Commentaire de SANDRO FERRETTI
sur Stromae, le minable formidable
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Piacere, dottoressa. Anche mio.
Oui, ce mec, c’est une Ferrari. S’il surveille l’huile et qu’il ne pète pas un joint de culasse, il ira très loin.
A moins que, lucide et froid comme il semble l’être, il fasse encore deux ans avant de se barrer avec la caisse et faire autre chose ( ou rien).
Acheter une nouvelle maison à sa maman, mieux que celle de Huizingen, se marier, avoir des gosses, et puis divorcer dans 7 ans, perdre son fric, les droits de garde, et venir nous re-slammer cela.
Parce que dans la vie, quand on croit qu’y en a plus, ben y’en a encore.