Commentaire de MBOCK Elise
sur La litanie républicaine : la nouvelle messe politique
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Bonjour à tous et merci de vos réactions.
@moebius. Que vaut la litanie des victimes et la concurrence des mémoires devant « la violence symbolique » rappelée par céphale ? Simple agitation. Un ancien Président de la République avait dit que ça fait « pschitt ! ».
@5A3N5D. « Et estimez-vous anormal que l’Etat vous protège des agressions, injures, diffamations et autres gâteries dont vous pouriez être victime pendant ou à l’occasion de vos fonctions ? ». Quand les enseignants cesseront de croire qu’ils détiennent seuls les clés de l’Education, comme les gardiens de prison détiennent seuls les clés des cellules, on pourra évoluer vers une communauté éducative, au-delà de la caution factice des seuls parents d’élèves. Tout monopole conduit à la prédation et comme JL le dit ici mieux que moi : « »coalitions prédatrices« , pour dire ici que l’intérêt des prédateurs et le Bien public sont antinomiques ».
@Odal Gold, Président de droit divin. Excellent. On peut même ajouter avec période de régence de Mme elle aussi devenue Présidente en attendant de passer la Présidence à l’Héritier.
@ Tal. « Dans une République, tout le monde a une utilité publique, tout le monde a une légitimité publique Cela va sans dire...même le clodo ! » (pardon le SDF...) Comment Gainsbourg disait déjà : « Affirmatif ! »
@tacite reconduction. Je suggère que l’on attende les résultats de l’enquête. Je crois qu’on peut être d’accord sur le fait que nous avons tous l’instinct de survie et la soif de vivre. Bien sûr il y a des moments de perte de lucidité où survient le suicide. Il y a aussi des moments de panique. Il y a une curiosité dans notre système : dans un sondage, les jeunes disent qu’ils détestent le plus dans l’ordre, les policiers, les enseignants, les journalistes et les médiateurs sociaux. Comment expliquer cela ?
D’acccord avec Act, pour dire qu’il faut recentrer le débat. Pour cela, il faut sortir du « crocodile » et aussi du « cabri républicain » qui sert ici d’alibi.