Commentaire de Bernard Pinon
sur Le monde qui vient 2ème partie


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Bernard Pinon Bernard Pinon 10 décembre 2011 12:16

On assiste à la mise en place d’une sorte de « fascisme gris » qui a pris le Meilleur des Mondes d’un autre Aldous non comme une fable mais comme un programme de gouvernement. Huxley s’étonnait lui même de la vitesse à laquelle sa fable (selon ses propres termes) devenait réalité.

Pour parvenir à ses fins, ce fascisme gris doit éliminer ces foyers de résistance que sont l’état nation souverain, les classes moyennes et la famille. Ses armes s’appellent la dette et la manipulation.
Les voies de résistance ne sont malheureusement pas nombreuses. Mais, comme le chantait Béranger, en parler c’est déjà mieux que rien.

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