Commentaire de Piere Chalory
sur Pour vivre heureux imagine le pire


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Piere CHALORY Piere Chalory 1er décembre 2012 01:58

Effectivement ce tableau est ambigu, mais n’est-ce pas là précisément le sens des rêves ; à cheval entre conscient et inconscient. La perfection esthétique des lignes, couleurs et rendu de l’atmosphère onirique de cette toile datant de 1781 en dit long sur ce temps où les peintres maîtrisaient le sujet et la technique. L’abandon de la femme à ses incubes et fantasmes glauques est provocant et « rappelle » d’autre toiles plus récentes, dont une de Picasso : http://www.google.fr/imgres?num=10&hl=fr&tbo=d&biw=1028&bih=622&tbm=isch&tbnid=pqhfchxg1HMwyM :&imgrefurl=http://www.artsexpos.net/article-25705065.html&docid=0ZnqYeRadMaqZM&imgurl=http://img.over-blog.com/600x385/0/51/58/00/OOPS/Sieste/picassosieste5-grand.jpg&w=600&h=385&ei=J1O5UMubD46X0QWf04GoAQ&zoom=1&iact=hc&vpx=205&vpy=1


d’autres rêves sont plus significatifs que les cauchemars, et peuvent nous apporter beaucoup, voire nous révéler des parcelles de notre futur, on peut alors parler de ’’pont’’ entre vie diurne et nocturne, mais symbolisé et difficile à interpréter.


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