Commentaire de zoï
sur Michel Onfray : la sainteté athée


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zoï (---.---.58.60) 24 mars 2006 18:17

Etrange conception que la vôtre, qui voudrait que l’Histoire ne retienne que « ceux qui préfèrent la poussière des bibliothèques d’université ». Quid d’un Socrate ou d’un Diogène (pour ne citer qu’eux),lesquels n’ont trés probablement jamais rien écrit ? Moi, je pense que l’histoire agit exactement à l’inverse de ce que vous dites : elle n’a aucune pitié pour ceux qui vivent le nez dans les bouquins,surtout quand se sont des ouvrages d’universitaires,race essentiellement composée de jargoneux et soporifiques pédants. Sans compter qu’à vous suivre, c’est toute la philosophie antique qu’il faudrait mettre à la poubelle. Car l’ancienne sagesse n’a que peu à voir avec nos modernes et abscons tripatouillages de concepts : elle est avant tout une discipline de vie. Et le vrai philosophe n’a aucune envie de devenir un prof,quant bien même ce prof se prénommerait Jean-Paul.


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