samedi 17 octobre 2020 - par moderatus

Quand le pouvoir va-t-il lutter contre l’islamisation du pays et contre le terrorisme qu’il engendre ?

Rien n'est fait à ce jour pour lutter contre cette islamisation qui se répand dans les cités, dans l'administration, dans l'armée, dans l'école.

Cette islamisation qui conduit au terrorisme, on vient d'en faire encore les frais ces jours-ci. Un barbare de 18 ans décapite un professeur dans notre pays en plein jour.

L'assaillant s'appelle Aboulakh Anzorov, il est d'origine tchétchène. Une fois de plus, le lien entre immigration et terrorisme islamiste est là. Les responsables politiques ont fermé les yeux pendant des années, les conséquences sont là...

On attendait depuis des mois le discours puissant et des mesures fortes de la part de la présidence de la République, la montagne a accouché d'une souris. Les mesurettes annoncées sont des roupies de sansonnet ridicules par rapport à la gravité de la situation. Aucune de ces mesures ne freinera le séparatisme et n'évitera la libanisation de la France.

Nous vivons dans un État aux pieds d'argile.

Renforcer l’islam pour contrer l’islamisme : la dangereuse illusion de Macron.

On nous habitue à la soumission, par le masque, le confinent, la répression à la désobéissance, on nous apprend à nous adapter aux autres cultures au lieu de demander aux autres cultures de s'adapter à la culture du pays d'accueil.

« A Rome fais comme les Romains » c'est la seule vraie option !

Il ne reste plus qu'une voie de salut, un référendum sur l'immigration. Référendum qui ne viendra jamais sous son quinquennat.

Rien, sur les raisons principales de notre glissement vers le séparatisme et la libanisation.

Rien sur l'immigration, rien sur les clandestins, sur le regroupement familial.

Rien sur les frontières passoires.

Rien sur la nouvelle filière d'immigration mortifère, celle des « mineurs ».

Rien sur la fermeture de toutes les mosquées salafistes.

Rien sur l'islamisme qui gangrène nos administrations et nos écoles.

Macron a réussi à proposer des mesures qui fâchent beaucoup de monde, mais ne ressouderont ni les problèmes du communautarisme ni celui du séparatisme.

Pire comme toujours, avec ce pouvoir, un pas en avant deux en arrière,

''Le mot séparatisme sera supprimé du texte de loi''.

Darmanin, le lendemain du discours de Macron sur le séparatisme, nous annonce que ce projet de loi qui viendra un jour sur le séparatisme ne portera pas dans son titre contrairement à ce qui était prévu le mot séparatisme.

Comment prétendre guérir les maux quand les mots déjà font peur ?

Il serait encore peut-être temps de mettre fin au fait que des citoyens français au nom d'interdits religieux ou idéologiques, soient assassinés ou soient persécutés et sous la protection constante de la police.

Il serait temps que les voyous aient peur de la police et non l'inverse.

Depuis des décennies, on parle, on bavarde sur le séparatisme, sur l'hydre islamique, sur des mesures qu'on prendra peut être un jour, mais tout cela ne reste que paroles verbales.

Darmanin s'agite, le ministre de la Justice le critique et notre président fidèle à lui-même et à son handicap du « en même temps » donne raison à l'un et à l'autre, mais ne prend aucune décision courageuse.

Alors les uns et les autres vont-ils cesser cette pantomime désastreuse qui conduit le pays à sa partition ?

Le diagnostic est simple, tout le monde sait le faire.
Un communautarisme qui détruit toute possibilité de vivre ensemble.

Une islamisation rampante qui gangrène la jeunesse, souvenons nous du pourcentage des jeunes musulmans qui pensent prioritaires les lois religieuses par rapport aux lois de la République, c'est-à-dire qu'il ne se sentent Français que de papiers.

L'assimilation n'en parlons plus, mais même l'intégration est en faillite. Un projet commun pour la nation, l'amour ou le respect pour le pays d’accueil sont lettres mortes, des ambitions perdues.

Mais une fois le diagnostic fait, quelles sont les mesures à prendre 

Si l'on veut renverser la vapeur et intégrer la diversité, la créolité qui pour Mélenchon sera l'avenir radieux de notre pays.

Si je ne suis pas d'accord avec Zemmour et sa globalisation qui analyse le problème comme étant sans issue possible, je souscrits par contre aux mesures à prendre pour éviter un affrontement entre communautés que tous craignent et à brève échéance. Les mesures à prendre , elles sont évidentes, elles ont été cent fois répétées. Cela va du moratoire immédiat sur toute immigration, à l’arrêt provisoire du regroupement familial, au renvoi de tous les clandestins et des délinquants étrangers en commençant par les « mineurs » isolés et en passant par une lutte contre l'hydre islamiste en fermant toutes les mosquées salafistes et organisant le renvoi des prêcheurs de haine et de séparatisme.

Sur toutes ces mesures le projet est muet ou édulcoré, car vidé de sa substance.

Comme le demande G-W GOLDNADEL demandons leur avis aux Français :

« je fais partie de la majorité des Français qui n'acceptent plus l'immigration, je le vis comme un drame, on n'a pas demandé l'avis aux Français et aux Européens. »

Il y a en France 2500 personnes radicalisées qui vont être libérés de prison d'ici 2022.

On en fait quoi ?

Ils seront en complète liberté, car il faut 10 personnes pour surveiller un individu dangereux.

On pourrait envisager de renvoyer chez eux certains qui sont étrangers et ceux qu'on aurait déchus de la nationalité française.

Non, rien n'est prévu, on garde chez nous des gens qui nous font la guerre pour détruire notre nation, soit politiquement soit avec des armes.

Que ceux qui haïssent la France s'en aillent.

https://youtu.be/9uCmA7ctCaI7

Il est certain que cela doit s'accompagner de la fin des territoires de non droit afin que l'on puisse rétablir dans ces territoires l'égalité des chances qui est indispensable.

Ce n'est qu'à ce prix que la nation aura une chance d’échapper à son démantèlement et d'éviter les soubresauts mortifères d'une libanisation.

Les Français ne se sentent plus chez eux, et le sentiment d'être en exil dans son propre pays est le pire des exils.

« Le véritable exil n'est pas d'être arraché de son pays, c'est d'y vivre et de n'y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. »

Edgard Quinet




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