Commentaire de Emile Red
sur Mythes et réalité de la libéralisation du marché postal
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Entre un service publique de même qualité qu’un service privé, il y a la différence que les gains servent à payer des employés qui font vivre le tissu social alors que de l’autre bord il y a des actionnaires qui se gavent en consommant que pour leur part unique.
Voilà, ou on comprend qu’il faut moins de chomeur pour une société qui évolue, ou on accepte se diriger au niveau de l’Afrique où le service publique est dans les rêves.