Commentaire de ddacoudre
sur Chéri, ni parfums, ni or, des terres rares


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ddacoudre ddacoudre 27 décembre 2010 23:40

bonjour l’enfoiré

un bon article qui rappelle une réalité économique qui échappe à tous les politiciens de la politicienne politique people qui remplissent nos journaux, et beaucoup d’entre nous ignorent que les portable dont ils sont si fier sont l’objet de guerre dans les pays d’Afrique ou l’on extrait un mineré rare (jai oublié le nom t’en pis) utile à leur élaboration.
a cotê de cela la valeur de l’or c’est bon pour les nases. mais bon ils trouveront toujours un plus nase qu’eux pour leur acheter encroyant faire une affaire, sur de l’illusion.
en parlant de la monaie j’avais écrit une caricature sur sa valeur.

La monnaie une valeur fictive…

 

Le phénomène le plus important est l’organisation sociale qui s’est constituée autour de la monnaie depuis des siècles. Si sa circulation a facilité le développement économique, sa rareté est en même temps un frein au développement.

La monnaie n’en demeure pas moins une valeur relative fictive réglementée qui n’a de valeur que celle que nous lui accordons.

Imaginez-vous dans un désert, et devoir choisir entre un verre d’eau ou un compte bancaire opulent. Nul doute que c’est votre raison qui l’emporterait sur votre envie de posséder un compte opulent, et vous choisiriez le verre d’eau. Car c’est bien notre existence qui est une valeur fondamentale, et non pas une ligne d’écriture sur un compte, qui sans lui dénier son utilité, n’est pas une fin en soi.

Si dans la même situation un tiers vous proposait le verre d’eau pour le prix de votre capital vous l’achèteriez. Si un autre tiers vous offrait ce verre d’eau vous le prendriez.

Les deux cas donnent un résultat identique pour l’assoiffé. Pourtant, dans le premier cas, la valeur de votre compte qui valait, à un cours imaginaire un million de litres d’eau, n’en vaut plus que celui d’un verre. Dans le deuxième cas vous êtes bénéficiaire de tout. Dans le premier cas vous êtes sauvé mais ruiné, dans l’autre, sauvé également et propriétaire d’un capital qui ne représente rien parce qu’il n’a pas été désiré.

L’exemple est réducteur et exclusif des autres types de situations possibles, mais indique ceci : Que l’éducation sociale de l’un et de l’autre n’engendre pas la même échelle de valeur pour l’ensemble des éléments qui composent la situation. D’autres appellent cela « la loi du marché », et ramènent de ce fait nos relations sociales à un seul échange commercial dénudé de l’humanisme que notre espèce a su définir en théories et qu’elle a tant de mal à réaliser.

 

cordialement bonne fêtes.


Voir ce commentaire dans son contexte