Commentaire de La Praline
sur A en manger sa cravate (épisode 1)


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Lino Pralino La Praline 11 septembre 2008 01:30

 

> A en manger sa cravate (épisode 1)
par morice (IP:xxx.x92.98.239) le 11 septembre 2008 à 01H09 
 
par La Praline (IP:xxx.x97.115.124) le 10 septembre 2008 à 23H06 

C’est pas islamophobe le mot Burka c’est Islamiste 

"Morice" traite d’islamophobes tous les non-islamistes, tous ceux qui ne soutiennent pas l’islam politique, et en tout premier lieu les femmes algériennes, libanaises, etc..qui "s’occidentalisent" un peu trop, voire qui couchent avec des dhimmis (suivez mon regard). C’est comme son ami Allain-Jules qui traite toutes les femmes qui ont la peau noire qui n’adhèrent pas à son "ethno-différentialisme" ; ; (mot politiquement correct pour désigner le racisme dans la nébuleuse momoiste-dieudonniste, et qui permet d’échapper aux poursuites judiciares) de "nègresses du sarkozysme", de "Bounty : noires dehors, blanches dedans", etc... 

j’ai déjà dit que c’est votre vocabulaire qui vous perdra Bretzel le sionniste : "qui couchent avec des dhimmis" est trop connoté, vous êtes un peu beaucoup idiot de sortir ce genre de commentaires dignes d’un... rabbin en plein délire anti-islam. Quand au "bounty", ça prouve autre chose : votre racisme évident et lisible ici-même ! Mais il y a mieux encore, Bretzel-Rapetout : avec le terme "ethno-différentialisme" ;, vous AVOUEZ enfin qui vous êtes... car s"il y a bien un terme usité par l’EXTREME DROITE, c’est bien celui-là !!! 

"L’ethno-différencialisme est un concept théorisé par la Nouvelle droite et ses adversaires" 

Ce courant revendique également "l’ethno-différentialisme" : à l’opposé du racisme pratiquant des hiérarchisations, il prétend être pour un nationalisme révolutionnaire que tout pays devrait pratiquer. 

Aujourd’hui ce courant "nationaliste révolutionnaire" n’a pas encore de ligne unifiée : c’est le rôle que se donne "Egalité & Réconciliation", qui tente d’agglomérer et de synthétiser toute les positions "nationalistes de gauche", des "gaullistes de gauche" jusqu’aux fantasmagoriques "nationaux bolchéviks". 

Les références de ce courant sont multiples et parfois contradictoires, allant du "nationalisme social" à la revendication d’une "troisième voie" définie par le slogan "ni trust ni soviets" ; on retrouve néanmoins : 


 Julius Evola (1898-1974), comme référence d’un mysticisme conservateur révolutionnaire européen ; 

 Benito Mussolini (1883-1945) comme figure socialiste théoricien du fascisme, notamment avec la "République sociale italienne / République de Salò" ; 

 Otto et Grego Strasser (1897-1974 et 1892-1934) comme symboles du "nazisme de gauche" ; 

 Ernst Niekisch (1887-1967), comme référence du syncrétisme nationalisme/extrême-gauche ; 

 Alain de Benoist (né en 1943), théoricien de la "nouvelle droite" et de l’"ethno-différentialisme". 

Vous vous êtes TRAHI, là, encore une fois !!! votre VOCABULAIRE est bien celui d’un bon petit néo-nazi !!! 

A ce niveau, les prémices de l’aggiornamento de l’ultradroite contemporaine étaient d’ailleurs déjà apparues dans les années quatre-vingt, sous l’influence des travaux idéologiques de la Nouvelle Droite (24). Cette droite intellectuelle, originaire de l’extrême droite radicale, proposa à sa famille politique une nouvelle culture pour accéder au pouvoir, en se déculpabilisant de son lourd passé. Le kit stratégique de la Nouvelle droite comportait, entre autres, un nouveau vocabulaire afin de mieux masquer sa vraie nature. La vulgarité et les références folkloriques crypto-nazies disparurent petit à petit des publications d’extrême droite. La Nouvelle Droite proposa en quelque sorte un « politiquement correct » à sa manière. Le Vlaams Blok l’adopta très vite, tout comme le Front national. Le racisme primaire allait être remplacé par l’« ethno-différentialisme », une approche détournée en réalité de ce premier.

Effectivement, le socle de l’ethno-différentialisme réside dans l’idée que chaque culture nationale, religieuse ou ethnique ne peut s’épanouir que sur son entité géographique d’origine. Ce qui se résume dans des slogans du style : « L’Europe aux Européens », « L’Afrique aux Africains », etc. Ce racisme détourné vise à l’instauration d’un apartheid planétaire où chacun serait chez soi. Cette conception particulière et totalitaire du monde est partagée par le Vlaams Blok et le Front National. De plus, dans leur périphérie militante immédiate, des cercles de réflexion s’agitent pour défendre les principes de base du racisme biologique, comme le signalait le rapport annuel 2001 du Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme (25). Le « politiquement correct » des nationaux-xénophobes populistes n’est bien entendu qu’un masque. D’ailleurs, chez eux, le naturel revient toujours au galop. 

TRAHI par vos expressions racistes, vous êtes !!!!


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