Commentaire de Jean-Pierre Llabrés
sur Pourquoi la victoire de la droite serait, en définitive, une victoire à la Pyrrhus, et comment faire pour qu'elle n'advienne pas


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Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 2 février 2011 07:50

En bonne logique (! ?), le titre étant « Pourquoi la victoire de la droite serait, en définitive, une victoire à la Pyrrhus, et comment faire pour qu’elle n’advienne pas », le lecteur est en droit d’espérer que, dans l’article, vous exposiez vos solutions « pour qu’elle n’advienne pas ».

Or, le lecteur doit se contenter de la structure suivante :
1)
Titre :
Pourquoi la victoire de la droite serait, en définitive, une victoire à la Pyrrhus, et comment faire pour qu’elle n’advienne pas
2)
Texte de l’article :
Sans aucun rapport avec « comment faire pour qu’elle n’advienne pas »
3)
Conclusion :
"la vraie question est : pourquoi la victoire de la droite serait, en définitive, une victoire à la Pyrrhus, et comment faire pour qu’elle n’advienne pas« .

Décevant de votre part...

P.S. :
Vous serez certainement ravi de savoir que j’ai sauvegardé, pour la postérité, quelques une de vos répliques d’anthologie en post-scriptum de mon article »Du principe de la peine de mort".

Exemple d’inconditionnalité absolue en matière d’opposition à la peine de mort :


Par
JL (xxx.xxx.xxx.22) 29 janvier 09:24
« interdiction absolue de donner la mort pour quelque raison que ce soit »

Par Jean-Pierre Llabrés (xxx.xxx.xxx.82) 29 janvier 11:06
En vertu de ce principe absolu, qu’ont fait les opposants à la peine de mort pour empêcher l’exécution de Saddam Hussein et de ses sbires ?

Par JL (xxx.xxx.xxx.22) 29 janvier 11:11
Interdiction de faire quelque chose n’a jamais signifié obligation de s’opposer physiquement à ce quelque chose.

Par Jean-Pierre Llabrés (xxx.xxx.xxx.82) 29 janvier 11:21
« Interdiction de faire quelque chose n’a jamais signifié obligation de s’opposer physiquement à ce quelque chose »
Ponce Pilate (sic)...


Par JL (xxx.xxx.xxx.22) 29 janvier 12:14
Oui, Ponce Pilate, mais dans des cas précis, quand je ne suis ni pour ni contre ! [...]
Par exemple, je me moque du sort que l’on peut réserver à un criminel pour lequel je n’éprouve aucune empathie. Je réprouve ceux qui donnent la mort, en particulier ceux qui donnent la mort de sang froid, et je leur dénie le droit de le faire en mon nom. Et pour ce principe, je suis prêt à me battre. Je ne me battrai pas pour sauver un assassin.


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