Commentaire de L’enfoiré
sur Il était, une fois, l'utopie


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L'enfoiré L’enfoiré 25 août 2010 10:38

So,

"...glissé sur votre courte proposition parce qu’elle me laisse où en est la philosophie Marxiste« 
Merci de le reconnaitre. La nature, pour moi, est une source de réflexions. Le but d’un tel article, quel est-il, sinon de chercher ensemble des voies profitables à tous.
Dans le magazine, Marx a évidemment une place de choix. C’est loin d’être le seul magazine à l’avoir fait.
 »On le dit ressuscité« . mais il est dit aussi qu’il faut l’expurger de tout ce qui est obsolète ou le mettre à jour avec les idées nouvelles. Les ressemblances existent mais toute transposition directe est fallacieuse. Nous sommes dans un monde à cheval entre le virtuel et le réel, ce que n’a pas connu Marx. L’intégration, elle n’est pas virtuelle. L’accélération en a été la première conséquence. Les fortunes se font et se défont à plus grande vitesse.  
 
 »...débarrassé des contraintes économiques...des aliénations induites par la rareté (le risque et la peur du manque et, leur antidépresseur, l’accumulation) ?A partir de Là commencerait l’Utopie me semble-t-il ?« 
(Mal)heureusement, l’économie fait partie de nous. Elle nous a été enseignée par les parents.(du moins à mon époque)
Simpliste. Trop simpliste, jusqu’à devenir utopiste d’épargner pour un demain qui n’existera peut-être pas, voir d’amasser pour une deuxième ou troisième vie.
Je suppose que cette idée est perdue dans la jeunesse.
L’argent est un potentiel et pas une fin en soi. Il faut en avoir pour faire aboutir un projet sociétal, pas pour son seul intérêt. Ajuster tout au besoins réels.

 »...un peuple est libre quand il peut imaginer autre chose que ce qui est..."

Exactement.
Merci pour le rappeler. smiley


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