Commentaire de odile
sur Charles V : ou la définition de la « rupture »
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Comme je l’ai déjà dit, cet article n’est en rien partisan. Il n’a que l’ambition de montrer la personnalité d’un roi avançant avec son temps.
A ce que je sache, je n’ai pas rajouté, « comme le fait actuellement notre président ».
D’ailleurs, si j’étais la « sarkozyste » que vous pensez que je suis, je n’aurais certainement pas choisi Charles V. Il me semble en effet qu’entre les deux hommes il y a suffisament de différences, pour qu’on ne confonde pas leur méthode, ni l’usage qu’ils font du terme « rupture ».
Comme l’action de Charles V n’est pas un simple changement, mais pas pour autant une révolution, il fallait bien que je trouve un terme qui me semblait aproprié. Désolé si Monsieur Sarkozy en a fait son fond de commerce. La langue française ne lui appartient pas je pense.
Voilà. Et excusez moi encore si mon article a pu vous sembler trop « partisan ». Bien que je cherche franchement la ressemblance entre la sagesse « capétienne » et « l’énergie » sarkozyste.