Commentaire de Aurélien Péréol
sur Le cri d'alarme d'Alain Bentolila au « Salon littéraire » de Vaux-le-Pénil


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Orélien Péréol Aurélien Péréol 17 octobre 2011 18:55

Les idéologues bâtissent le discours de l’autre de façon in conséquente, disons, et s’oppose au discours de l’autre préalablement divergé.


Un passage : « Une méthode pernicieuse venue d’Amérique a prétendu laisser tomber le déchiffrage de la relation entre lettres et sons au profit de la simple photographie de « la silhouette  » des mots à mémoriser »
C’est une invention.

La lecture n’est absolument pas syllabique.
Exemple : « J’ai un âne au pré dans l’enclos ». Le premier « a » ne se dit pas, à la place se dit « ai » comme è, le troisième a ne se dit pas, à la place se dit « au » comme « o », le quatrième « a » ne se dit pas, à la place se dit « an » comme « enclos ».
La méthode syllabique n’existe pas plus que la méthode qui aurait laisser tomber le déchiffrage de la relation entre lettres et sons au profit de « la silhouette  » des mots.

C’est une violence intellectuelle que d’écrire la phrase « Une méthode pernicieuse venue d’Amérique a prétendu laisser tomber le déchiffrage de la relation entre lettres et sons au profit de la simple photographie de « la silhouette  » des mots à mémoriser »

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