Commentaire de Jean-Pierre Llabrés
sur Je ne suis qu'un blaireau
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À l’auteur :
« C’est cette envie du travail bien fait qui me fit toujours fuir comme la peste les rasoirs jetables, tout juste bon à rendre service à quelques cuisses féminines en mal d’épilation. »
Si votre compagne est affectée d’une telle pilosité qu’il lui faille se raser les cuisses, je n’imagine que trop bien l’abondance de sa pilosité, digne d’une « forêt équatoriale », en dessous de ses genoux...