Commentaire de Nobody knows me
sur Orelsan, la tête de turc du rap français


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Nobody knows me Nobody knows me 6 avril 2009 17:31

Peut-être que je n’écoute pas assez de rap, en fait, c’est sûr, j’ai beaucoup de mal, la violence qui l’accompagne (au sens propre, j’en ai été témoin) m’a toujours laissé très réservé

Oooooh que oui. Car pour limiter le rap à des messages de violence, c’est se limiter à la sphère de musique merdique que proposent les majors.
La violence et le sexe étant les 2 vecteurs les plus attractifs (Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. Est-ce artificiel, inconscient, culturel ?) de tout secteur commercial qui se respecte, la plupart des productions qui font le profit des grands respecte cette règle.
Citez-moi par exemple un film d’action à grande audience ou le héros ne se tape pas l’héroïne, pardonnez mon écart de langage.
Faire une analogie uniquement entre le rap et la violence, c’est vraiment peu connaître cette musique et tous les artistes qui la composent.

Bien à vous.


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