Commentaire de cevennevive
sur Vol, carambouille et mépris
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Bonjour SlipenL’air,
Merci des liens et des longs commentaires !
J’avais, dans ma jeunesse, apprécié « les Bienheureux de la Désolation » d’Hervé Bazin (1970) qui m’avait beaucoup fait rêver d’un monde entièrement démocratique, ou « Malevil » de Robert Merle (1972) dans lequel une poignée d’humains restants reconstruisent une société.
Peut-être est-ce la solution : tout démolir pour tout reconstruire en mieux ?
J’ai bien peur que le pouvoir repris par le peuple ne donne que du désordre pour de longues années, car il faut des planificateurs pour construire quelque chose.
Reste à se donner des planificateurs humains, sages (à la manière de Platon) et désintéressés...
Cordialement.