Commentaire de Sylvain Reboul
sur L'affaire DSK et « la ficelle » de Maupassant


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Sylvain Reboul Sylvain Reboul 28 novembre 2011 17:51

Dans tous les procès criminels, le présence de l’ADN de l’inculpé (au fait que veut dire ce terme, sinon soupçonné coupable ?) sur la présumée victime sert d’indice matériel ou objectif de preuve .


Refusez de le considérer comme tel, c’est interdire toute preuve possible et donc tout procès, sinon l’aveu qui lui n’est pas un indice objectif, mais subjectif et ne peut être utilisé comme preuve sans indices objectifs. L’ADN n’est pas une simple apparence il porte la signature biologique incontestable du présumé ou soupçonné coupable, au contraire de l’histoire de Maupassant...

Quant au préservatif usagé on l’a pas retrouvé pour un raison évidente : il n’existe pas car ce ne semble pas être la tasse de thé de DSK. Ce qui, soit dit en passant, n’est pas une preuve de prudence...ni médicale, ni (ou sinon) politique

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