Pour ce qui concerne Chavez, je vous invite à relire ce que j’en ai écrit dans mes articles précédents. Je n’ai pas nié qu’il redistribue plus que ses prédécesseurs. Mais ce simple transfert à visée électoraliste ne fait pas une politique de développement. El les Vénézuéliens en prennent conscience.
S’agissant de Kirchner, j’observe que ses indices de popularité sont en chute libre, que la société argentine est à nouveau totalement divisée et que l’Argentine est à nouveau au bord du gouffre financier. C. Fernandez de Kirchner a conduit une formidable régression de son pays déjà bien amoché. C’est triste.