Commentaire de Cedric Citharel
sur L'internationale ne sauvera pas le genre humain
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Si vous pensez vraiment qu’une majorité de gens (y compris les anciens électeurs de Sarkozy) sont prêts à descendre dans la rue pour changer le système et n’attendent que des leaders efficaces pour passer à l’action, libre à vous. Si je partageais cet avis, je serais en France, et pas en Grèce, en ce moment.
Le débat qui vient ensuite, sur la nécessité de proposer une alternative « viable » quand on est révolutionnaire, a déjà été abordé par Dostoievski et par Camus (entre autres). Je ne suis pas contre le fait qu’on prenne position, mais je pense que ça mérite au moins un article plutôt que quatre lignes de certitudes dans les commentaires.