Commentaire de Philibert - Claude BRA.......
sur Etre patron ? Des CPE en permanence... une mentalité pas vraiment française...


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Philibert - Claude BRA....... (---.---.31.122) 21 mars 2006 21:23

Etre patron de nos jours n’est pas facile. Etre artisan et être seul n’est pas facile, mais il n’engage que sa propre responsabilité. Du jour où il engage un deux, trois employés et plus là commencent les problèmes. C’est tout beau tout rose et parfait quand vous avez du personnel qui veut bosser et qui fait tout pour être au top et vouloir réussir. On a pas besoin de CPE. Combien sont-ils. Quand vous avez à faire à une catégorie de personnes qui n’a jamais travaillé, vécu de RMI où de chômage et que le seul but est de dire. Je bosse comme je veux quelques mois et aprés je touche le chômage. Alors le CPE l’intéresse car, il sait que s’il est licencié, il touchera une indemnité aprés trois mois, le chômage et une éventuelle réinsetion avec une suivit de l’ANPE. Il ne faut pas rêver, déjà l’ANPE n’arrive pas à suivre les affaires courantes, si vous lui donnez encore des cas sociaux, elle ne pourra pas faire face. Soit disant ce CPE est pour les jeunes de banlieues sans bagage, à qui on donne la possiblité de s’intégrer dans la vie active avec la possiblité d’avoir un boulot. Alors que la Loi s’applique à tous les jeunes de 18 à 26 ans sans distinction. Il ne faut pas rêver, ceux qui veulent vraiment travailler, ils voient avec le patron qui n’est un esclavagiste, la possilbité d’un bon travail sérieux et de confiance. Un patron n’a pas besoin d’un CPE, pour recruter une personne de qualité s’il veut avoir du personnel fiable qu’il forme et qui lui sera fidèle. Mais si le patron n’a plus de travail ou de commande, que fait il de son employé même s’il l’a formé. Mondialisation. Un employé travaille dans le boulot que lui donne son patron, mais son patron lui doit chercher les commandes et le travail. Il doit se battre pour rester dans la course. Bien-sûr sans employé il ne peut rien, mais l’employé sans patron n’est rien. Donc il y a une complémentarité obligatoire. Tout cela est un climat de confiance. Cela est le patron ideal. Mais combien y en a t’ils. Mais beaucoup de jeunes ne sont pas prêts à se donner corps et âme pour un travail. On a tellment donné l’habitude de toucher de l’argent sans rtien faire, que mainteant il est difficile de renverser la vapeur.


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