mardi 16 juillet 2019 - par Bernard Dugué

Cancer : comment ouvrir de nouvelles voies

JPEG Malgré des décennies de recherches, le cancer n’a que modestement reculé. La science peine à trouver des traitements pour un cancer sur deux. J’ai écrit quelques articles incitant à explorer des voies alternatives. Ces textes n’ont pas suscité un grand intérêt. Je crois que dans ce domaine, les gens oscillent entre la crainte et la crédulité. Les uns redoutent les charlatans et s’en remettent à la science officielle et une médicine qui souvent, penche vers le mercantilisme et sait mobiliser ses experts pour inciter l’Etat à faire obstacle aux médecines et recherches alternatives. Les autres n’hésitent pas à se tourner vers des thérapeutes usant de méthodes peu efficaces, eux aussi gagnés par le mercantilisme. Bien souvent, c’est en désespoir de cause que les thérapies alternatives sont justifiées et choisies comme une dernière chance.

Quand on ne dispose que d’un marteau, tous les problèmes ressemblent à des clous. La médecine utilise la chimiothérapie. Son problème est de tuer les cellules cancéreuses, utilisant le marteau moléculaire comme en d’autre temps les princes du régime usaient du marteau des sorcières contre le mal. La conception du vivant est mécaniste. Il reste les champs en physique et les résultats non conventionnels sur le cancer qui, parce qu’ils n’ont pas d’explication mécaniste, sont rejetés par la science officielle. Pourtant, la physique quantique bien interprétée permet d’explorer des voies.

S’il existe une solution pour soigner le cancer, elle ne peut être trouvée qu’en cherchant et plus précisément, en cherchant avec un autre éclairage, en pratiquant la transversalité car il faut connaître les sciences physiques et les sciences du vivant pour imaginer un effet du champ sur les cellules. Pas n’importe quel champ. Il faut trouver les réglages et développer une théorie de l’interaction entre les champs électriques, magnétiques, électromagnétiques et les cellules, notamment les communications moléculaires pouvant être influencées. Des guérisons ou des effets thérapeutiques non conventionnels ont été recensé depuis des décennies. Ce serait une faute de ne pas saisir ces opportunités comme celle offerte par la controversée machine de Prioré. Robert Courrier livrait sa position sur cette affaire :

« Quand il s'agit d'un problème aussi grave que le cancer et qu'on voit poindre une lueur, on a le devoir de rechercher ce que représente cette lueur, on n'a pas le droit de l'éteindre avant de savoir ce qu'elle vaut. »

Chacun a la possibilité de contribuer aux approches alternatives sur le cancer. Il suffit juste de se relier, de faire circuler l’info. Dans votre entourage, vous connaissez peut-être des scientifiques pouvant sortir de leurs spécialités, des médecins attentifs aux phénomènes que la science n’explique pas, des coupeurs de feu et autres magnétiseurs, des bricoleurs de génie, des virtuoses de la théorie quantique des champs, des HPI, des zèbres. Parfois une discussion peut faire naître des idées, des propositions, surtout si la rencontre est informelle. Toute émergence nouvelle repose sur les communications (Dugué, Temps, émergences et communications, Iste, 2017)

La médecine occidentale semble freiner face aux approches alternatives, systémiques, non conventionnelle. Il manque sans doute un référentiel philosophique, un paradigme comme se plaisent à le dire les penseurs systémiques. Pour ma part, ce paradigme est accessible. J’en ai donné quelques grandes lignes. Quelques principes universels expliquent comment le cancer pourrait être stoppé. En voici trois :

Principe du champ. Les cellules communiquent, la matière communique et le champ est générateur de signaux cohérents pouvant être interprétés par chaque cellule ou même chaque molécule.

Principe de l’énergie, de la monade, des essences et la symétrie quantique CPT. L’énergie circule, elle est aussi information. Il est possible, par effet de résonance, de compléter l’énergie d’un système vivant ou mieux encore, de soustraire les mauvaises énergies, qui sont des mauvaises informations causant entre autres choses le développement intempestif des cellules tumorales.

Principe holographique. Chaque partie d’un système contient une information sur le tout. Cette surdistribution de l’information est en principe capable de maintenir le système dans un état d’harmonie, ordonné, équilibré, fait de concerts et résonances physiques.

Vaincre le cancer est peut-être impossible mais si c’est accessible, ce sera avec la collaboration de tous les acteurs de la science et de la pensée philosophique voire métaphysique. Réunissez-vous, parlez, dialoguez, échangez, on ne sait jamais, il pourrait y avoir une lumière au bout du tunnel. 



13 réactions


  • Taverne Taverne 16 juillet 2019 16:39

    Puisque c’est ouvert aux néophytes, je me lance.

    Atome : anatomie

    Vous parlez des « monades », on peut parler, pour être moderne, des atomes. L’atome n’est pas sécable. Son contraire est ce qui est peut être coupé et disséqué et donne lieu à l’anatomie (latin anatomia, du grec anatomê, de anatemnein, disséquer). Le cancer se prête-il à la dissection et à l’étude ? Je crois que non. Il me semble donc qu’il est à ranger avec ce qui est insécable. Comme l’atome, on peut seulement essayer de le pulvériser, mais on ne peut l’étudier en détails.

    L’information

    Outre la séparation en ces deux catégories le sécable et le non sécable il y a ce que vous dites : l’information. A ce titre, le cancer nous renseigne très peu, en particulier sur le plan causal. On a très souvent la suspicion d’une cause déterminée (voir l’affaire des parafoudres d’Orange, par exemple) mais quasiment jamais la certitude de la causalité directe. Le cancer ne donne pas l’information sur sa cause, c’est une choses sournoise.


    • MAGURA 16 juillet 2019 17:39

      @Taverne Votre vision moderne est dépassée depuis belle lurette. L’atome est sécable, malgré son éthymologie : baryons et leptons pour faire simple.


    • Taverne Taverne 16 juillet 2019 20:42

      @MAGURA

      En ce cas, revenons à la notion de monade de Leibniz à laquelle fait référence l’auteur. Une unité aveugle et indivisible. On ne peut pas appliquer à une chose indivisible la méthode cartésienne (rappelez-vous : « diviser un problème en autant de parties qu’il m’est possible »). Cette méthode est inapplicable ici et il faut donc imaginer et construire une autre méthode de résolution.

      Ce qui fait unité n’est pas divisible, cela vaut aussi en philosophie. Par exemple le cogito est une vérité première : si vous le coupez, supprimez ou si vous déplacez un terme, il ne fait plus un et n’est plus le cogito.


  • foufouille foufouille 16 juillet 2019 16:41

    les cellules communiquent avec des messages chimiques.


  • kanopus 16 juillet 2019 16:55

    Tester à grande échelle, redécouvrir l’argent colloïdal, mais pas seulement, pourrait être une autre des solutions proposées.

    Par ailleurs, le cancer n’aime pas du tout un environnement alcalin. Alors ?

    Commençons donc par éviter tous les produits alimentaires super raffinés, ce serait déjà un bon début !

    In fine, le sujet est fort vaste, mais consommer des produits morts n’apporte

    que de mortifères résultats. Ajoutons, de surcroît, que le corps humain est hétérotrophe et doit donc recourir à des matières organiques exogènes et,

    de par ce fait, rejeter les minéraux déjà présents dans l’eau, par exemple...



  • jalin 16 juillet 2019 19:41

    Les champs électromagnétiques ou électriques( TECAR https://www.mectronicmedicale.com/fr/therapies/doctor-tecar-therapy/effets-biologiques

    ) sont à l’étude pour traiter les dépressions et aussi les problèmes musculo-squelettiques, ainsi que le laser pour l’arthrose encore très mal traitée. J’avais rencontré des chercheurs russes il y a 25 ans qui prétendaient soigner différents problèmes de santé, dont le cancer, avec l’éclairage des cellules sanguines avec une fibre optique cathétérisée dans une veine. Les effets de ces champs sont soit de faciliter la circulation sanguine( appareil BEMER https://france.bemergroup.com/fr

    ) soit de modifier la polarité de la membrane cellulaire et ses capacités d’échanges biomoléculaires.


  • Taverne Taverne 16 juillet 2019 20:53

    Seconde réflexion philosophique :

    Ce qui vit aspire à l’expansion. Le cancer tend vers l’expansion un peu comme s’il se prenait pour quelque chose de vivant. Il se prend pour la vie. J’en déduis deux choses :

    le cancer se trompe sur lui-même (il se prend pour une forme vivante qui a besoin de s’étendre pour vivre davantage). S’il se trompe sur lui-même, c’est qu’il est faillible et qu’on peut le tromper de la même manière qu’il se trompe lui-même. On peut en quelque sorte l’encourager dans son mensonge pour lui donner un leurre auquel il va s’attaquer. Implanter un faux organe pour qu’il s’attaque à ce leurre (diversion) et le retirer quand il est entouré par la tumeur.

    on peut se référer au modèle que la nature nous donne. Quand une forme vivante se déploie (exemple, une plante), elle se déploie autant qu’il lui est possible. Mais elle peut avoir une concurrence. Une autre forme à côté peut grandir plus vite et stopper sa progression voire même l’étouffer. Donc, j’en déduis que l’on pourrait imaginer une forme concurrente au cancer qui se développerait exactement selon le même processus (une chose se prenant pour la vie et aspirant à une expansion sans limite) mais qui serait inoffensive. Sa raison d’être serait d’étouffer ou de stopper la progression du cancer, cette contre-vie qui se prend pour une forme de vie.


  • Aimable 17 juillet 2019 00:46

    C’est bien joli tout cela , mais pourquoi vouloir changer de système de recherche puisque celui qui est mis en œuvre et protégé fait des veaux gras .


  • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2019 07:47

    Je pollue, tu dépollues, enfin, si tu peux, ce qui compte c’est ce que les gens croient ; et on partage : chacun son bizness ....

     

     J’empoisonne, tu dépoisonnes, et on partage ...

     

     A bon entendeur, salut.


  • stef 17 juillet 2019 14:30

    Le meilleur moyen de faire reculer le cancer, c’est la prévention plutôt que de tabler sur des découvertes scientifiques invasives exténuantes  et onéreuses .


    • zak5 zak5 17 juillet 2019 18:47

      @stef
      quelle prévention ? Le cancer est une chose généralement inopinée, imprévisible et le plus souvent incurable (on parle de rémission et non pas de guérison)
      Si la prévention pouvait faire quelque chose, on aurait pas cette contradiction qui fait que des individus qui ont de comportements a risque (ils fument, boivent comme des trous, se droguent, mangent comme des goinfres...) ne développent pas de cancer, alors que d’autres qui font attention le développent.

      ceci dit, l’auteur a bien raison de traiter ce sujet, puisque la plupart d’entre nous allons mourir de cette maladie

      la recherche médicale est en berne en occident, trop de bureaucratie, trop de risque de se retrouver devant la justice (il suffit de quelque individus qui développent des effet secondaires) et ainsi de suite. je pense personnellement que les solutions viendront de Chine, ou d’Inde ou même d’Israël, des pays qui ne dépriment pas à la vue d’une vache hublot  


    • Xenozoid 17 juillet 2019 18:49

      @zak5

      et c’est un vache hublot israelienne qui ne fait pas peur,qui sauvera l’humanité


Réagir