Commentaire de Nobody knows me
sur Edward Bernays : la fabrique du consentement ou comment passer du citoyen au consommateur


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Nobody knows me Nobody knows me 8 janvier 2008 17:58

Vos aigreurs de vieux gauchos défraichis fait vraiment peine à voir

Le moins qu’on puisse faire pour troller c’est de surveiller son orthographe et sa conjugaison :

« Vos aigreurs » (pluriel) => « fait vraiment peine » (singulier)

Bouffon va !


Voir ce commentaire dans son contexte