Commentaire de mike gallantsay
sur Les barbares dans la cité (II) - « Ascension » d'Anish Kapoor, sous la coupole de San Giorgio à Venise


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mike gallantsay 11 août 2011 15:08

Élaborer une œuvre d’art ? Vous n’y pensez-pas ? Moi ? Misérable vermisseau tellement prévisible que vous parvenez à le piéger en trois lignes dés notre première rencontre ?

Que puis-je comprendre à l’Art, paysan du Danube que je suis, qui tient Murakami, Cristo, Buren et autres Rotko pour des faisans d’élevage nourris au bon grain de la spéculation de milliardaires snobs et arrogants ?

Même Soulages me sort par les yeux, c’est vous dire...

Plus précisément, n’est jamais parvenu à y entrer.

« Noir c’est noir ! Il n’y a plus d’espoir ! »

Voyez, je fais cadeau d’une bonne grosse beaufferie à déguster entre happy-few.

Merci qui ?

Que voulez-vous ? J’en suis resté à Bruegel l’ancien, Titien, Véronèse, Monet et Nicolas de Staël...

Pathétique et ringardissime...

C’est donc un effet obligé de mon incurable balourdise que de tomber dans tous les panneaux.

Pas comme vous, dont l’immense culture plastique, le raffinement et l’extrême délicatesse de votre sensibilité vous met dans cet état suprême de l’esprit qui permet apprécier l’immortel chef-d’œuvre qui honore San Giorgio ;

Heureux homme...


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