Commentaire de Montagnais
sur La décroissance : de quoi parle-t-on ?


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Montagnais .. FRIDA Montagnais 17 juillet 2011 19:39
Ah ! L’olibrius qui vous taxe bien légèrement d’inculture en alignant trois noms tarte à la crème, il lui faut aller se purger de trois grains d’ ellébore ou s’enfiler quatre grands coups de rogomme à la Datura. Ou pour le moins prendre un sédatif du commerce.

Excellent papier, bien écrit, plein de bonnes références.

Entre « le fils de pub » Séguela et le Henry David Thoreau de « Walden ou la vie dans les bois » il y a plus qu’un gouffre…

Séguela va de déceptions en déceptions, de peurs en peurs (sa sortie sur l’Internet..), de revers en revers, d’erreurs en erreurs, d’ahurissements en ahurissements, de cauchemars en cauchemars.

La chose est entre les mains de Maman Terre maintenant, directe. Pas tendre avec ses indignes et stupides rejetons. Les carottes sont cuites. La décroissance, c’est son affaire.

Hayek. Il est significatif que, dans l’ensemble des champs de connaissances auxquels il s’est consacré de façon si brillante, n’apparaissent ni sciences de la terre ni sciences de la Nature.

Quant à la définition de sa constitution idéale, elle condamne sans appel l’organisation de l’Europe actuelle.

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