Commentaire de alberto
sur La deuxième mort de Keynes
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Oui, monsieur Santi, cela se complique du fait qu’aujourd’hui l’État a à sa tête des gens qui ont été élus par le peuple mais qui sont en réalité des commis représentant les intérêts de la finance internationale.
De ce fait, les interventions de l’État ont peu à voir avec le keynesianisme...
Bien à vous.