Commentaire de J. Thonnelier
sur Être francophone dans un pays anglophone


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J. Thonnelier J. Thonnelier 14 février 2009 23:56

Article intéressant.
Au Nouveau Brunswick, les francophones minoritaires des centres urbains (car c’est bien là qu’ils se retrouvent minoritaires au sein du sud de la Province) font montre d’une forme de "résistance" assez féroce, participant ainsi de la vitalité de langue française hors Québec.

Moncton, est ainsi une des rares villes du Canada anglophone à voir la part de ses francophones augmenter, l’université et les opportunités d’emplois aidants.

Pour avoir participé à certaines conférences sur le thème des minorités francophones au sein de la Province, je peux cependant dire, qu’il persiste une inquiétude latente en ce qui a trait à l’anglicisation (et a terme à l’assimilation -cas extrêmes-) des élèves francophones évoluants à l’intèrieur même de structures éducatives francophones. L’anglais, dans tout ce qu’il sous tend de sens symboliques attractifs reste très tentant pour les jeunes des centres urbains, qui grandissent avant tout dans un milieu, un cadre anglophone.


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