Commentaire de Mycroft
sur Vivre sans banque centrale - Quand le Panama donne l'exemple


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Mycroft 24 février 2010 14:13

Le seul intérêt d’une banque centrale, c’est que, contrairement aux banques privée, elle est soumise à la volonté du peuple, au moins indirectement. J’avoue que cet état de fait est de plus en plus dévoyé, ce qui est à l’origine, justement, de la gabégie dont nous faisons les frais actuellement. Mais en quoi les banques privés protègent elles plus les populations ? En quoi luttent elles contre les problèmes, en quoi maintiennent elles la cohésion sociale ?

Vous ne répondez pas à l’argument le plus important donnés par vos contradicteur : les 40% de gens vivant dans la misère, vous en faites quoi ? C’est acceptable, pour vous ? Pas pour moi.

Plutôt que supprimer les banques centrales, ne faudrait il pas plutôt les rendre directement tributaires du suffrages universel directe. Ainsi, on redonne le droit de battre monnaie au seul à avoir ce droit : le peuple. En tant qu’entité indivisible.

Les libéraux sont vraiment des barbares, ils ne savent que détruire, que diviser. Ils ne comprennent rien à la civilisation, à la solidarité, ce lien obligatoire entre les individus. Rien de grands ne sortira jamais d’une société libéral, il n’y aura jamais que des gens qui vivotent, qui bidouillent, au lieu de renforcer l’humanité comme il se doit. Vous parlez de temps ancien, mais justement, comparez les réussites scientifiques de ces temps anciens, avec ceux de la politique constructiviste des 30 glorieuses, dont on ressent encore les effets maintenant.

Il y a contrainte humaine et contrainte inhumaine. Ce sont les contraintes inhumaines qu’il faut rejeter, pas les contraintes tout cour. C’est d’ailleurs ce qui fait la force d’une démocratie, les contraintes inhumaines y sont plus dur à mettre en place.


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