Commentaire de Piere Chalory
sur Pour vivre heureux imagine le pire
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Effectivement ce tableau est ambigu, mais n’est-ce pas là précisément le sens des rêves ; à cheval entre conscient et inconscient. La perfection esthétique des lignes, couleurs et rendu de l’atmosphère onirique de cette toile datant de 1781 en dit long sur ce temps où les peintres maîtrisaient le sujet et la technique. L’abandon de la femme à ses incubes et fantasmes glauques est provocant et « rappelle » d’autre toiles plus récentes, dont une de Picasso : http://www.google.fr/imgres?num=10&hl=fr&tbo=d&biw=1028&bih=622&tbm=isch&tbnid=pqhfchxg1HMwyM :&imgrefurl=http://www.artsexpos.net/article-25705065.html&docid=0ZnqYeRadMaqZM&imgurl=http://img.over-blog.com/600x385/0/51/58/00/OOPS/Sieste/picassosieste5-grand.jpg&w=600&h=385&ei=J1O5UMubD46X0QWf04GoAQ&zoom=1&iact=hc&vpx=205&vpy=1