Commentaire de Pépé le Moco
sur DSK, les 5 vrais coupables (suite) : un cas purement de conscience


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Pépé le Moco 21 mai 2011 13:37

@ j-p. Bédol,

Le problème c’est quand les défauts et la connerie se généralisent. Le « social-libéraliste », qu’est DSK, doit s’appréhender sur les faits et ses choix politiques. Toutes personnes, qui se donnent la peine de se renseigner sur les décisions prises par ce personnage (au FMI, en tant que ministre et en tant que membre de cercles d’oligarques) peuvent aisément se rendre compte que cette hypostase est le premier soldat de la destruction des acquis du programme du C.N.R.

Comme a écrit KANT : La croyance : milieu entre l’opinion et le savoir.

Quand à la Grèce, avec ou sans DSK, c’est un faux problème. La connerie de l’Europe a été de faire appel à cette institution ultra-libéraliste pour régler un problème interne à EU (la France a déjà pris son ticket). C’était un problème de redistribution des richesses européennes (mais la nouvelle constitution européenne - ratifiée illégalement - ne prévoit pas une solidarité entres les états). En revanche, pour les banques, lors de la crise financière, les fonds ont été trouvés sans problème pour combler la dette financière menaçante (pour le système capitaliste et financier qui engraisse les oligarques).

Bref, comme a écrit Guy Hocquenghem, dans son livre Lettre ouverte à ceux qui sont passés du col Mao au Rotary, au sujet de BHL : Et cette inexistence est inscrite en tes initiales, BHL. Tu n’as même pas de nom à toi, rien qu’un sigle, comme RATP, ou SNCF.

DSK est un sigle (voisin marocain de ce BHL). Il n’existe que par la volonté des cosmocrates. Un tartuffe de moins comme candidat au élection de 2012 est une très bonne nouvelle, malheureusement les clones restants ne sont pas plus brillants.

Rq : Je vous remercie pour votre suivi des commentaires réalisés après le publication de votre article, ce n’est pas souvent le cas. Cela permet les échanges.


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