Commentaire de intactsaphir
sur Pékin : Y aura-t-il de la neige à Noël ?


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intactsaphir 7 novembre 2009 23:51

Une autre interprétation de l’évolution du climat....

La fin de l’arnaque

La brève période de réchauffement en quelques parties du globe, depuis la moitié des années 1970 jusqu’en 1998, contribua à nourrir la peur chez une population crédule et de plus en plus dépourvue de jugement scientifique. Mais aujourd’hui, c’est terminé. Dans la décennie suivant 1998, la température moyenne au niveau du globe a chuté d’environ 0,6°C, annulant l’entièreté de l’augmentation de la température moyenne enregistrée au cours du siècle précédent. C’est ce qui ressort de l’analyse des données par satellite du Centre d’études spatiales Marshall. Récemment, l’indice de l’activité des taches solaires, qui mesure le rayonnement calorifique du Soleil, a atteint son plus faible niveau depuis 1913.

Taches solaires

Outre les variations de la configuration orbitale, le Soleil lui-même affecte le climat, à la fois directement, sous forme de chaleur, et indirectement. A titre d’exemple, le vent solaire (le courant de particules chargées s’échappant du Soleil) a un effet sur l’intensité du rayonnement cosmique. Ce rayonnement, a-t-on récemment démontré, joue un rôle essentiel dans le processus de formation des nuages. Si, à cause d’une moindre activité solaire, un rayonnement cosmique accru pénètre dans l’atmosphère, cela peut se traduire par une plus forte couverture nuageuse et donc un refroidissement accentué.

On sait que le Soleil suit un cycle de onze ans durant lequel son activité s’accroît puis décroît. Cependant, dans le cycle récent, l’activité a été si faible que certains experts craignent que nous entrions dans un nouveau « Minimum de Dalton », référence à la période de 1790 à 1830, le « petit âge glaciaire » où l’activité solaire était en comparaison plus faible. L’astronome Khabibullo Abdusamatov, de l’Observatoire Pulkovo en Russie, a prévu en 2005 que l’activité solaire était sur le point de décroître, amenant un refroidissement. Et en 2008, Oleg Sorokhtine, de l’Académie russe, conseilla de « stocker des manteaux de fourrure », prévoyant un strict minimum solaire d’ici l’an 2040, suivi d’une période de glaciation.

Soyons clairs. Le but de la psychose sciemment entretenue sur le réchauffement planétaire est, en fin de compte, de réduire la population mondiale. Les initiateurs de ce genre de campagne, comme les co-fondateurs du World Wildlife Fund, le prince Philip d’Angleterre ou le prince Bernhard des Pays-Bas (un ancien officier SS) ne s’en cachent pas.

Cessons d’être les dupes de ces campagnes d’horreur, derrière lesquelles se dissimulent des objectifs inavouables. Un retour au concept de progrès scientifique fournirait à l’humanité les meilleurs moyens de traiter tout défi futur menaçant sa survie, que ce soit le changement climatique, de nouvelles maladies ou toute autre menace non encore envisagée.

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