Commentaire de Antoine Diederick
sur 11 Septembre : La terreur médiatique


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Antoine Diederick 27 août 2012 12:06

Bonjour Wesson

Je pense que vous situez bien toute la question.

Comment recevons nous l’improbable et comment des « structures » maintiennent, bon gré malgré, la limite des compréhensions.

Mais le plus fou aussi, si ces « structures » qui planent au dessus de nos têtes, dans une nuage d’électricité, comme l’oeil d’un dieu jugeant sa création, ces mêmes « structures » se trouvent aussi en nous.

Le temps affadit la virulence du doute.

Aujourd’hui, nous n’en savons pas plus qu’au lendemain immédiat de ces jours funestes, ces jours où des tours se sont effondrées sous nos yeux stupéfaits, à moins qu’elles n’aient été effondrées. Tout comme nous tous, effondrés.

Tout se tient dans cette crise et de celles qui ont suivi.

Il arrive donc un moment particulier, se fond alors en un seul ensemble l’évènement et la croyance sans plus pouvoir être démêlées.

A ce moment là, l’oubli s’installe. La conviction prend valeur de prophétie tout autant que polémique. A tel point qu’il n’est plus possible de dégager un absolu de vérité ou de réalité.

Il nous faudrait dire cela avant de juger d’un phénomène de l’ampleur de la catastrophe new-yorkaise.

Comme un clou qui blesse le pied, bien planté à la semelle, a chaque pas.

Nous n’en avons pas encore fini avec ce 11 septembre.


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