Mon cher ami, que Pelletier Jean soit un pseudo ou votre nom, je m’en fiche : c’est le nom que vous avez donné pour qu’on vous interpelle, et c’est tout ce qu’il a à savoir. il n’y a là nul courage, ni manque de. Idem pour gem, pour ce qui vous concerne.

Votre indignation que j’use ainsi du nom que vous avez proposé vous-même m’étonne fort... et fort peu, en même temps : n’est-ce pas là une parfaite illustration de la technique de diversion, pour ne surtout pas faire face à la remarque génante et noyer le poisson ?

Et je refuse d’accepter que l’autre se présente comme fièrement double-penseur au sens orwellien, comme vous le faites. Et qu’il détourne honteusement (mais néanmoins avec une grande maitrise de cette double-pensée) des auteurs-culte. Tout cela est trop vulgaire pour je me prive d’user des terme adaptés, et, effectivement je hais cela au plus haut point, sans modération, et je m’en honnore. Navré que cela vous défrise, vous n’avez qu’a devenir courtois, sensé, et recouvrer une bonne foi dont vous disposez certainement par ailleurs, quand la haine politique ne vous prend pas au point de vous faire devenir sarkophage.

Au passage, puisque vous en remettez une couche de vulgarité avec cette autre réthorique de chiotte, le modèle « accepter la différence de l’autre » (modèle obsolète, en plus, c’est les points communs qui posent problèmes, pas les différences), je suis bien obligé d’en faire autant. Consternation dans les chaumières.

Pour le reste, votre minable provocation mâtinée d’insulte (en lâcheté) et votre implicite demande que je vous insulte restera vaine, adressez vous ailleurs pour ça.