Commentaire de epapel
sur Le hold up du siècle pour financer l'Amérique ?
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Tant il est vrai que le créancier sera toujours le maître de son débiteur, et qu’il ne risque rien tant qu’il n’est pas lui-même débiteur de quelqu’un d’autre. Ce qui est le cas de la Chine.
Quand bien même il se tiendraient par la barbichette comme on dit, le créancier garde toujours l’avantage sur le débiteur.