Commentaire de Bulgroz
sur Un nucléaire pourtant si sûr...
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Cabanel, il serait temps de vous éduquer. je vais finir par penser que c’est de l’icompétence.
Les pertes du thermique (nucléaire compris) sont dus à la convention internationale qui considère que l’énergie restituée sous forme d’électricité est égale à un tiers de l’énergie totale dégagée par la réaction.
Les deux autres tiers sont
comptabilisés comme des pertes. Il s’agit par exemple de la
chaleur qui produit le panache de vapeur d’eau au-dessus des
centrales. Cette convention explique le très gros écart entre
l’électricité primaire d’origine nucléaire et l’électricité
finale d’origine nucléaire. Les centrales thermiques classiques
ont également des pertes de rendement du même ordre, mais qui, en
France, représentent des volumes beaucoup moins importants.
Il
s’agit donc de pertes conventionnelles et ce quelque que soit le type
de combustible (charbon, fiul, gaz, atome) et non pas de pertes liés
à un rendement énérgétique.
Voir dans le Bilan énergétique pour la France 2010