Commentaire de Brontau
sur La falaise aux mouettes tridactyles
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En amour comme en écriture, Nabum, ce sont les préliminaires qui sont magiques… Quels délices ! L’inspiration, l’élan du désir, l’inconnu et l’ivresse de la nouveauté, même pour les plus expérimentés, sont encore exaltés par la peur de l’échec.
Rien n’est assuré, et tout est possible. Le rêve et le réel se côtoient et se nourrissent l’un l’autre.
Votre auteur est un pervers, il s’est réservé le meilleur !