Commentaire de ddacoudre
sur Aux filles, aux femmes, à la mémoire des victimes de prédateurs


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ddacoudre ddacoudre 23 février 2011 00:12

bonjour dan

tu as tout jeté en paquet, et repris les poncifs que nous véhiculons.
l’humain est un animal comme les autres et dispose d’une capacité d’agressivité sans laquelle il ne pourrait survivre. comme tous les autres animaux il s’affronte dans une compétition pour la nourriture et la femelle. ceci est inscrit dans nos gènes et constitue le bagage de survie de notre espèce, même si nous disposons d’une capacité d’apprentissage par un cerveau capable d’adaptation aux événements environnementaux qui nous stimulent.
 notre capacité à élaboré des tabou et des totems ont donné aux hommes ou aux femmes des places différente en fonction de leur particularité et des époques dans le développement de la compréhension de notre être.
tu sembles oublier que la femme fut adulé car elle donnait la vie, la terre fut appelé Gaïa pour cela, puis elle devint un objet de rapine pour féconder des clans ou des groupes avant que ne paraissent les premiers textes religieux ou politique (au choix) lui donnant un statut d’épouse vénérable, obligeant l’homme à l’honorer une fois par jour ou semaine (je ne me souviens plus), mais ce faisant nous entrions dans la détermination des désirs, bien au delà de nos instincts biologiques.
en cela nous posions l’édifice du développement des névroses.

l’humain n’est pas meurtrier il est agressif belliqueux bagarreur , mais en son état animalier il est incapable de tuer son semblable, c’est le jour ou il retourna son premier outil contre son semblable qui pris conscience de cette capacité, il y a 2.5 millions d’années, depuis lors nous n’avons que perfectionné l’art de nous entre tuer, et nous apprenons à tuer, même pour se défendre.
la civilisation a créer les conditions de cette capacité meurtrière, car le crime n’est que social.

aujourd’hui la technologie permet à une femme de s’estimer l’égale de l’homme, et bouscule par elle des siècles de répartition des tâches qui dépendaient justement de leur inégalité biologique, dont l’expression varie suivant les cultures, et si aujourd’hui nous constatons des manquements dans les agressions sexuelles c’est par le fait même de ces différences biologiques, les rares cas de viol d’homme sont une gageure, mais les cas de castration sont plus courants, comme ceux d’infanticides

certes l’homme abuse de sa biologie et l’on peut lui en tenir rigueur, mais dans des situations où la femme accède à des postes de dominant elle ne vaut pas mieux suivant les circonstances.
c’est à tort que souvent l’homme est montré du doigt comme mal faisant. notre civilisation que nous prenons pour le summum, ne l’est peut-être pas autant que ce que nous le pensons par rapport à de petites peuplades dont leur rituels savent parfois mieux que nous soigner les névroses totémiques.
je te copie l’adresse d’un article qui aide à une certaine comprehension.http://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/du-rat-jusqu-a-moi-l-experience-de-67081.
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cordialement
cordialement.


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