Commentaire de Guy BELLOY
sur De l'usage du mot démocratie lors de la constituante de 1789


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Guy BELLOY Guy BELLOY 24 octobre 2012 14:39

Bonjour René,
« Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer »
le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants

Beau mépris de cet abbé envers le peuple (qui, à l’époque était illettré il faut dire)
Belle image : les représentants du peuple rassemblés au Palais Bourbon telle une bande de malfrats croûlant sous les pots de vin, intrigues, forfaitures sans avoir à en répondre à quiconque : idem à l’Ancien Régime, une caste privilégiée qui ne veut pas le reconnaître avec donc l’hypocrisie en plus. 


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