Commentaire de Mor Aucon
sur Dette publique et « loi Rothschild » : la cécité volontaire des médias


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Mor Aucon Mor Aucon 20 novembre 2011 13:17

Vous ne pouvez obvier d’une part, des facteurs comme la reconstruction des pays européens suite à la guerre, le plan Marshall, le boom démographique, les crises pétrolières des 70, etc... et d’autre part les conséquences de tous ces facteurs sur la période suivante. Vous avez ce qu’argumente Ératosthène plus bas. Pourquoi revenir sur les mêmes arguments ?

Mon commentaire traitait de l’impérieuse nécessité d’un contrôle démocratique de la création monétaire qui ne peut s’accomplir dans un schéma où le gouvernement en détiendrait tous les rouages. Je comprends très bien que, au vu des résultats et de la transformation de la dette en armes de chantage et de pression des marchés financiers sur les gouvernements, on puisse se révolter. Justement, le défi est de ne pas se laisser berner et de voir où est l’embranchement réel entre la finance des activités productives et celle purement spéculative et manipulatrice de ce marché. C’est la seule manière, à mon avis, de combattre le drainage des capitaux de l’une vers l’autre. Je faisais remarquer les mesures prises au Sénat car elles me semblent bien ciblées bien que certainement encore insuffisantes. C’est un début.


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