Commentaire de perlseb
sur Espagne : La chute
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Mais qui donc en patirait ?
Si le Glass-Steagall act n’avait pas été abrogé en 1999 (séparation banques d’investissements et banque de dépôts), personne n’en pâtirait : il y aurait faillite d’un grand nombre de banques d’investissements et tout le monde continuerait sans elles.
L’abrogation du Glass-Steagall act permet aux dirigeants, alliés des banquiers, de nous expliquer que l’on ne peut pas laisser tomber les banques. Que ce soit la crise des suprimes, la crise des dettes d’état, nous devons payer pour leurs investissements hasardeux. Obama a réussi a repousser, il y a peu, la réinstauration de cet acte. Obama est issu de la finance, c’est un traitre vis-à-vis du peuple, autant que Sarkozy qui ne veut pas s’allier à Mme Merkel contre la spéculation.