Commentaire de ROBERT GIL
sur Des services hospitaliers et des médecins fantômes
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La mort de l’hôpital public, au sens où nous l’entendons, est programmée. Elle est portée par ce mot d’ordre de la convergence entre le public et le privé, qui amène à introduire du privé dans le public et quelques règles « publiques » dans le privé pour parvenir à un système unique. Dans le même temps, le ministre annonce la diminution du remboursement des actes hospitaliers par la sécurité sociale, alors que les hôpitaux n’ont pas les moyens de fonctionner et que leurs missions de service public ne sont pas reconnues........