Commentaire de Philippe Vassé
sur En 2008, l'Italie vit encore sous des lois de Mussolini !


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Philippe Vassé Philippe Vassé 27 février 2008 02:49

Dalziel,

Vous confirmez par votre vocabulaire et votre impuissance à apprendre ce qui est ce que j’avais déduit de votre capacité à regarder le monde et à le comprendre.

Comme on dit chez les paysans italiens, "la corde qui attache la chèvre l’entrave"....

S’intéresser au monde, à la vie du monde, à son évolution est probablement la manière la plus élevée d’être citoyen. Où que l’on soit. D’autres ont pour horizon le petit bout de terre où ils vivent. Votre choix de la petitesse géographique et d’horizon culturelle est votre droit, souffrez que les gens qui voient plus loin, plus grand et plus haut ne s’accomodent pas de cette étroitesse étouffante.

Avec humour, je parie que la très libertine Carla Bruni, citoyenne italienne résidant à l’Elysée en France et s’occupant comme telle beaucoup des affaires intérieures françaises, est par sa nature plutôt contre le Jugement concernant le Juge TOSTI.

Il faudra donc vous habituer à ce que, vivant tous sur la même planète, et étant solidaires par nature de ce qui se passe partout sur celle-ci, les citoyens des pays du monde s’intéressent et se "mêlent" comme vous dites des affaires du monde, donc de pays qui ne sont pas les leurs, mais qui influent aussi sur leur destin.

L’Histoire offre tant d’exemples de ces interférences mutuelles que je ne vais pas développer ici.

Tout le bien que je vous souhaite est de briser votre corde qui entrave votre liberté de penser au contact des réalités variées du monde, un monde divers, varié et vaste, qui ne se résume ni à une foi (respectable par essence), ni à au mépris des autres.

Vous y verrez alors que de l’Australie au Japon, la laïcité et les principes de liberté s’y développent malgré les partisans des "cordes mentales" de toutes sortes qui veulent attacher le êtres humains à un passé révolu ou à des dogmes qui n’ont pas d’avenir dans une société libre et ouverte.

Et, si vous brisez cette corde, vous n’aurez plus, en sus, ces mots méprisants pour quiconque ne pense pas comme vous, mais vous vous enrichirez des dievrsités rencontrées, ce qui participera à votre éveil sur des réalités qui, pour l’heure, semblent vous échapper.

Dommage pour vous car rester enfermé quand le monde est si intéressant appauvrit l’esprit, restreint la pensée et l’étouffe.

Bien cordialement,

 

 


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