. En effet, nous avons subit une acceleration faramineuse depuis 1914, et cette acceleration, il faut bien le digerer un jour ou l autre. Alors, c est vrai le monde ne change plus vraiment, en fait la France ne change plus vraiment. Ailleurs c est le boum, la revolution. Nous on digere, nos moeurs changent, notre vision de la vie aussi. Il faut encore un peu de temps avant d integrer ce que nous sommes devenus. Nous sommes reste avec des schemas mentaux du XIX (le mariage, le couple, la nation par exemple), mais cela se delite. Il faut du temps pour accepter ces changements. Donc Nous sommes en phase de digestion. Si tu veux du changement, va va voir ailleurs.


  • Francis, agnotologue JL 18 décembre 2008 14:23

    Bonjour, je lis : ""Par quel mécanisme de transformation la technique pourrait-elle modifier l’humain. Et si nous avions affaire aux neurones et mécanismes miroirs."" ... pas de points d’interrogations ?

    Mais dites-moi, ça y est, vous avez quitté le terrain de la mécanique quantique au profit des miroirs ? Allez, vous n’allez pas nous décevoir, je parie que vous allez écrire un article qui mariera les deux.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2008 21:13

      Dis-moi, quand cesseras-tu de ricaner ? Je sais, ça fait du bien mais ça ne te fais pas grandir

      Tu peux toujours parier, la course est terminée depuis longtemps, le lien entre les miroirs et la MQ se trouve dans mon livre paru en 1998 chez l’Harmattan

      tchao !



    • Francis, agnotologue JL 18 décembre 2008 23:21

      Bernard Dugué, c’est vous qui avez besoin de grandir, moi je n’ai plus rien à prouver. Et ce n’est pas en vous lâchant comme vous le faites là, que vous y arriverez. Je sais, ça fait du bien, surtout quand on a été touché là où ça fait mal. Alors permettez moi d’appuyer encore un peu plus : Je vous connais sur ce média depuis longtemps et je lis vos billets attentivement, très attentivement. Vous êtes un mauvais joueur qui joue sur les mots, sans jeu de mots. Ici vous vous surpassez, car vous savez bien que je parlais des neurones miroirs. A moins que vous ne vous soyez persuadé les avoir déjà inventés il y a dix ans ? Ou que vous vouliez le faire croire à vos lecteurs ? Dans ce cas, je leur suggère de lire votre précédent article sur le sujet.

      La moindre des choses quand on écrit un article qui se dit scientifique, c’est de répondre aux gens sérieux et non pas de les ignorer ou de botter en touche. Pour information et mise au point, voici ce que j’écrivais sur votre précédent article justement, consacré aux neurones miroirs, et à quoi vous n’avez pas daigné répondre :

       

       

      Bonjour, je crois que vous avez fait là un bon résumé des neurones miroirs. Mais à l’instar des contemporains de Pierre et Marie Curie à l’époque de la découverte de la radioactivité, vous semblez en surestimer les propriétés.

      Au fond, n’est-ce pas logique, que d’un point de vue du plus court chemin (rasoir d’Occam), le monde externe et le monde interne se rencontrent au plus près, dans des neurones communs ? Il n’y a là rien d’étonnant, et il me semble qu’avec un peu de génie, il était possible de le deviner. D’ailleurs j’aurais tendance à situer la conscience dans ces parages. Passons.

      Vous écrivez : ""Leur propriété est de constituer un mécanisme qui projette une description de l’action, élaborée dans les aires visuelles complexes, vers les zones motrices"".

      Pourquoi se limiter aux aires visuelles ? Qui n’a pas fait cette expérience de parler en même temps qu’un locuteur, sans connaître le texte : l’imitateur réussit à parler quasi simultanément. Quant aux aires visuelles, les animaux n’ont rien à nous envier : que font les chiens lorsque pour inviter un congénère à jouer, sinon de mimer le jeu ? J’avais un chien qui, lorsqu’il voulait aller se promener me regardait, et à la seconde où il captait mon regard, faisait mine de se précipiter vers la porte. Sans parler des animaux de cirque, les chevaux, qui sont capable d’évoluer en synchronisme parfait.

      Vous écrivez : ""Si ces neurones sont présents en (plus grand nombre chez l’homme), c’est sans doute parce qu’ils ont un lien avec ce qui sépare l’homme de l’animal. La raison et le langage aurait dit Aristote. Et plus généralement, l’intersubjectivité""

      Le langage je vous l’accorde, mais la raison me semble être ailleurs sauf si elle est contenue dans le langage.

      Enfin : "" Et quelques théoriciens audacieux vont jusqu’à proposer que chez l’homme, l’imitation se fait sur les buts et intentions.""

      Et pourquoi pas aussi chez l’animal ? Je pense que la différence entre eux et nous est quantitative, pas qualitative. Il est possible même que certains animaux très évolués aient autant sinon plus de neurones de ce type que des individus.




      Et je m’épargnerai désormais la peine de vous poser la moindre question constructive : vous n’en n’êtes pas digne, vous me l’avez maintes fois prouvé.


    • Francis, agnotologue JL 18 décembre 2008 23:24

      " C’est l’orgueil qui fait le sophiste, la bonne foi fait le savant. " Joseph Joubert

       


  • Polemikvictor Polemikvictor 18 décembre 2008 15:04

    La technique represente pour les sciences dures,une confirmation experimentale à grande échelle des nouveaux savoirs 
    Elle est la mesure la plus démocratique de l’interet que portent les individus à une découverte via ses applications.
    Or plus on sait,plus on découvre, globalement la vitesse d’acquisition des nouvelles techniques ( via les connaissances scientifiques dont elles résultent) est directement proportionnelle à la totalité des acquis en ce domaine depuis le début de l’humanité.
    Ce qui signifie que l’accroissement du savoir technique est exponentiel au sens mathématique du terme.
    Ca n’a pas fini de croitre !!


  • PtitLudo PtitLudo 18 décembre 2008 16:34

    Bon article, malheureusement on ne peut-être que pessimiste sur la capacité des personnes à s’extraire de ce carcan pour revenir à des vraies valeurs que celle de "je suis fort j’ai un téléphone portable plus récent que mon voisin".

    J’ai toujours en tête l’allégorie de Matrix à savoir que beaucoup préfèrent prendre la pillule bleue et vivre dans un monde leur permettant d’éviter de se poser trop de questions, de profiter sans culpabiliser et sans se préoccuper de l’avenir, plutôt que de prendre la pillule rouge qui engage sur une voie plus difficile où il faut sortir de tout ce qu’on a connu jusqu’à présent, réapprendre de nouveau concepts, penser à l’avenir, et aux conséquences de chaques décisions importantes.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2008 21:11

      Il y a dans Matrix, comme dans Star Wars, quelques vérités métaphysiques profondes

      miroir brisé, sept ans d’épreuves, dit mon dicton


    • Bof 22 décembre 2008 08:45

      Bonjour Monsieur Dugué. 
      Vous
      avez comme dicton : "miroir brisé, sept ans d’épreuves, dit mon dicton"...avez-vous réfléchi à ce que contient comme sous entendu ce dicton maintes fois vérifié ?

       Il y aurait donc, disons une énergie ou ...une entité qui viendrait vous mettre dans le malheur pendant sept ans...et cette ’énergie’ dont le miroir s’est empli , elle vient d’où ? Le miroir ne voit-il pas tout ? et alors, les énergies entrent dedans pour s’en libérer quand il est cassé....et ce dicton persiste envers et contre tout ! Ne peut-on continuer avec les êtres vivants ? Ne sommes nous pas enfermés dans une enveloppe corporelle en réalisation par la matière ? ...nos amis Chinois auraient-ils raison avec leurs énergies et leur corps éthérique inclus dans des mondes invisibles mais bien perceptibles et bien facile à trouver par déduction ?

      Encore ce matin, on lit dans yahoo que l’on soigne des chats par acupuncture en Afrique du sud malgré ce que l’on en dit dans notre ministère de la Santé en France...Il est des moments où le sourire est de rigueur ! Leurs petits cerveaux ne peut accéder à la potentialité du savoir...et pourtant que de diplômes et d’auto-diplômes" ronflants " ...bizarre, ce "ronflant" !...nous viendrions donc bien tous d’un même ’" endroit’" certainement en idée-pensée et nous y retournerions TOUS ENSEMBLE mais en réalisation comme le laissent entendre les travaux de certains scientifiques Français au cnrs qui avouent publiquement avoir lu ceci sur les pyramides. Nous serions donc bien en ’ " évolution " ’ ...mais en évolution de réalisation et cette idée ne me déplaît pas trop....C’est ainsi que l’on peut sourire des prétentions de "vouloir savoir " , quand des individus non scolarisés en plein coeur de la Chine possèdent la Connaissance et savent soigner leurs semblables avec de simples aiguilles ....

       Que vos neurones miroir peuvent mener loin !


      Et quand j’entends dire qu’il n’y a pas de travail.....il y a trop de travail ! MAIS, mais" à chaque jour suffit sa peine".


  • Marc Viot idoine 18 décembre 2008 16:41

    1. : tout à fait : Sache nommer ton ennemi
    2. : merci


  • Marc Viot idoine 18 décembre 2008 17:51

    >Je t’invite à lire "Le successeur de Pierre" de Jean-Michel Truong, si ce n’est déjà fait.

    Rien ... n’est encore fait.

     smiley


  • samregarde samregarde 18 décembre 2008 18:40

     J’apprécie beaucoup cet article, car il met en parallèle, en lien, des éléments par ailleurs disparates ou non connexes. Il ne donne pas à savoir, mais à réfléchir.


  • Marc Bruxman 18 décembre 2008 20:48


    La décennie 2000 n’existe pas. Elle se confond avec la précédente ; (bien que les gens qui en vivent la présentent comme une synthèse) Contrairement aux décennies du 20ème siècle qui ont toutes affiché une spécificité.

    Ah bon ? Pourtant si, on peut dire que les années 2000 ont apportées plusieurs spécificitées :

    • La mobilité et l’accès à internet mobile : Quelques produits : iPhone, eeePC. Généralisation des accès WiFi et de la 3G. On peut accéder de partout à ses données sans être au bureau. L’idée existait certes à la fin des années 90, mais il faudra attendre assez longtemps pour que cela devienne une réalité. De même, à ce stade les années 90 n’ont pas inventées la téléphonie mobile qui existait bel et bien (mais personne ne s’en servait) dans les années 80. 
    • La convergence des réseaux a.k.a triple-play qui fournit sur un seul réseau aux particuliers tout un ensemble de services. Apparition aux alentours de l’an de grâce 2002, et diffusion extrémement rapide. 
    • La révolution des médias numériques : La vidéo à la demande est devenue une réalité, des millions de gens utilisent YouTube et d’autres sites web pour consommer du contenu multimédia.
    • Les réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, ...) : Ah ben ca pour le coup, on vous aurait pris pour un fou si vous en aviez même proposé l’idée dans les 90s. 
    • Les blogs et le contenu généré par l’utilisateur : Vous le faites vous mêmes en écrivant sur Agoravox. 
    • La quasi gratuité des télécommunications vocales via le triple play et des offres tel que skype, sauf en situation de mobilité. 
    • La généralisation des RFID. 
    • L’apparition en cours du ePaper. 
    • Et j’en passe...
    Peut être que les innovations des années 2000 ne vous intéressent pas (c’est tout à fait votre droit), mais il est difficile de dire que cela n’avance plus, bien au contraire, on constate plutot une accélération dans le secteur informatique et télécoms. Les années 90 ont été celles de la construction de l’infrastructure, les années 2000 sont celles de l’utilisation des possibilités de cette infrastructure. C’est d’ailleurs cette utilisation qui permet d’appercevoir les limites de l’infrastructure actuelle et va justifier les travaux des années à venir. 

    Le développement est un aller - retour sans cesse, il ne suffit pas de créer des technologies, il faut que les gens trouvent quoi en faire. Les années 90 ont offert des technologies, les années 2000 leur ont trouvées un usage et ce faisant ont permis d’en établir les limites, de nouveaux développement sont en cours pour y faire face !



    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2008 21:09

      Face book, Youtube, Google, la gestion et le partage des infos, certes, mais dans le sillage de la massification technologique des individus de plus en plus pris aux piège du paraître et des objets. Je n’ai pas besoin de ce faux miroir des amis de Facebook pour exister. La rencontre des êtres se fait dans le mouvement du destin, et ces artifices ne peuvent que supplanter et aider le destin à concurrence d’une miette. La vérité est ailleurs, l’art aussi, l’éthique encore plus


    • Marc Bruxman 18 décembre 2008 21:49

      Face book, Youtube, Google, la gestion et le partage des infos, certes, mais dans le sillage de la massification technologique des individus de plus en plus pris aux piège du paraître et des objets. Je n’ai pas besoin de ce faux miroir des amis de Facebook pour exister.

      Si vous croyez que ce n’est qu’une question de paraitre vous vous trompez. Ces objets marchent parce qu’ils sont "pratiques". D’ailleurs YouTube et Google ne sont pas des objets mais bel et bien des services, pratiques. Et cela n’empéche pas du tout d’avoir une vie sociale bien au contraire. 

      Ce sont des outils et je peux vous garantir que l’on s’en sert avant tout pour organiser facilement des soirées et des apéros, ou échanger des contenus que l’on trouve cools. Et ca permet aussi d’échanger les photos dans le groupe après la soirée. Le but n’est pas de comparer le nombre d’amis comme vous le laissez sous entendre. 


  • Marc Bruxman 18 décembre 2008 21:06


    Ce qui signifie que l’accroissement du savoir technique est exponentiel au sens mathématique du terme.
    Ca n’a pas fini de croitre !!


    Tout à fait sur le terrain on constate effectivement une accélération ! Les années 2000 ont d’ailleurs permis un truc fabuleux c’est que les gens ont intégrés le progrès technique permanent et que c’est assez facile de leur faire prendre de nouvelles habitudes. Le délai entre l’invention d’une techno et son utilisation effective par les gens s’est considérablement réduit. 

    D’ailleurs la ou le technophille ou "geek" passait encore pour un urluberlu à la fin des années 90, on se retrouve en 2008 avec ce même individu devenu non seulement socialement accepté mais presque recherché. (Je vous assure, il vaut mieux être un geek dragueur en 2008 qu’en 1998 ! ! !). La société s’est dans un certain sens "geek-isée" notamment chez les plus jeunes. Car le pendant c’est effectivement qu’il y a une barrière générationelle qui s’est installée et certains ont continués à vivre dans leur monde, ignorant presque tout de ce qui se passe. (Pour éviter le hors sujet je ne dis pas que tous les séniors sont comme cela, ni que tous les jeunes sont technophilles mais sur un plan statistique la barrière existe).

    En un sens, la crise actuelle va être un catalyseur car comme toutes les crises, elle va imposer une sélection darwinienne et donc seules les structures les plus productives vont survivre. Les vieilles institutions ou reignait l’immobillisme vont être rayées de la carte et la reventilation des gens dans des organisations moins conservatrices va finir le travail. 

    Et dans l’autre sens, la crise actuelle est surement causée par l’accélération du progrès technique car notre système juridique n’est plus adapté à ce monde la. On constate que la régulation a fait défaut dans le domaine de la finance, mais ce n’est pas le seul domaine qui est devenu impossible à réguler. Tout ce qui est immatériel n’est plus régulable. Or, de plus en plus de choses deviennent immatérielles. La société va devoir changer pour s’adapter à cette donne la, mais cela va prendre du temps car nos politiques souvent vieux ne semblent pas comprendre ce qui se passe. Ils agissent comme si l’immatériel pouvait être controlé, comme si une frontière était encore difficilement franchissable. Ce monde la est terminé. Et il n’a plus de quoi soutenir un système politique à son image. Le nouveau système politique est à inventer, une chose est sure, il s’inventera de lui même car la nécéssité va dicter ses lois. 




    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2008 21:25

      Les geek vont devenir en l’espace d’un trou du Temps des has been

      La technique n’est plus la solution mais le problème

      La société risque d’imploser dans un collapse orgasamatique d’ici 20 ans au vu des prospectives tirées à partir de la geek génération mais heureusement, les héritiers de Ludd vont combattre et ringardiser les geeks, ces bimbos mâles affublés d’I Phone, arpentant les cafés Wi Fi pendant que les femelles se font botoxer en mini jupe et bottes à talons dans les instituts de vénus beauté


    • Marc Bruxman 18 décembre 2008 21:59


      La technique n’est plus la solution mais le problème

      La société risque d’imploser dans un collapse orgasamatique d’ici 20 ans au vu des prospectives tirées à partir de la geek génération mais heureusement, les héritiers de Ludd vont combattre et ringardiser les geeks,

      Ah ouais quand même ! Ludd. Cela faisait longtemps que je n’en avait pas entendu parler de celui-la. Et il a d’ailleurs fini dans les poubelles de l’histoire il y a bien longtemps. 

      Cela dit il y a effectivement des peuples qui ont cru bons d’arréter leur progrés technique. Les Chinois l’ont fait il y a fort longtemps (je ne sais plus le nom de l’empereur) et bien bizarrement l’empire s’est effondré puis s’est reconstruit lorsqu’ils ont redécouvert la technique. Il y a d’autres peuples qui ont tentés cela, en général ils ont finis, perdants, colonisés ou je ne sais quoi d’autre de pas cool. 

      Vous ne pouvez pas aller contre le progrès technique, parce que d’autres continueront à progresser et qu’ils seront alors plus fort et plus puissant que vous. Ils vous commanderont et vous deviendrez leur esclave. C’est comme cela que cela c’est toujours passé dans l’histoire des hommes. Par contre vous pouvez tenter d’adapter en permanence la société à l’état des connaissances humaines de façon à ce que votre pays profite au maximum du progrès technique. Pour ce qui est du reste, la technique ne vous a jamais empéché de faire de l’art, de la philo, d’avoir une famille ou des amis. 


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 18 décembre 2008 22:04

      Je ne suis pas contre le progrès technique

      Où suis-je ?

      Contre ceux qui pensent que le salut est dans le progrès technique
      ceux qui pensent que les solutions sont dans le progrès technique
      ceux qui ne voient pas l’illusion de la technique

      Je suis même contre moi-même qui suis contre la technique parce que je sais parfaitement ce que la technique m’apporte. ALors qui suis-je ?



    • PtitLudo PtitLudo 18 décembre 2008 23:24

      La question est : La technique au service de l’homme ou l’homme esclave de la technique ?
      Pourquoi le geek est à la mode ? c’est simple, parce qu’il achète, parce qu’il prend des crédits pour avoir toujours ses derniers gadgets.
      Et il ne faut pas faire d’amalgame, je ne suis pas non plus contre la technique, mais pour une technique utile et utilisée à bon escient et dans la mesure ou elle apporte un réel progrès.


    • Marc Bruxman 19 décembre 2008 01:10

      							

      															
      							
      								La question est : La technique au service de l’homme ou l’homme esclave de la technique ?

      L’homme n’est esclave que de ce qu’il ne comprend pas. Je ne me suis jamais senti esclave de mes gadgets parce que je sais grosso modo comment ils fonctionnent et que je peux les utiliser pour qu’ils me simplifient la vie. 

      Pourquoi le geek est à la mode ? c’est simple, parce qu’il achète, parce qu’il prend des crédits pour avoir toujours ses derniers gadgets.


      Je ne crois pas que cela ait quoi que ce soit à voir, lorsque tu juges quelqu’un tu le fais sur le fait qu’il a des crédits au cul ? 

      Non la raison c’est que beaucoup des choses du moment jugées "cool" par une partie de la population sont issues du monde high-tech. Il y a dix ans quand tu disais que tu étais informaticien, les gens s’imaginaient que tu étais celui qui réparait le PC poussiéreux qui les enmerdait au bureau. Aujourd’hui ils s’imaginent que tu bosse sur des trucs qu’ils jugent "cool". Alors forcément, tu passes du rang de pariah au rang de quelqu’un de cool. Cela n’a rien à voir avec la balance de ton compte cofidis. 

      Et la plupart de ces trucs que les gens trouvent cools sont gratuits ou très peu cher. Combien coute un iPhone ? Avec la subvention moins de 100 € au prix du jour. Facebook ? Gratos ? Un blog ? Gratos ! MSN ? Gratos ! Un ordinateur ? Entre 300 et 1000 € (hors modèles ultra luxe). Un GPS ? Moins de 150 € pour le modèle d’entrée de gamme. Cela n’a justement rien à voir avec le monde du luxe. 

      Les gens aiment ca parce que ca leur simplifie la vie et que ca leur rend service. Pas plus, pas moins !

      Et il ne faut pas faire d’amalgame, je ne suis pas non plus contre la technique, mais pour une technique utile et utilisée à bon escient et dans la mesure ou elle apporte un réel progrès.

      Je crois que la meilleure preuve c’est de voir les gens s’en servir. Les gens ne sont pas SM. Si ils achétent un produit c’est parce qu’il leur rend service. Le téléphone 3G on en parle depuis l’an 2000 et y’en a plein qui sont sorti depuis lors. Aucun n’a rencontré de succès commercial ou n’a été utilisé autrement que comme un téléphone. Apple sort son iPhone et bing les gens achètent. Pourquoi ? Parce que les gens ne sont pas cons et qu’ils ont très bien vu que ce produit la était le premier à être bon et à remplir ses promesses. Si il y a un domaine ou le marché remplit bien son role c’est bien celui la ! ! !
      							

  • Marc P 18 décembre 2008 22:33

    Bonsoir...


    L’usage du terme Moyen Äge est il le plus pertinent puisque les experts de l’époque jugent qu’il fut plus créatif que la renaissnce, période ou on s’efforca de copier l’antique et à s’en inspirer...

    une ou deux clés pour sortir de ce moyen âge...


    - nous sommes fascinés voire médusés, hypnotisés par la technique... qui fait de nous ce qu’elle veut...

    - nous ne nous rendons pas compte que nous ne pensons pas par nous même...

    - nous sommes "pris en charge" depuis notre naissance par l’école, la Grande Ecole, la famille, le travail, le club med, notre environnement social, la télé... nous ne sommes jamais livrés entièrement à nous même, oisifs au sens de désoeuvrés, nous ne savons pas contempler...

    - la course à l’argent ou au statut, trop souvent la quête d’une stabilité affective, professionnelle, homéostatique par le hobby, le bavardage etc... nous empêche d’aller affronter nos démons "40 jours dans le désert..."

    - bref nous sommes comme des enfants dans un magasin de jouet, et un de nos jeux "favoris" est l’activisme, s’activer pour justifier qui on est, son salaire, son statut... btravailler plus pour penser ou réfléchir moins...

    Echappent à cela quelques moines bonzes fakirs et quelques sages...

    Par exemple il est essentiel d’avoir toujours à l’esprit que dans notre monde une grille de lecture ne vaut pas par sa pertinence mais par son caractère opératoire... la quête de la vérité n’est souvent pas la même que celle de la performance à court ou moyen terme, individuelle ou collective

    bien à vous

    Marc P

    ps : voici un post à l’article sur le 21 eme siecle pas vraiment là...

    Bonjour Mister Ford (ça c’est pour embêter Messieurs les Doctuers Krokodilo et Docdory car tous les Dugué se reconnaitront..., will they not...

    Et si le 21 ième siècle était celui de la digestion, de l’extension à la planète, de la métabolisation de toutes les connaissances (pas les technologies, pour elles cela ne prend que quelques décennies), brefs si le 21 ième siècle était celui de "l’incorporation", de l’assimilation, de l’intériorisation pour le grand nombre des VRAIES CONNAISSANCES produites depuis les sages pères de nos religions et philosophies sur le focntionnement intime de nos personnes et de nos sociétés. Ces connaissances ont connu une accélération radicale avec des Pascal, des Hobbes, des Kant et tutti quanti... Les 19ième puis 20ième siècle furent plus encore, grâce aux progrès techniques ayant libérés davantage de penseurs de la recheche d’applications technologiques au profit des réflexions sur l’humain, le social, l’anthropologique voire l’éthologique, les 19ème et 20ème furent donc plus encore ceux de la profusion des productions en la "matière" fut elle abstraite et sans application immédiate... (neurones miroirs y compris)

    De Platon à Mauss ou Levy Strauss et leurs pendants d’autres natoionalités et cependant contemporains ou presque... il s’en est produit de la connaissance...
    Si le 21ième siècle ne servait qu’au partage et à l"implémentation" pardon Kroko et Dory) de ces connaissances sans aucun progrès technique (hum peut être un peu quand même sur l effet de serre), alors ce sera un siècle a marquer d’une pierre blanche sans aucun précédent...
    Cordialement...
    Marc P







  • timiota 19 décembre 2008 00:59

    "pharmakon"
    (Stiegler)

    La technique nécessite des ...techniques spirituelles pour ne pas nous empoisonner.
    Quand tout fonce on n’a pas le temps de s’installer dans ces techniques.

    Les facebookistes sont un peu mieux que les ados "addicts aux marques" des ghettos de banlieue, mais le compte est loin d’être bon.....Et dans 30 ans ?
    Les ordinateurs nous ont demandés jusqu’ici que de nous satisfaire de "pulsion de reconnaissances" (merci les neurones miroirs, le Lay avait vite compris "miroir du porte monnaie") , plasir de reconnaissance immédiat et cours termistes (jeux videos des années 90).
    Ca change ...
    Auront-ils acquis assez de complexité dans 30 ans, ces ordinateurs, pour faire la part de la "singularité", du non-pulsionnel qui te fait gamberger et te met au-dessus du poison ?
    Les gadgets qui les entourent nous feront plus vite saturer du court-termisme. 
    Mon blackberry vient de me rappeler que mon profil n’est pas actualisé chez Farcebouc. Je vais rater la citrouille d’une heure du matin... Cho !

    RV dans Ageekabox dans 30 ans...


  • Marc Viot idoine 19 décembre 2008 04:40

    >ALors qui suis-je ?
     ? ou J , la réponse est la question.
    (au 3ème click ...)


  • Idaho Idaho 19 décembre 2008 09:24

    @ Bernard

    Dans le fond il est pathétique de vous voir invoquer ainsi ce XXIe siècle où il ne se passerait rien.

    Hé oui, 2012 ans déjà que Jésus est né dans une crèche de Bethléem, 8 ans que les chrétiens ont purifié leur mémoire au tournant du troisième millénaire et où sont les premisses du Royaume ?

    Car enfin si ce n’est pas votre propos, nous pourrions penser que vous croyez à la numérologie, à l’astrologie, à la météorologie, à l’homéopathie smiley !

    Allez, je vais vous réconforter grandement : l’année 1996 que vous disqualifiez de votre réflexion sur notre siècle alors même qu’elle a vu la "découverte monumentale" des neurones miroirs par Giacomo Rizzolatti, était en fait l’an 2000 de l’Incarnation !

    Vous savez bien, le moine Denys le Petit s’est trompé de 4 ou 6 ans dans son estimation de l’AD.


  • max14z max14z 21 décembre 2008 17:44

    On sortira de ce moyen-age technologique quand les gouvernements annonceront la découverte (d’il y a au moins 50 ans...) de l’energie libre (éléctr-magnétisme), certainement une des plus grande découverte scientifique a l’heure actuel... l’homme qui a découvert cette source d’énergie révolutionnaire est Nikolas Tesla, chercheur croate, qui a réalisé ces projets en amérique pour la pluparts ( le radar, la radio, la télevision, le courant alternatif lui sont attribué en grande partie ! de meme que le projet américain HAARP... )
    Mais kan il a dit qu’il pourrait certainement alimenté TOUTE la planete en énergie, on lui a rétorqué : si nous ne pouvons pas poser un compteur, alors cette idée est inenvisageable...komme koi l’argent régi tout... smiley

    Il y a aussi la fusion froide qui a été découverte, mais je vais vous laisser chercher des infos seul a ce sujet...c’est bluffant

    ces découvertes sont éttouffé (par la science également !!! ) car sa mettrait en danger les magnats du pétrole, avec leur pétrole il n’iraient plus bien loin !!! ^^
    mais elle sont dévellopé secrètement et militairement par les gouvernement, (notamment américain, via le complexe militaro-industriel ,qui sont bien plus en avance sur ce sujet que n’importe quel pays...) , meme la france a probablement sa petite base 51...


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