Commentaire de Roland Verhille
sur État : un peu, beaucoup, énormément ou pas du tout ?


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Roland Verhille Roland Verhille 10 avril 2008 12:23

À Forest Ent,

Merci, malgré certains désaccords je j’impute à la difficulté de se comprendre au travers de brefs exposés, vous me rejoignez sur ce qui est à vos yeux le point central de mon texte ( les pouvoirs confondus), mais qui pour moi n’est que l’explication, la cause première du dévoiement de notre démocratie.

Pour la dépense publique, bien sûr, le qualitatif est non seulement aussi important, mais plus important que le volume. Mais on ne peut que constater, chez nous, que le volume est pléthorique au détriment de la qualité, et que c’est bien une conséquence du dévoiement de notre démocratie. Dites moi si je me trompe, et en quoi je me trompe, en constatant que les maux incontestés du pays ne sont pas causés par les gens eux-mêmes, mais par ceux qui détiennent le pouvoir d’état.

Et là où pour l’instant il reste entre nous certains désaccords, c’est lorsque vous pensez que je ne suis qu’un libertaire. Les rédacteurs de la déclaration de 1789 étaient-ils à vos yeux des libertaires ? Ai-je expliqué qu’il fallait passer par-dessus bord toute forme d’état ? Dénoncer sa perversité n’est pas le soutenir.

 


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