Commentaire de Montagnais
sur La finance américaine, des requins avides et sans scrupule
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Bonjour, excellente analyse.
Mais bah ! 40 à le lire, déjà bien renseignés, bien convaincus.
Vous dites :
...« Toute fois, on ne peut cacher la responsabilité des consommateurs, car sans leur soif de dépenses »...
Là, l’essentiel du PB.
Le seul enseignement à tenter auprès de nos contemporains changés en pourceaux par la nouvelle Circé, serait dès lors : désertez !..
Bon.. certain que si ça passait, l’idée, la consigne, rien qu’un peu, un brin, quelques-uns, on se ferait horriblement massacrer par les tenants de l’ordre établi, maîtres tout-puissants et esclaves confondus, qui veulent pas être réveillés, les esclaves, qui veulent continuer à pâturer goulu ce qui tombe du cul des financiers dont vous parler.
De Méluche à Mareine la P, de la droite à la gauche, du Financial times au bulletin paroissial on se ferait arranger.
« Parlez pas de décroissance malheureux idiot, crapule, fachisse, communisse fanatique, crasse économique, crypto-archaico-attardé ! »
On en est là, vous savez bien, rien ne changera tant qu’il restera un minuscule bout de substrat à brouter.