Commentaire de Alinea
sur Nabilla, héroïne orwellienne
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Je n’ai pas envie de passer mon chemin, mais, je n’ai vraiment rien à dire sur le sujet, parce que je ne l’ai pas « ressenti » ! Mais je crois surtout que je n’ai pas envie de le ressentir, il y a quelque chose qui me blesse comme l’on constate l’irréparable, que l’on y peut rien. La tristesse est sûrement mon mal mais c’est ce que je ressens ; autant pour ces êtres vides que l’on " gonfle ( avec un vilain jeu de mots pour ses seins !), avec le sentiment que la femme est atteinte gravement, entre les féministes agressives, les femens et elle, ça ne me dit rien qui vaille. Pas vraiment non plus envie de faire l’autruche , mais honnêtement ; j’ai envie de dire : on n’avait pas besoin de cela en plus ! ceci dit, ce que vous en dîtes m’a intéressée et je partage naturellement.
Quant à la télé, c’est une telle caisse de résonance qu’elle peut faire d’un rien un monde ; il vaudrait mieux ne pas jouer le jeu. Bouder en quelque sorte toutes les saloperies qu’on nous fait ingurgiter ! Ne plus réagir, mais en masse, aux chiffons rouges- y compris les politiques, que l’on nous tend pour nous occuper !
Cordialement