Commentaire de JL
sur Je vais vomir un peu et je reviens
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Non contents de nous empoisonner, ces pratiques dans le cadre de la mondialisation libérales tuent les économies vivrières des pays pauvres, et leurs populations qui auparavant étaient pauvres deviennent misérables (*). Ces miséreux n’ont qu’une solution d’avenir : nous envahir.
La mondialisation libérale est le cancer de la planète. Nous vivons une « expérience de Milgram inversée » à l’échelle de la population mondiale.
Les spécificités d’une expérience de Milgram inversée sont les suivantes :
- Les « victimes présumées » sont réelles et souffrent abominablement ;
- Les « cobayes tortionnaires » ce sont, les consommateurs occidentaux qui croient bien faire et sont convaincus qu’il n’y a pas de victimes, nulle part, ou alors, font mine de le croire, parce qu’ils nont pas d’autre choix, et aussi parce qu’ils sont égoïstes et impuissant à changer les choses, ce qui fait d’eux des otages ;
- Enfin et surtout, les « expérimentateurs menteurs » sont les lobbies des prédateurs et qui dispensent la pensée unique du libre échange « gagnant gagnant » dans leurs puissants médias mainstream grâce à leurs complices corrompus que sont les éditocrates, les politiques et les économistes libéraux.
L’on comprend que l’Etat libéral se débarrasse de ses fonctionnaires : il ne veut pas que des inspecteurs au service de l’intérêt public empêchent de piller en rond.
(*) La misère c’est la pauvreté sans les moyens de subsistance.