Commentaire de Gaspard Delanuit
sur 11-Septembre : les camelots de la conspiration démasqués …
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@L’auteur : « combien de temps, encore, les truthers continueront-ils à gober les mensonges de ces saltimbanques ? »
En ne pouvant vous empêcher de parsemer vos articles et interventions de ce genre de petites injures mesquines et inutiles, vous discréditez le fond de votre propos et révélez que votre démarche n’est pas scientifique mais idéologique ( en supposant que vous êtes sincère et non simplement intéressé de quelque manière ). Contrairement à ce que vous prétendez avec arrogance, vous ne représentez nullement la « communauté scientifique » (entité diverse et dynamique) mais seulement la brigade de réserve de la pensée unique, le conservatoire du terrorisme intellectuel qui prétend délivrer des labels de pertinence et des autorisations de penser. Enfin, vos apparitions en direct témoignent assez clairement de votre manque de pertinence (pour ne pas en dire davantage et rester poli).
Sur le fond, vous affirmez que la matière retrouvée par Niels Harrit est la même que celle qui a été analysée et se révèle être simplement de la peinture. Et d’ailleurs une des plus courantes peintures qui soit, puisqu’il s’agirait d’ocre rouge (oxyde de fer + kaolin), ce pigment utilisé depuis la préhistoire et par toutes les sociétés puisqu’on le trouve à l’état naturel dans la terre (même si dans ce cas le piment est lié avec une résine époxy). Cette peinture est si courante, que chacun des lecteurs peut être certain d’en avoir quelque part chez lui. Mesdames, sachez que c’est lui qui donne la couleur de votre fond de teint (vous pouvez vérifier en lisant la composition). On fait aussi de belles couleurs de façade de maison avec cette couleur. Il y en a partout, et les éléments métalliques en sont souvent recouverts (avec une résine époxy bi-composée pour la résistance). C’est d’ailleurs un pigment bon marché. Pas étonnant d’en retrouver dans les ruines d’une tour !!
Niels Harrit ne saurait donc pas ce qu’est l’ocre rouge, ce pigment décrit dans les cours élémentaire de l’école primaire, et que l’on peut même s’amuser à fabriquer soi-même avec les enfants en faisant rouiller un morceau de fer... N’est-ce pas un peu gros ?
Eh ! Attendons sa réponse, tout simplement. 
